Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Quel bonheur de voir ce cinéaste toujours aussi inventif. Qu'il s'agisse du scénario, qu'il a écrit, de la réalisation, qu'il assume, quel talent ! "L'Homme irrationnel" est une perle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Jacques ebstein
Comédie universitaire efficace et spirituelle emmenée par un séduisant duo d'acteurs, "L'Homme irrationnel" renoue avec le meilleur du cinéaste américain.
Marianne
par Danièle Heymann
D'une noirceur succulente, le dernier opus de Woody Allen dépeint avec malice et délice les errances existentielles d'un prof de philo dépressif.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une comédie mi-existentielle mi-policière, troussée avec une fieffée malice.
Positif
par Grégory Valens
Il faut louer d’ailleurs, quand bien même elle ne surprend plus, la maestria de Woody Allen à raconter une histoire dépouillée de toute fioriture (...) Mais le cinéaste ose aussi, selon les leçons de ses maîtres, transgresser les codes narratifs établis, proposer un récit en double voix off toute manckiewiczienne, et l’accorder à un personnage qui devrait en être privé.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un polar philosophique, narquois, brillant.
Télérama
par Louis Guichard
Le film négocie un spectaculaire virage vers la noirceur, tendance sardonique. (...) Aux antipodes de la bien-pensance, Woody Allen propose donc un improbable éloge du crime, comme unique remède au vide existentiel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Son héros joyeusement cynique fait sourire et frissonner, mais le réalisateur a aussi soigné les personnages féminins (...)
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Porte par le charismatique Joaqum Phoenix, le film multiplie les registres (romance, thriller...) pour ficeler une fable sur le sens de la vie. En outre, il confirme Emma Stone comme nouvelle muse du cinéaste new-yorkais.
Femme Actuelle
par La rédaction
Ce dernier Woody Allen est un tres bon cru. On y retrouve toute son ironie mordante et son sens des dialogues. Savoureux et jubilatoire, ce bijou sombre s'annonce comme une comédie romantique pour finir en film noir aux références hitchcockiennes
L'Express
par Eric Libiot
Le film passe allégrement d'un thème à l'autre et montre ses limites justement à cause de ça. Mais Allen joue aussi sur le plaisir de l'intrigue, le suspens, et la pirouette finale. Emballé et pesé avec décontraction et un talent fou.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Dominique Widemann
Voici un nouveau Woody Allen qui permet au cinéaste de revenir à ses thèmes de prédilection sur une palette chaleureuse. Son "Homme irrationnel", manière et matière, se rapproche davantage de films plus anciens comme "Meurtre mystérieux à Manhattan", pour ce qui est du suspense métaphysique, ou encore de "Match Point", s'agissant d'une mécanique moindre détail va concourir.
La Croix
par Arnaud Schwartz
La vie est-elle affaire de morale ? De choix ? D’esthétique ? De hasard ? Les grandes questions alléniennes s’entrechoquent à nouveau dans "L’Homme irrationnel", réjouissante livraison annuelle de l’infatigable bateleur du cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Tout cela risquerait de faire une très indigeste leçon de philo si celle-ci n'était dispensée par le maître Woody Allen, qui a tôt fait de la transformer, par la touche d'un humour qui prend toujours plaisir à être la forme la plus virtuose de la politesse du désespoir, en une brillante illustration pratique à travers l'histoire d'un personnage auquel Joaquin Phoenix apporte toute la densité séduisante de son charisme.
Le Point
par Phalène de La Valette
Woody Allen n'est jamais aussi bon que lorsqu'il joue les funambules, déambulant à l'équilibre des genres et des humeurs. Et s'il voltige moins haut que "Blue Jasmine", "L'homme irrationnel" est de ces numéros là, plaisant mélange de comédie romantique, de film noir et de tragédie par l'absurde.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
"L'Homme irrationnel" a la bonne idée de prendre à mi-parcours un virage inattendu, lâchant la comédie de moeurs plaisante pour une fable noire d'une vertigineuse intensité.
