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Votre avis sur L'Homme irrationnel ?
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GyzmoCA
Un thriller policier par Woody Allen attise la curiosité. Et on passe un bon moment avec ce prof de philo aux tendances meurtrières. Les dialogues sont succulents comme sait le faire Woddy Allen. Sa direction est toujours précieuse et les acteurs/actrices ressortent avec talent.
Pour une fois, j'ai apprécié un film de Woody Allen ! Je n'accroche pas trop à sa vision de la vie, des femmes et de notre société en général mais là, bonne surprise... Les acteurs sont touchants et attachants, le scénario est bien construit et le suspens habilement distillé jusqu'au final surprenant quoiqu'un chouilla moralisateur en ce qui me concerne !
Clair que ce film est irrationnel voire improbable. Woody Allen lance des questions, illustre avec des images et parfois des blabla trop longs. Reste les acteurs que je trouve excellents. Ils collent aux personnages et on peut se laisser emporter par cette "fable" tortueuse sur l'arroseur arrosé ou l'effet boomerang. Scénarion intéressant mais qui ne va jamais en profondeur. Il y a sujet à faire un film sublime mais Woody Allen nous invite peut-être à la réflexion une fois les lumières allumées au génétique de fin. A voir si on est un fan inconditionnel de Woody !
Autant être claire, ce fut l’heure et demie la plus pénible de toute ma vie.
Non, vraiment, je n’arrive toujours pas à croire comment on peut mettre si peu de choses dans un film…Je n’avais encore jamais vu un truc aussi vide et cliché de toute ma vie :
- Joaquin Phoenix dans rôle du cliché prof de philo qui ne fait rien que de jouer le déprimé quand il est déprimé (boire du scotch dans une flaque à longueur de journée et ne fait rien que d'être défaitiste) ou le mec trop happy lorsque tout d’un coup il n’est plus déprimé (dire bonjour à tout le monde, remplacer son café noir du matin par un jus d’orange et des croissants !). Bref… Un personnage vide et grotesque.
- Emma Stone qui ne fait que jouer la femme in love, elle ne parle que de Joaquin Phoenix à chaque fois qu’elle apparait à l’écran... Et c’est tout, Bref, elle ne fait que ça durant tout le film… Un personnage vide et grotesque.
- Le petit copain jaloux, idem, il ne parle que de sa jalousie… Un personnage vide et grotesque.
- Et idem pour tous autres.
- Pareil pour la musique, c’est bien simple on a une boucle de 30 secondes dans un style jazz pop qui apparait une 6/7 de fois dans le film et trois extraits des œuvres les plus connu de Bach !!! (tapé J.B. Bach sur youtube, et vous obtiendrez parmi la liste des suggestions les trois œuvre en questions). Vide et grotesque encore une fois.
- Le montage, c'est la même chose et pourtant, je ne regarde que rarement ce genre de détails, mais là, ça dégouline de cliché maladroit, et vas-y que je te mets des foutu fondu milieu entre deux scènes, et vas que je te mets une voix off afin de bien comprendre la psychologie des personnages qui sont aussi niais et charismatiques qu’une huitre ! J’ai même repéré une p'tite dizaine de faux raccords…Moi qui pourtant n’en vois que très rarement, surtout lors de la première visualisation ! C’est une véritable performance d’en arriver là, ah oui oui !
D’ailleurs, lors de la première moitié du film, il ne passe tellement rien que si tous les dialogues auraient été en langage des sims, rien n’aurait été survolé (véridique !), et pourtant, qu’est-ce que ça cause ! A la fin chaque scènes, on a même droit à une voix off qui explique bien ce que ressentent les personnages au cas où l’autiste au fond de la salle de cinéma n’aurait toujours pas compris que Emma Stone est amoureux de Joaquin Phoenix qui déprime et que son petit copain, bah il est jaloux ! Chaque scènes oui !!! Et ça durant toute la première moitié du film bordel !!!
Bon, voilà, ne perdez pas 1h30 de votre vie à aller voir ce film, sauf si vous vous voulez marrer un bon coup à la rigueur, mais attendez au moins de pouvoir le télécharger sur KickassTorrent ! Ah foui foui, ne mettez pas votre argent dans une séance de cinéma pour voir cela ! À la place, aller boire une bonne bière en bar, c’est bon ça la bière !
Mais quand même, ça m’écœure de voir qu’il y aient autant de jeunes cinéastes de fou qui en chie comme des malades à faire diffuser leurs film et que monsieur Woody Allen peut se permettre à sortir un étron pareil chaque années comme une industrie de film. Bon, certes, je n’ai vu que celui-là, donc je peux pas juger sur les autres, mais je n’ai pas du tout envie d’essayer, c’est bon, j’ai donné…Il y a plein d’autres trucs à voir !
