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    Victoria
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    Uncertainregard
    Uncertainregard

    113 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2017
    Je m'attendais à bien plus vu les commentaires et ayant beaucoup apprécié son 1ier film "Les bouffons". Finalement endehors de l'exploit technique d'avoir tourné en un seul plan séquence (ce qui a déjà été fait) et une excellente interprétation de cette belle brochette de barrés Berlinois, le scénario m'a beaucoup rappelé "Ni pour ni contre (bien au contraire)" de Klapisch. En effet, on assiste tout simplement à une jeune femme entrainée dans un braquage. Sauf que ça va beaucoup plus vite. Même trop vite. J'ai été surpris de voir Victoria abandonner son café comme ça pour accepter de conduire ses nouveaux amis au comportement pour le moins inquiètant. Pas très crédible...Et il y en a d'autres...La mise en scène est à la hauteur des moyens: simple caméra à l'épaule qui suit nos personnages durant cette longue nuit par contre les passages musicaux sont le bienvenus. Le décor de ce quartier Berlinois avec ce manque de luminosité est parfois étouffant car dans les intérieurs on ne distingue vraiment rien. Sinon il y a de bonnes séquences sur un rythme entrainant et cet effroyable sensation qu'il va arriver quelque chose d'horrible mais ça reste assez gentil en fin de compte...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 182 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 avril 2017
    Victoria (Laia Costa) est une jeune espagnole qui sans doute poussée par la crise ayant frappé de plein fouet son pays après l'éclatement de la bulle immobilière, est venue tenter sa chance à Berlin. Mais c'est un mini job à 4 euros de l'heure qui l'attendait au sein de la locomotive de l'Europe citée si souvent en modèle. Mal intégrée car ne maitrisant pas la langue locale, Sebastian Schipper nous la présente dans une boite du centre ville où elle se défoule jusque tard dans la nuit avant de reprendre au petit matin son job de serveuse dans un café bio. Quinze ans après "L'auberge espagnole", on est désormais très loin de l'Europe de carte postale présentée par Cédric Klapisch au sein de laquelle la jeunesse européenne biberonnée à Erasmus faisait ses humanités dans les grandes métropoles devenues le berceau des amours post-adolescentes. L'Europe s'est réveillée de ce doux rêve un peu factice avec la gueule de bois et désormais elle doit faire face à la contestation des peuples qui ont le sentiment désagréable que c'est contre eux que la technostructure bruxelloise rédige ses lois et règlements. Cette présentation du contexte qui sera juste essaimée à petites touches par Schipper tout au long du film permet sans aucun doute de mieux comprendre ce le réalisateur va nous raconter. Schipper qui est un disciple de Tom Tykwer (acteur dans quatre de ses films), le réalisateur de l'électrique "Lola, cours Lola" (1998), prend la suite de son compatriote et ami en livrant sur plus de deux heures un thriller haletant qui prend la forme d'un unique plan-séquence immersif, filmé caméra à l'épaule. Mais au-delà de l'intrigue qui nous conduit spoiler: jusqu'à un hold-up sanglant
    , "Victoria" est surtout le portrait d'une jeune femme qui en une longue nuit se révèle à sa véritable nature. C'est sans doute l'aspect le plus intéressant du film au-delà de la capacité de Schipper à tenir le spectateur en haleine. Dans une première partie crispante au possible, spoiler: on se demande comment Victoria, sorte de petit chaperon rouge ibère à la naïveté déconcertante va se faire dévorer par un des quatre loups avinés ou par les quatre en même temps. Schipper prend un malin plaisir à jouer avec nos nerfs, la jeune fille semblant prendre visiblement plaisir à se mettre en danger comme si une jeune femme avec quatre inconnus au milieu de la nuit dans un pays dont elle ne maîtrise pas la langue était une chose allant de soi. Les regards entendus échangés par les quatre jeunes hommes nous font pressentir à chaque instant le geste qui va déclencher le viol qui flotte dans l'air depuis le début. Mais Schipper change brutalement de cap en introduisant la réalisation d'un hold-up par la petite bande des quatre qui s'avèrent en réalité face à l'adversité être des louveteaux sans défense. Victoria comme un papillon sortant de sa chrysalide se révèle au milieu de cette déroute comme un être à la soif de réalisation sans limite, capable pour accéder à des sensations fortes, de braver bien des tabous
    . On comprend mieux dès lors certains de ses comportements lors de la première partie. La jeune femme que l'on voit partir seule à la fin du film dans les rues de Berlin fait froid dans le dos et l'on se remémore alors le vieux proverbe qui dit que "l'habit ne fait pas le moine". Chacun d'entre nous dit-on a au fond de lui une part d'ombre qui peut se révéler en certaines circonstances. Sebastian Schipper de manière virtuose, aidé de jeunes comédiens très convaincants au premier rang desquels Laia Costa, en apporte la plus brillante et terrifiante démonstration. Chapeau bas !
    On regarde quoi ce soir ?
    On regarde quoi ce soir ?