Paris Match
par Christine Haas
Le cinéaste n’a rien perdu de sa pugnacité et retrouve avec bonheur son obsession des réalités déprimantes. Mais comme toujours, il le fait avec beaucoup d’humour et d’élégance.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Eric Libiot
Allen joue aussi sur le plaisir de l'intrigue, le suspens, et la pirouette finale. Emballé et pesé avec décontraction et un talent fou.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Moins paresseux que "Magic in the Moonlight" et "Blue Jasmine", "L'Homme irrationnel" est surtout une façon ludique pour Woody Allen de se moquer de son personnage public de vieux misanthrope désespéré.
Voici
par La rédaction
Derrière les images et la mise en scène élégantes et la comédie séduisante, se cache un drame existentiel. Un conte (im) moral et cynique, un ego trip à la mode de Kant.
VSD
par Bernard Achour
Entre suspense policier, paradoxe moral (se sentir revivre à l’idée d’administrer la mort, rien que ça !) et romance ambiguë avec une étudiante finaude, le résultat captive et stimule. Seul regret : les dialogues souvent trop explicatifs lui enlèvent une partie de son mystère et de sa profondeur.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Allen donne l’impression de rejouer un air connu qu’il ne se donnerait plus la peine de moduler. (…) Heureusement, le film trouve, en bifurquant sur le point de vue de l’apprentie maline, le ton juste, à la hauteur de sa temporalité estivale et véloce.
Ecran Large
par Chris Huby
En dépit de quelques facilités de mise en scène, le réalisateur est toujours aussi maître de son propos.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par La Rédaction
Le film file droit. Si la route qu’il trace n’est pas sans agrément, elle est taillée avec cette désinvolture devenue la marque de fabrique du cinéaste. Or, de quelqu’un qui a donné au cinéma de vrais chefs-d’œuvre, on attend plus et mieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit divertissant qui se savoure pour ses dialogues croustillants et le jeu complice de ses interprètes, Joaquin Phoenix et Emma Stone.
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Irrational Man" est bancal parfois, désinvolte souvent, mais un thriller métaphysique qui pulse d'une force infatigable.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Entre thriller et comédie de mœurs, le retour désinvolte de Woody Allen. Le film a le mérite de renouer, çà et là, avec l'une des veines les plus stimulantes de son cinéma : celle de “Crimes et délits” et “Match Point”.
Première
par Frédéric Foubert
Emma Stone, après "Magic in the moonlight" continue de s’affirmer comme l’une des réincarnations les plus crédibles des grandes héroïnes de l’âge d’or Et Phoenix est une fois de plus sensationnel. (...) Tout ça fait un Woody Allen pas mal.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Une fois encore après "Le rêve de Cassandre", le cinéaste de 79 ans joue les mêmes notes, déclinant les obsessions noires de "Crimes et délits". Tout petit Woody Allen donc, qui peut à la rigueur fonctionner au charme (Joaquin Phoenix et sa nouvelle muse Emma Stone).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Woody Allen signe, entre thriller et romance, une comédie qui séduit moins par l'originalité de son propos que par le charme de ses acteurs.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Plus surprenant que "Magic in the Moonlight", doté de dialogues aussi affûtés que "Blue Jasmine", "L’Homme irrationnel" n’en demeure pas moins une œuvre mineure, quoi qu’attachante. De ces films charmants et subtils qui ne feront pas oublier la grâce implacable d’un "Match Point".
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Si le cinéma de Woody Allen a toujours été intimement travaillé par le gros trait psychologique voire la caricature, il atteint ici une limite peu excusable qui, à l'instar de "Blue Jasmine", donne l'impression de voir un film complètement désinvesti, inhabité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Damien Bonelli
"L’Homme irrationnel" donne l’impression d’avoir été tourné par un ersatz de Woody Allen, aux abonnés absents sur ce projet où seuls les acteurs s’en donnent à cœur joie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Clément Ghys
Pour son énième film, l’Américain se noie dans un bouillon cryptophilosophique, à des années-lumière de son talent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
Quel bonheur de voir ce cinéaste toujours aussi inventif. Qu'il s'agisse du scénario, qu'il a écrit, de la réalisation, qu'il assume, quel talent ! "L'Homme irrationnel" est une perle.