Non, vraiment, je n’arrive toujours pas à croire comment on peut mettre si peu de choses dans un film…Je n’avais encore jamais vu un truc aussi vide et cliché de toute ma vie :
- Joaquin Phoenix dans rôle du cliché prof de philo qui ne fait rien que de jouer le déprimé quand il est déprimé (boire du scotch dans une flaque à longueur de journée et ne fait rien que d'être défaitiste) ou le mec trop happy lorsque tout d’un coup il n’est plus déprimé (dire bonjour à tout le monde, remplacer son café noir du matin par un jus d’orange et des croissants !). Bref… Un personnage vide et grotesque.
- Emma Stone qui ne fait que jouer la femme in love, elle ne parle que de Joaquin Phoenix à chaque fois qu’elle apparait à l’écran... Et c’est tout, Bref, elle ne fait que ça durant tout le film… Un personnage vide et grotesque.
- Le petit copain jaloux, idem, il ne parle que de sa jalousie… Un personnage vide et grotesque.
- Et idem pour tous autres.
- Pareil pour la musique, c’est bien simple on a une boucle de 30 secondes dans un style jazz pop qui apparait une 6/7 de fois dans le film et trois extraits des œuvres les plus connu de Bach !!! (tapé J.B. Bach sur youtube, et vous obtiendrez parmi la liste des suggestions les trois œuvre en questions). Vide et grotesque encore une fois.
- Le montage, c'est la même chose et pourtant, je ne regarde que rarement ce genre de détails, mais là, ça dégouline de cliché maladroit, et vas-y que je te mets des foutu fondu milieu entre deux scènes, et vas que je te mets une voix off afin de bien comprendre la psychologie des personnages qui sont aussi niais et charismatiques qu’une huitre ! J’ai même repéré une p'tite dizaine de faux raccords…Moi qui pourtant n’en vois que très rarement, surtout lors de la première visualisation ! C’est une véritable performance d’en arriver là, ah oui oui !
D’ailleurs, lors de la première moitié du film, il ne passe tellement rien que si tous les dialogues auraient été en langage des sims, rien n’aurait été survolé (véridique !), et pourtant, qu’est-ce que ça cause ! A la fin chaque scènes, on a même droit à une voix off qui explique bien ce que ressentent les personnages au cas où l’autiste au fond de la salle de cinéma n’aurait toujours pas compris que Emma Stone est amoureux de Joaquin Phoenix qui déprime et que son petit copain, bah il est jaloux ! Chaque scènes oui !!! Et ça durant toute la première moitié du film bordel !!!
Bon, voilà, ne perdez pas 1h30 de votre vie à aller voir ce film, sauf si vous vous voulez marrer un bon coup à la rigueur, mais attendez au moins de pouvoir le télécharger sur KickassTorrent ! Ah foui foui, ne mettez pas votre argent dans une séance de cinéma pour voir cela ! À la place, aller boire une bonne bière en bar, c’est bon ça la bière !
Mais quand même, ça m’écœure de voir qu’il y aient autant de jeunes cinéastes de fou qui en chie comme des malades à faire diffuser leurs film et que monsieur Woody Allen peut se permettre à sortir un étron pareil chaque années comme une industrie de film. Bon, certes, je n’ai vu que celui-là, donc je peux pas juger sur les autres, mais je n’ai pas du tout envie d’essayer, c’est bon, j’ai donné…Il y a plein d’autres trucs à voir !
Incroyable, je suis allé jusqu'à la fin du film..... pour un woody allen c'est déjà un exploit..... c'est comme toujours verbeux et prétentieux avec une philosophie pompeuse mais l'intrigue et le jeu d'Emma Stone et de Joaquin Phoenix arrivent à nous tenir éveillé et à vouloir connaitre la fin. C'est déjà pas si mal.....
Un Woody Allen de bonne facture, extrêmement classique dans sa conception mais relevé par une formidable interprétation.
Un Woody Allen mineur. On retrouve la noirceur de "Match Point" ou "Crimes et délits", mais le scénario est bien moins efficace et témoigne d'une certaine désinvolture.
