Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
20 Minutes
par La Rédaction
Une véritable prouesse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Tourné en un seul plan séquence, ce thriller déploie une maîtrise stupéfiante de la mise en scène.
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
"Victoria" nous raconte comment une vie bascule, en un rien de temps. Avec des moments de grâce obtenus par une mise en scène qui impose le silence quand cela devrait crier, qui rend beau ce qui pourrait être laid.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L'enchaînement inexorable des faits, le passage de la légèreté d'une soirée entre potes à l'épaisseur poisseuse d'un coup fourré, le temps qui soudain s'accélère pour créer un suspense haletant dans un engrenage implacable, qui vient transformer la virée en voyage tragique au bout de la nuit : on en sort ébranlé, comme d'un cauchemar.
Metro
par Mehdi Omaïs
"Victoria" : une femme, un plan-séquence, un chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Pas de coupe, pas de montage, pas de reprise, mais une maîtrise totale de l'image et de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Alain Spira
Si l'on part du principe que toute œuvre apportant quelque chose d'innovant à l'histoire du cinéma est capitale, «Victoria» est un événement cinématographique majeur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Louise Dumas
N'ayant pas peur de se comparer aux plus grands, Sebastian Schipper a déclaré : "Mon film n'est pas une histoire à propos d'un braquage de banque. C'est un braquage !" En effet, le réalisateur offre à son spectateur la sensation de braquer non seulement une banque, mais aussi les lois du réel et du cinéma.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sebastian Schipper signe un film de deux heures 20 constitué d'un seul plan (...). La performance est rare mais elle a surtout la vertu d'être au service d'une œuvre noire, entre chronique désenchantée et polar âpre où le personnage central, cette fameuse Victoria qui donne son prénom au titre, défend un personnage magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par La Rédaction
A Berlin, la cavalcade de jeunes fêtards, tournée en un plan séquence de 140 minutes. Vertigineux !
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
En 135 minutes, "Victoria" revêt les nombreuses facettes de la passion à un rythme effréné.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
Le choc de la première scène annonce assez parfaitement tout ce qui va suivre : la manière dont le film happe totalement le spectateur et dont il l’affecte presque physiquement, mais surtout la totale crédibilité de ce récit en temps réel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Christophe Carrière
"Victoria" met une heure à se mettre en place, mais c'est vrai qu'ensuite ça accroche sévère ! (...) C'est donc réussi. A quoi ça tient, tout de même...
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Ca va vite, ça part dans tous les sens, c'est violent, tendu et on ne s'ennuie pas.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) il faut se rendre à l'évidence: cette comédie romantique qui vire au thriller haletant est un petit phénomène. (...). "Victoria", c'est une performance technique.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Si le film de Sebastian Schipper (...) s'impose au-delà du tour de force technique, c'est dans la façon dont il parvient à brouiller les clichés qui étiquettent le masculin et le féminin.
Le Parisien
par Alain Grasset
Cette cavale nous vaut un thriller captivant de bout en bout et servi par de remarquables comédiens, à commencer par l'espagnole Laia Costa. On ne s'ennuie pas une seconde tant la tension est énorme.
Première
par Gael Golhen
"Victoria", qui fait parfois penser à Noé (la performance hallucinée), à Tykwer (le portrait générationnel) ou à Kounen (les effets de transe), est fascinant quand son dispositif devient film-trip. Quand l'arc narratif de l'héroïne, son trajet symbolique et la compression du temps produisent des effets quasiment hallucinatoires.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Une histoire forte (...). Le message est passé sans être martelé. Filmer avec virtuosité n'empêche pas de réfléchir.