    37 abonnés 868 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mars 2017
    Quel film, un bijou ! Les acteurs sont bourrés de talent, c'est immensément joué ! Ils retranscrivent leurs émotions à la perfection. La musique tient et joue un grand rôle. Elle s'inscrit et s'adapte parfaitement à la situation. Elle se substitue même aux paroles quand elle est la plus à même de faire passer les sentiments du moment. Même l'affiche du film est géniale et nous plonge dans l'ambiance. Ce n'était pas des "bad guys". Seulement des "frères" influençables, manquants de repères et pris dans un engrenage. C'est fou ce que le mélange cocaïne/adrénaline peut faire. La redescente est d'autant plus brutale quand elle est conjuguée au fait d'être une bête traquée. Le film est vivant, on est pris, on s'identifie et on a de l'empathie à revendre. Il pose des questions sur l'amitié jusqu'au boutiste. Plusieurs fois Sonne dit avoir passé une agréable soirée. Malheureusement elle fut interminable. Et en cela le plan séquence est un coup de génie ! A consommer sans modération !!
    Kal D.
    Kal D.

    5 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2017
    Une réussite totale,un exploit technique... filmé et joué en continus ,en temps réel
    Très belle équipe d'acteurs
    Bon travail,félicitations, merci pour ce moment de cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 mars 2017
    Bluffé par le rendu du film. Vraiment sympa de se rendre compte au fur et à mesure qu'il n'y aura qu'une prise de vue.
    Ced T
    Ced T

    3 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2017
    Quand un réalisateur allemand décide de faire basculer la vie d'une jeune étudiante espagnole, fraichement débarquée à Berlin, en un seul plan séquence de 2h14, sans aucune coupe, ni aucun montage, caméra au poing, on ne peut qu'être emporté. D'autant que le résultat est assez génial et que les acteurs, après 2 premiers essais qui avaient malheureusement échoué, ont fini à la troisième et dernière prise, par se livrer totalement et faire de ce projet une pièce unique, dramatique, crispante, virevoltante, sale et élégante à la fois...On ne peut qu'admirer la performance de l'actrice principale Laia Costa qui, à la sortie d'une boite de nuit, se laisse convaincre de suivre un groupe de mecs un peu pommés, marginalisés, mais toujours légers, vrais, entiers...A noter également une gueule, celle de Frederick Lau, qui parvient à frapper juste avec un naturel déconcertant, touchant malgré une certaine dureté imposée. S'en suit une aventure insensée, esthétisées par les rue d'un Berlin encore endormi, déserté et déstructuré. Prouesse également des équipes autour et particulièrement du cameraman qui, sans relâche, suivra ce groupe jusque dans des endroits très retranchés de la ville, théâtre idéal d'une passion naissante entre 2 êtres plongés malgré eux dans la tourmente, minute après minute. Au final, Victoria bénéficie d'un rythme à couper le souffle, d'acteurs dont on sent qu'ils ont absolument tout donné pour servir un scénario très bien ficelé et surtout magistralement orchestré. Récompensé aux Ours de Berlin, Victoria est un film à part, d'une génération écorchée où le jeu d'acteur, l'intensité des énergies rassemblées, prime sur tout les artifices d'un autre cinéma plus classique aux angles arrondis. Un film de Sebastian Shipper,réalisateur passionné et surdoué, qui joue avec nos nerfs, nos émotions et ne s'empêche jamais de nous faire malgré tout rêver.
    Yetcha
    Yetcha

    880 abonnés 4 398 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Un film fort, sans coupure puisqu'un un seul shoot, une seule prise a été nécessaire pour le réaliser. 2h comme ça est une réelle prouesse technique, d'acteur, de logistique, c'est dingue. Rien que pour ça le film est à voir mais le reste n'est pas à jeter loin de là. Le dynamisme est poignant et les acteurs incarnés, surtout Frederick Lau que j'avais découvert dans son rôle de Tim dans le film La vague (Die Welle). ON est tenu en haleine jusqu'au bout. Une superbe performance et un film sincère et fort, une pièce maîtresse du cinéma outre Rhin pour ma part.p
    moket
    moket