GQ
Comédie universitaire efficace et spirituelle emmenée par un séduisant duo d'acteurs, "L'Homme irrationnel" renoue avec le meilleur du cinéaste américain.
Marianne
D'une noirceur succulente, le dernier opus de Woody Allen dépeint avec malice et délice les errances existentielles d'un prof de philo dépressif.
Ouest France
Une comédie mi-existentielle mi-policière, troussée avec une fieffée malice.
Positif
Il faut louer d’ailleurs, quand bien même elle ne surprend plus, la maestria de Woody Allen à raconter une histoire dépouillée de toute fioriture (...) Mais le cinéaste ose aussi, selon les leçons de ses maîtres, transgresser les codes narratifs établis, proposer un récit en double voix off toute manckiewiczienne, et l’accorder à un personnage qui devrait en être privé.
Sud Ouest
Un polar philosophique, narquois, brillant.
Télérama
Le film négocie un spectaculaire virage vers la noirceur, tendance sardonique. (...) Aux antipodes de la bien-pensance, Woody Allen propose donc un improbable éloge du crime, comme unique remède au vide existentiel.
20 Minutes
Son héros joyeusement cynique fait sourire et frissonner, mais le réalisateur a aussi soigné les personnages féminins (...)
CNews
Porte par le charismatique Joaqum Phoenix, le film multiplie les registres (romance, thriller...) pour ficeler une fable sur le sens de la vie. En outre, il confirme Emma Stone comme nouvelle muse du cinéaste new-yorkais.
Femme Actuelle
Ce dernier Woody Allen est un tres bon cru. On y retrouve toute son ironie mordante et son sens des dialogues. Savoureux et jubilatoire, ce bijou sombre s'annonce comme une comédie romantique pour finir en film noir aux références hitchcockiennes
L'Express
Le film passe allégrement d'un thème à l'autre et montre ses limites justement à cause de ça. Mais Allen joue aussi sur le plaisir de l'intrigue, le suspens, et la pirouette finale. Emballé et pesé avec décontraction et un talent fou.
L'Humanité
Voici un nouveau Woody Allen qui permet au cinéaste de revenir à ses thèmes de prédilection sur une palette chaleureuse. Son "Homme irrationnel", manière et matière, se rapproche davantage de films plus anciens comme "Meurtre mystérieux à Manhattan", pour ce qui est du suspense métaphysique, ou encore de "Match Point", s'agissant d'une mécanique moindre détail va concourir.
La Croix
La vie est-elle affaire de morale ? De choix ? D’esthétique ? De hasard ? Les grandes questions alléniennes s’entrechoquent à nouveau dans "L’Homme irrationnel", réjouissante livraison annuelle de l’infatigable bateleur du cinéma américain.
Le Dauphiné Libéré
Tout cela risquerait de faire une très indigeste leçon de philo si celle-ci n'était dispensée par le maître Woody Allen, qui a tôt fait de la transformer, par la touche d'un humour qui prend toujours plaisir à être la forme la plus virtuose de la politesse du désespoir, en une brillante illustration pratique à travers l'histoire d'un personnage auquel Joaquin Phoenix apporte toute la densité séduisante de son charisme.
Le Point
Woody Allen n'est jamais aussi bon que lorsqu'il joue les funambules, déambulant à l'équilibre des genres et des humeurs. Et s'il voltige moins haut que "Blue Jasmine", "L'homme irrationnel" est de ces numéros là, plaisant mélange de comédie romantique, de film noir et de tragédie par l'absurde.
Les Inrockuptibles
"L'Homme irrationnel" a la bonne idée de prendre à mi-parcours un virage inattendu, lâchant la comédie de moeurs plaisante pour une fable noire d'une vertigineuse intensité.