TF1 News
par Romain Le Vern
Tourné en un seul plan-séquence, "Victoria" procure un vrai plaisir de l'instant même si la suspension d'incrédulité incite à fermer les yeux sur les facilités inhérentes à ce genre d'exercice. Si le bouche-à-oreille marche, ce thriller pourrait bien devenir la surprise de l'été.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Jérémie Couston
Le résultat est forcément imparfait : le scénario ne doit pas compter plus d'une dizaine de pages et les dialogues souffrent parfois de tant d'improvisation. Mais l'absence de coutures décuple l'énergie déployée par l'épatante héroïne de ce polar : on ne peut en sortir que groggy.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une oeuvre étourdissante qui regorge de vitalité et qui, au-delà de son impressionnant procédé de plan-séquence, se pose comme un puissant manifeste pour la jeunesse européenne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Une aventure sans filet, réglée au millimètre, chapeau, les artistes. Durant 2h20, on ne rate pas une miette de l'équipée et, avouons-le, on rêve parfois d'une (toute) petite ellipse.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Ce dispositif au fond plutôt bien conduit mais à trop courte vue laisse finalement moins le regret d’une ambition factice que de son impuissance à transfigurer sa petite bulle de temps en chaudron fictionnel véritablement opérant.
Critikat.com
par Marianne Fernandez
On reconnaît bien dans "Victoria" le cinéma de son époque : un cinéma post-"Gravity" précisément, dont l’ambition première, sensationnaliste, tient plus de l’attraction (au sens du parc) que du récit ou du voyage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Toma Clarac
On a beau être placés au coeur de l'action, on peine à ressentir pleinement la sensation de vertige née de l'engrenage dans lequel est pris le gang de fortune, comme si à force de voir de trop près on finissait par ne plus rien regarder (à part de grosses ficelles scénaristiques).
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Croix
par La Rédaction
Dans le Berlin d'aujourd'hui, l'errance d'une jeune fille insouciante entraînée vers le tragique. Hélas, la performance se noie dans une fin trop longue.
Libération
par Didier Péron
Le réalisateur fait le pari du temps réel et d’un plan-séquence ininterrompu. (...) le pari technique parait insensé et on serait curieux de visionner un making-of de l’aventure. Pour le reste, le film est un polar stressé essayant de composer quelque chose de fascinant (...) mais dont l’hyperréalisme rend d’autant plus flagrantes les grosses invraisemblances de scénario.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Une véritable prouesse.
CNews
Tourné en un seul plan séquence, ce thriller déploie une maîtrise stupéfiante de la mise en scène.
La Voix du Nord
"Victoria" nous raconte comment une vie bascule, en un rien de temps. Avec des moments de grâce obtenus par une mise en scène qui impose le silence quand cela devrait crier, qui rend beau ce qui pourrait être laid.
Le Dauphiné Libéré
L'enchaînement inexorable des faits, le passage de la légèreté d'une soirée entre potes à l'épaisseur poisseuse d'un coup fourré, le temps qui soudain s'accélère pour créer un suspense haletant dans un engrenage implacable, qui vient transformer la virée en voyage tragique au bout de la nuit : on en sort ébranlé, comme d'un cauchemar.
Metro
"Victoria" : une femme, un plan-séquence, un chef-d’œuvre.
Ouest France
Pas de coupe, pas de montage, pas de reprise, mais une maîtrise totale de l'image et de la mise en scène.
Paris Match
Si l'on part du principe que toute œuvre apportant quelque chose d'innovant à l'histoire du cinéma est capitale, «Victoria» est un événement cinématographique majeur.
Positif
N'ayant pas peur de se comparer aux plus grands, Sebastian Schipper a déclaré : "Mon film n'est pas une histoire à propos d'un braquage de banque. C'est un braquage !" En effet, le réalisateur offre à son spectateur la sensation de braquer non seulement une banque, mais aussi les lois du réel et du cinéma.
Sud Ouest
Sebastian Schipper signe un film de deux heures 20 constitué d'un seul plan (...). La performance est rare mais elle a surtout la vertu d'être au service d'une œuvre noire, entre chronique désenchantée et polar âpre où le personnage central, cette fameuse Victoria qui donne son prénom au titre, défend un personnage magnifique.
Télé 2 semaines
A Berlin, la cavalcade de jeunes fêtards, tournée en un plan séquence de 140 minutes. Vertigineux !
CinemaTeaser
En 135 minutes, "Victoria" revêt les nombreuses facettes de la passion à un rythme effréné.
