Note moyenne
3,9
16 titres de presse
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Le Point
Le guerrier traumatisé est presque un cliché. Mais rarement on avait avec autant d'attention, de rigueur montré en acte ce ressenti de l'homme à fleur de peau qui tente de recoller les morceaux. Chaque scène est un suspense. Un happening, dans les mots, les silences, les corps.
Les Inrockuptibles
Le film de Bécue-Renard est ample et beau parce qu’il s’attache avec patience à la bouleversante figure de l’homme blessé, sans jamais forcer la main.
Marianne
(...) un documentaire poignant, une plongée dans les abysses d'une humanité fracassée, une longue immersion en apnée, - car on a souvent le souffle coupé (...)
Cahiers du Cinéma
La densité exceptionnelle de Of Men and War est à la mesure de sa grande économie narrative, qui donne toute latitude au spectateur pour appréhender autant de signes d’un mal collectif et autant de parcours individuels.
La Croix
Un choc (...) D'une grande rigueur, frappant et émouvant sans être sensationnaliste ni voyeur.
La Voix du Nord
Tétanisante et bouleversante aventure humaine !
Le Journal du Dimanche
Ils reviennent d’Irak ou d’Afghanistan et sont atteints de syndromes post-traumatiques. Ils témoignent dans ce doc puissant.
Le Monde
(...) Laurent Bécue-Renard nous cueille dès l'ouverture d'"Of Men and War" (...)
Les Fiches du Cinéma
Laurent Bécue-Renard a filmé quelques ex-combattants américains d'Irak ou d'ailleurs qui tentent de se reconstruire au “Pathway Home”. Un documentaire passionnant.
Positif
La parole de ce documentaire exigeant est puissante, charriant dans son énonciation des atrocités refoulées, des colères inextinguibles.
Première
Sans porter aucun jugement sur les causes des conflits armés, le fim impressionne par son ampleur humaniste, digne des grandes fictions post-Vietnam.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
En filmant au long cours, Laurent Bécue-Renard tient la chronique, pudique mais frontale, d'une thérapie.
Critikat.com
C’est néanmoins ce qui fait la beauté un peu fragile et froide de cet exigeant (mais juste) documentaire : en restant au plus près de ces corps abîmés, sans jamais les surplomber, la mise en scène finit par plonger dans cette stase psychique qu’elle n’a cessé de vouloir ausculter.
L'Express
Voir le site de l'Express.
Libération
(...) Un film lent, avec de longs plans, qui gagnerait parfois à être un peu resserré.