Encore un très bon cru de Woody Allen. Un prof de philo dépressif, en pleine crise existentielle, reprend goût à la vie quand il décide de planifier un meurtre pour réparer une décision injuste faite par un juge un peu trop partial. Il développe alors un raisonnement très rationnel pour justifier l’acte qu’il souhaite commettre. Woody Allen atteint là le comble du cynisme, dans un film un peu plus noir qu’habituellement, se rapprochant quelque peu de ses excellents Match Point et Crimes et Délits. Ce prof vient bousculer ce monde universitaire petit bourgeois, permettant par là même au personnage joué par Emma Stone, nouvelle muse de Woody Allen, de s’échapper de sa relation ennuyeuse et un peu étriquée avec son petit ami, dont l’avenir est tracé d’avance, fermant alors de manière désespérante le champ de possible. Un des meilleurs films de 2015 mais ce n'est pas non plus un des meilleurs films du récent Woody Allen, il ne dépasse pas Blue Jasmine qui était tout de même sacrément meilleur.
Vous pouvez consulter mon classement des meilleurs films de 2015 ainsi que des critiques complètes (illustrées et parfois accompagnées d'extraits) sur mon blog:
Vous pouvez consulter mon classement des meilleurs films de 2015 ainsi que des critiques complètes (illustrées et parfois accompagnées d'extraits) sur mon blog:
Le parfait exemple du film dont la fin ruine absolument tout.
L'homme irrationnel proposait des idées intéressantes et novatrices sur les thèmes importants de la vie, mais tout est foutu par terre avec la fin qui va à l'encontre de tout ce qui est développé pendant environ 1h15.
Alors oui, les personnages sont très travaillés, les dialogues également, y a une bonne réalisation derrière tout ça, encore qu'il n'y a rien de franchement original, c'est très classique quand j'y pense, surtout les plans de caméra. Dans ce film, on nous illustre la dualité entre la raison et la pulsion, mais franchement fallait-il vraiment conclure cette leçon de vie de cette manière ? Puis si ça ne concernait qu'un personnage le raté, mais non, c'est tout le casting qui y passe. A vouloir être manichéen, et pas assumer ses personnages, Woody Allen m'a donné la sensation de jeté tout à la poubelle, pour pas choquer tout le monde. Vraiment la peur d'aller au bout de ses idées, y a pas plus décevant...
Bref, ce film mérite d'être vu pour se forger sa propre opinion et pour aborder les idées développés, mais la fin supprime royalement tout le propos du film. Si je devais résumer mon expérience en un mot : frustration.
L'homme irrationnel proposait des idées intéressantes et novatrices sur les thèmes importants de la vie, mais tout est foutu par terre avec la fin qui va à l'encontre de tout ce qui est développé pendant environ 1h15.
Alors oui, les personnages sont très travaillés, les dialogues également, y a une bonne réalisation derrière tout ça, encore qu'il n'y a rien de franchement original, c'est très classique quand j'y pense, surtout les plans de caméra. Dans ce film, on nous illustre la dualité entre la raison et la pulsion, mais franchement fallait-il vraiment conclure cette leçon de vie de cette manière ? Puis si ça ne concernait qu'un personnage le raté, mais non, c'est tout le casting qui y passe. A vouloir être manichéen, et pas assumer ses personnages, Woody Allen m'a donné la sensation de jeté tout à la poubelle, pour pas choquer tout le monde. Vraiment la peur d'aller au bout de ses idées, y a pas plus décevant...
Bref, ce film mérite d'être vu pour se forger sa propre opinion et pour aborder les idées développés, mais la fin supprime royalement tout le propos du film. Si je devais résumer mon expérience en un mot : frustration.
Du Woody Allen donc forcément un film très bavard, devant lequel j'ai passé un agréable moment. Loin d'être incontournable, c'est un beau film tout de même.