    528 abonnés 4 332 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 novembre 2016
    Mis à part la performance technique de ce cinéma expérimental et l'actrice principale, lumineuse, pas grand chose à se mettre sous la dent. C'est trop long et l'histoire est assez improbable (une jeune fille seule dans une ville étrangère suit de son plein gré une bande de marginaux un peu louches et fortement alcoolisés à cinq heures du mat' !). La mise en place dure une heure (!) et l'on suit ces jeunes en sortie de boîte qui errent dans les rues de Berlin. L'ambiance est assez réussie et la tension monte : on sent que cela risque de partir en cacahuète d'un moment à l'autre, reste à savoir quand et comment. Puis on entre dans le vif du sujet et l'on est assez déçu : une longue attente pour un déroulement et un dénouement assez prévisibles. Le film mérite le coup d'œil pour sa performance assez unique même si l'on n'est pas vraiment emporté par l'histoire.
    Cyril J.
    Cyril J.

    26 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2016
    Jeune espagnole serveuse dans un café et vivant depuis peu à Berlin sans encore savoir parler la langue, Victoria ne rêve que de s’éclater, étant donné son passé particulièrement renfermé. En sortie de boite, elle se lie d’amitié rigolarde avec quatre garçons mi-frimeurs mi délinquants, gentiment défoncés, dont l’un sort de taule, avec qui elle passera la nuit la plus longue de sa vie. Faire les fanfarons dans la rue ou squatter le toit d’un immeuble amorcent juste l’effroyable maelstrom d’épreuves, de drames et de violences, dans lequel elle bascule bientôt, et où une insolente chance de débutant la fera tenir bien plus longtemps qu’elle ne l’aurait souhaité et surtout imaginé.
    Caméra sur l’épaule, longueurs et maladresses de tous les jours comprises, l’identification nous happe facilement dans ce vertigineux tourbillon, dans cette véritable gifle du cinéma allemand, admirablement incarnée par des acteurs bluffant de réalisme, de tension et d’efficacité.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 novembre 2016
    Au vu des très bonnes critiques sur ce film, tant par les spécialistes que par la population, je m'attendais à un très bon film. Las, pour ma part, je dirais plutôt que je suis tombé sur un film plutôt moyen. Le seul intérêt du film, en fait, réside juste dans le seul plan séquence qui a été utilisé pour tourner ce film. Le reste n'est que secondaire. L'histoire est longue à se mettre en place où on fini par s'endormir à force. D'ailleurs j'avais hâte que le film se termine arrivé à une heure de la fin environ. Notons aussi quelques absurdité vers la fin du film comme par exemple le fait que spoiler: l'héroïne du film appelle l'ambulance pour son ami mais qu'on ne le voit jamais arriver. Sans parler du fait que les rues sont vides de chez vide.
    Au final ce film ne mérite pas les critiques qu'il a obtenu, en tout cas les bonnes. C'est mon avis.
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    22 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2016
    "Victoria" est un film immersif, filmée en temps réel qui pose délicatement sa base et bascule scénaristiquement en gardant un réalisme total. On sympathise avec les personnages, on bascule avec les personnages, on transpire avec les personnages... Bref Victoria est un film spécial et réussi ou l'immersion de la mise en scène rejoint parfaitement le scénario. Une vrai expérience... à ne pas rater!
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2016
    Outre un exploit technique, il s’agit ni plus ni moins d’un plan séquence de 133 minutes, Victoria, de Sebastian Schipper, est aussi un thriller d’une efficacité remarquable. Si l’on ajoute à cela des comédiens impeccables d’authenticité, une immersion tangible, plan séquence oblige, on obtient ici l’un des meilleurs films de genre de l’année écoulée, un film sans concession venu tout droit d’Allemagne, d’un cinéma qui se mute en pendant des œuvres glaciales scandinaves. De concessions, Victoria n’en fait en effet que très peu, à l’exception de quelques ficelles narratives un brin simplistes mais nécessaire au lisse déroulement de l’intrigue, le film ne s’adresse qu’à ceux qui veulent bien s’y immerger complétement, qu’à ceux qui veulent suivre de près une jeune temporaire espagnole et trois jeunes défavorisés plongé dans l’enfer d’une nuit berlinoise crapuleuse et finalement dramatique.