Paris Match
Le cinéaste n’a rien perdu de sa pugnacité et retrouve avec bonheur son obsession des réalités déprimantes. Mais comme toujours, il le fait avec beaucoup d’humour et d’élégance.
Studio Ciné Live
Allen joue aussi sur le plaisir de l'intrigue, le suspens, et la pirouette finale. Emballé et pesé avec décontraction et un talent fou.
Transfuge
Moins paresseux que "Magic in the Moonlight" et "Blue Jasmine", "L'Homme irrationnel" est surtout une façon ludique pour Woody Allen de se moquer de son personnage public de vieux misanthrope désespéré.
Voici
Derrière les images et la mise en scène élégantes et la comédie séduisante, se cache un drame existentiel. Un conte (im) moral et cynique, un ego trip à la mode de Kant.
VSD
Entre suspense policier, paradoxe moral (se sentir revivre à l’idée d’administrer la mort, rien que ça !) et romance ambiguë avec une étudiante finaude, le résultat captive et stimule. Seul regret : les dialogues souvent trop explicatifs lui enlèvent une partie de son mystère et de sa profondeur.
Cahiers du Cinéma
Allen donne l’impression de rejouer un air connu qu’il ne se donnerait plus la peine de moduler. (…) Heureusement, le film trouve, en bifurquant sur le point de vue de l’apprentie maline, le ton juste, à la hauteur de sa temporalité estivale et véloce.
Ecran Large
En dépit de quelques facilités de mise en scène, le réalisateur est toujours aussi maître de son propos.
L'Obs
Le film file droit. Si la route qu’il trace n’est pas sans agrément, elle est taillée avec cette désinvolture devenue la marque de fabrique du cinéaste. Or, de quelqu’un qui a donné au cinéma de vrais chefs-d’œuvre, on attend plus et mieux.
Le Journal du Dimanche
Un récit divertissant qui se savoure pour ses dialogues croustillants et le jeu complice de ses interprètes, Joaquin Phoenix et Emma Stone.
Le Monde
"Irrational Man" est bancal parfois, désinvolte souvent, mais un thriller métaphysique qui pulse d'une force infatigable.
Les Fiches du Cinéma
Entre thriller et comédie de mœurs, le retour désinvolte de Woody Allen. Le film a le mérite de renouer, çà et là, avec l'une des veines les plus stimulantes de son cinéma : celle de “Crimes et délits” et “Match Point”.
Première
Emma Stone, après "Magic in the moonlight" continue de s’affirmer comme l’une des réincarnations les plus crédibles des grandes héroïnes de l’âge d’or Et Phoenix est une fois de plus sensationnel. (...) Tout ça fait un Woody Allen pas mal.
TF1 News
Une fois encore après "Le rêve de Cassandre", le cinéaste de 79 ans joue les mêmes notes, déclinant les obsessions noires de "Crimes et délits". Tout petit Woody Allen donc, qui peut à la rigueur fonctionner au charme (Joaquin Phoenix et sa nouvelle muse Emma Stone).
Télé 7 Jours
Woody Allen signe, entre thriller et romance, une comédie qui séduit moins par l'originalité de son propos que par le charme de ses acteurs.
aVoir-aLire.com
Plus surprenant que "Magic in the Moonlight", doté de dialogues aussi affûtés que "Blue Jasmine", "L’Homme irrationnel" n’en demeure pas moins une œuvre mineure, quoi qu’attachante. De ces films charmants et subtils qui ne feront pas oublier la grâce implacable d’un "Match Point".
Chronic'art.com
Si le cinéma de Woody Allen a toujours été intimement travaillé par le gros trait psychologique voire la caricature, il atteint ici une limite peu excusable qui, à l'instar de "Blue Jasmine", donne l'impression de voir un film complètement désinvesti, inhabité.
Critikat.com
"L’Homme irrationnel" donne l’impression d’avoir été tourné par un ersatz de Woody Allen, aux abonnés absents sur ce projet où seuls les acteurs s’en donnent à cœur joie.
Libération
Pour son énième film, l’Américain se noie dans un bouillon cryptophilosophique, à des années-lumière de son talent.