Cinéphiles 44
Si Woody Allen a abordé de nombreuses fois la thématique du crime, L’homme irrationnel traite le sujet avec comédie. D’ailleurs, pas une seule seconde on a l’impression que cela va arriver. C’est au départ l’histoire d’un prof de philo adulé par les femmes. Pourtant quand on regarde cet homme, on ne voit qu’un alcoolique perdu dans ses pensées. Il va alors trouver en une étudiante, la muse qu’il attendait depuis quelques mois. L’histoire est fidèle à ce qu’on attend du cinéaste aujourd’hui. Partis dans un marathon de réalisation, Woody ne pense plus rien avoir à prouver. Il écrit alors des scénarios à la va vite et s’entourent de bons acteurs pour faire le boulot. Oui ses histoires sont bien ficelées mais elles pourraient être mieux L’Homme irrationnel résonne l’absence d’investissement de sa part. Bref si le duo fonctionne bien, la chute est quant à elle expéditive et on maintenant l’habitude d’être déçu du maître.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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On connaît la vieille fascination de Woody Allen pour le thème dostoievskien du crime et de la culpabilité - ou non -, qui lui a permis de réaliser deux de ses meilleurs films, "Crimes et Délits" et "Match Point". C'est donc avec un sentiment ambigu de redite, mais en anticipant quand même un certain plaisir que nous suivons l'ami Woody au long de cet "Homme Irrationnel" des plus théoriques - puisque les personnages sont plus ici des concepts qu'autres choses, et que Allen les fait comme à son habitude déblatérer sans fin sur les thèmes "philosophiques" qui les occupent - vers une conclusion que nous espérons cruelle et "immorale"… Pour nous retrouver déconfits devant le petit coup de pouce donné par le Hasard - sous la forme cette fois d'une lampe de poche - afin que l'ordre du monde soit restauré, de manière assez misérable, il faut bien l'avouer. Si l'on se souvient que le même motif de l'équilibre et du basculement servait à conclure superbement "Match Point", on peut se demander si Allen n'a pas voulu ici rétablir une sorte de balance justement - prouvant in extremis (les années passent…) à son public américain puritain qu'il n'est pas un si mauvais bougre que ça, et qu'il comprend bien que les rêves éhontés et lubriques de fuite en Espagne ne "doivent" pas se matérialiser. Il s'agit indiscutablement d'une déception, "l'Homme Immoral" (sous-entendu européen et donc pervers) - un excellent Joaquin Phoenix, comme toujours, malgré une surprenante petite brioche - étant vaincu par l'innocente midinette américaine - une Emma Stone aussi irritante que dans "Magic in the Moonlight". Si l'on ajoute, ce qui ne surprendra plus personne en 2015, une mise en scène paresseuse et un terrible manque de conviction général, "l'Homme Irrationnel" s'avère bel et bien une vraie déception, une de plus dans la filmographie en pleine déliquescence d'un réalisateur usé qui n'a pas su s'arrêter à temps.
Très bon Woody Allen avec une histoire captivante,j'avais adoré Match Point et celui la m'y a fait penser sur certains points.Joaquin Phoenix est taillé pour ce rôle!c'est un plaisir de le voir jouer et Emma Stone est très crédible également.J'ai eu peur d'avoir un film avec une simple romance et ennuyeux et finalement ce n'est pas du tout ça.J'ai pas décroché 1 seconde.4/5
L'homme irrationnel est un Woody trés agréable, narritivement assez proche de Match Point en moins abouti à mon sens. Joaquim est comme toujours top dans son rôle, trés crédible. Pour le reste rien d'exceptionnel mais un bon moment.
Woody Allen poursuit avec la même régularité sa volonté de sortir un film par an. Après la sympathique comédie romantique Magic in the moonlight, le réalisateur s'attaque à la comédie dramatique.
Bien sur, ses habituels thèmes sont présents : relations amoureuses triangulaires, philosophie, sens de la vie. SI le scénario semble patiner un peu dans la première partie du film, celui-ci va décoller à partir d'une scène clé pour passer d'une romance intellectuelle à un semi-polar philosophique.
Comme toujours, Woody Allen s'entoure d'acteur au talent qui n'est plus à prouver. Joaquin Phoenix et Emma Stone (2e passage chez Woody Allen; va-t-elle devenir sa nouvelle muse après Scarlett Johansson ?) sont tous deux impeccables et forment un parfait duo.
La fin achève le film sur une note surprenante mais restant dans le style du réalisateur. La comparaison avec Match Point ne pourra d'ailleurs pas être esquivée.
Un bon Woody Allen qui ne révolutionnera pas sa filmographie mais qui lui maintient sa cohérence. Bien tendance très bien !
Bien sur, ses habituels thèmes sont présents : relations amoureuses triangulaires, philosophie, sens de la vie. SI le scénario semble patiner un peu dans la première partie du film, celui-ci va décoller à partir d'une scène clé pour passer d'une romance intellectuelle à un semi-polar philosophique.
Comme toujours, Woody Allen s'entoure d'acteur au talent qui n'est plus à prouver. Joaquin Phoenix et Emma Stone (2e passage chez Woody Allen; va-t-elle devenir sa nouvelle muse après Scarlett Johansson ?) sont tous deux impeccables et forment un parfait duo.
La fin achève le film sur une note surprenante mais restant dans le style du réalisateur. La comparaison avec Match Point ne pourra d'ailleurs pas être esquivée.
Un bon Woody Allen qui ne révolutionnera pas sa filmographie mais qui lui maintient sa cohérence. Bien tendance très bien !
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