    Mais relativisons. Victoria n’est en soi pas un chef d’œuvre ultime de cinéma, et pour cause, le pari technique de son metteur en scène. Si ce procédé unique de plan séquence constitue un atout, il peut aussi s’agir d’un parti prit qui ne permettra pas l’élaboration d’une quelconque ellipse narrative. On subit, au même titre que les protagonistes, les évènements, sans parenthèses, sans agréments, sans dissertation sur le milieu dans lequel sont plongés nos quatre, voire cinq, intervenants. C’est brut, immersif, certes, mais le concept a ses limites tant il demande un certain investissement de la part d’un public pas toujours enclin à une plongée sans possibilité de trêves, histoire de reprendre son souffle. Un film, oui, mais surtout un concept, une certaine idée du cinéma, une forme d’élitisme.

    Quoiqu’il en soit, il convient de saluer l’audace de Sebastian Schipper, un jeune réalisateur allemand qui démontre ici toute sa compétence, notamment lorsqu’il s’agit d’intégrer une certaine part d’action dans son film. Indéniablement, les séquences que l’on pourrait qualifier de stressantes, sont les plus abouties dans Victoria, notamment lorsque le groupe est brutalement confronté aux forces de l’ordre entre les rangées d’immeuble d’un quartier de la capitale allemande. Un réalisateur sur qui il faudra donc compter à l’avenir, une belle opportunité pour le cinéma allemand de prendre d’avantage d’essor sur une scène européenne ou la concurrence ne manque pas. On peut, au passage, même si c’est important, saluer l’honorable prestation de Laia Costa, jeune actrice s’étant embarquée ici dans une entreprise périlleuse et qui s’en sort pourtant haut la main. 16/20
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    412 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2016
    Victoria doit tenir sa promesse d’un plan-séquence étourdissant. Il glisse alors pour y parvenir dans le fait-divers et en ramène une pelleté d’instants forcés. Si le regard est pétri d’humanité, le récit s’enlise dans le spectaculaire, au détriment de la cohérence de son univers. Et lorsque le final bateau se point, Victoria prouve que son plan-séquence ne fut qu’une manière de raconter une nouvelle fois la même histoire.
    Hastur64
    Hastur64

    224 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juin 2016
    Le cinéma allemand est souvent l’affaire de vrais cinéphiles ou d’amoureux de ce pays, mais pour le commun des mortels (comme votre serviteur), l’occasion (et le goût, ne nous mentons pas) est rare de voir un film de ce pays. Avec ce long-métrage, attention ! grosse claque venue d’outre-Rhin. Précédé d’une rumeur flatteuse et de nombreux prix dont ceux de la Berlinale et de l’équivalent des Césars allemands : “Victoria” se présente comme LE film allemand à voir en 2015. Je ne peux, malheureusement, pas faire autrement qu’enfoncer une porte déjà ouverte en recommandant à mon tour le visionnage de ce petit chef-d’oeuvre dans la langue de Goethe. La force du film c’est avant tout son dispositif formel qui, bien que pas vraiment inédit, continue quand il est bien fait (comme ici) de faire son petit effet, je parle du plan-séquence. Le réalisateur allemand (je ne peux pas ne pas le citer) Sebastian Schipper non seulement utilise ce procédé très contraignant, mais il le fait avec talent et sur la totalité du film qui dure, excusez du peu, 2h20 ! Caméra à l’épaule - détracteur de ce procédé ne hurlez pas, dans ce cas précis c’est justifié et visuellement pas gênant - caméra à l’épaule donc, Schipper suit ses héros, dont la sympathique Victoria, dans un Berlin de noctambules, où pendant ces plus de deux heures il va, comme un reportage en live, suivre les péripéties comico-romantico-dramatiques de ce groupe de quatre (au début cinq) jeunes lors d’une soirée de fête qui va mal tourner. L’intrigue n’est pas outrageusement originale ni vraiment très prenante en soi, mais le procédé du plan-séquence fournit une énergie et une absence de temps mort qui donne au film une tension, à travers cette fuite en avant du temps que symbolisent l’avancée de la nuit et la naissance du jour, qui vous scotche littéralement à votre siège. Tourné en allemand et en anglais (si vous le pouvez, regardez-le en version originale), le film offre une tension qui ne se dément pas et qui en fait un film plus immersif et prenant que bien des films d’action. Un petit bijou du septième art qu’il faut, sans l’ombre d’une hésitation, voir. Je ne saurais trop le recommander.
    Matthias T.
    Matthias T.

    44 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2016
    Une plongée en apnée pendant trois heures dans la torpeur d'un Berline nocturne et dangereux. Wow !Quel choc ! On peut certes regretter un côté "exercice de style" dû au choix d'un plan-séquence ininterrompu, mais "Victoria" demeure un très bon film.
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