Culturopoing.com
Le choc de la première scène annonce assez parfaitement tout ce qui va suivre : la manière dont le film happe totalement le spectateur et dont il l’affecte presque physiquement, mais surtout la totale crédibilité de ce récit en temps réel.
L'Express
"Victoria" met une heure à se mettre en place, mais c'est vrai qu'ensuite ça accroche sévère ! (...) C'est donc réussi. A quoi ça tient, tout de même...
L'Obs
Ca va vite, ça part dans tous les sens, c'est violent, tendu et on ne s'ennuie pas.
Le Journal du Dimanche
(...) il faut se rendre à l'évidence: cette comédie romantique qui vire au thriller haletant est un petit phénomène. (...). "Victoria", c'est une performance technique.
Le Monde
Si le film de Sebastian Schipper (...) s'impose au-delà du tour de force technique, c'est dans la façon dont il parvient à brouiller les clichés qui étiquettent le masculin et le féminin.
Le Parisien
Cette cavale nous vaut un thriller captivant de bout en bout et servi par de remarquables comédiens, à commencer par l'espagnole Laia Costa. On ne s'ennuie pas une seconde tant la tension est énorme.
Première
"Victoria", qui fait parfois penser à Noé (la performance hallucinée), à Tykwer (le portrait générationnel) ou à Kounen (les effets de transe), est fascinant quand son dispositif devient film-trip. Quand l'arc narratif de l'héroïne, son trajet symbolique et la compression du temps produisent des effets quasiment hallucinatoires.
Studio Ciné Live
Une histoire forte (...). Le message est passé sans être martelé. Filmer avec virtuosité n'empêche pas de réfléchir.
TF1 News
Tourné en un seul plan-séquence, "Victoria" procure un vrai plaisir de l'instant même si la suspension d'incrédulité incite à fermer les yeux sur les facilités inhérentes à ce genre d'exercice. Si le bouche-à-oreille marche, ce thriller pourrait bien devenir la surprise de l'été.
Télérama
Le résultat est forcément imparfait : le scénario ne doit pas compter plus d'une dizaine de pages et les dialogues souffrent parfois de tant d'improvisation. Mais l'absence de coutures décuple l'énergie déployée par l'épatante héroïne de ce polar : on ne peut en sortir que groggy.
aVoir-aLire.com
Une oeuvre étourdissante qui regorge de vitalité et qui, au-delà de son impressionnant procédé de plan-séquence, se pose comme un puissant manifeste pour la jeunesse européenne.
Franceinfo Culture
Une aventure sans filet, réglée au millimètre, chapeau, les artistes. Durant 2h20, on ne rate pas une miette de l'équipée et, avouons-le, on rêve parfois d'une (toute) petite ellipse.
Cahiers du Cinéma
Ce dispositif au fond plutôt bien conduit mais à trop courte vue laisse finalement moins le regret d’une ambition factice que de son impuissance à transfigurer sa petite bulle de temps en chaudron fictionnel véritablement opérant.
Critikat.com
On reconnaît bien dans "Victoria" le cinéma de son époque : un cinéma post-"Gravity" précisément, dont l’ambition première, sensationnaliste, tient plus de l’attraction (au sens du parc) que du récit ou du voyage.
GQ
On a beau être placés au coeur de l'action, on peine à ressentir pleinement la sensation de vertige née de l'engrenage dans lequel est pris le gang de fortune, comme si à force de voir de trop près on finissait par ne plus rien regarder (à part de grosses ficelles scénaristiques).
La Croix
Dans le Berlin d'aujourd'hui, l'errance d'une jeune fille insouciante entraînée vers le tragique. Hélas, la performance se noie dans une fin trop longue.
Libération
Le réalisateur fait le pari du temps réel et d’un plan-séquence ininterrompu. (...) le pari technique parait insensé et on serait curieux de visionner un making-of de l’aventure. Pour le reste, le film est un polar stressé essayant de composer quelque chose de fascinant (...) mais dont l’hyperréalisme rend d’autant plus flagrantes les grosses invraisemblances de scénario.