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norman06
351 abonnés
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3,0
Publiée le 15 novembre 2014
Comédie attachante mais un brin vieillotte, avec ses mots d'auteur à l'ancienne et ses situations prévisibles. Mais le beau dénouement nous réveille d'un semi-sommeil.
petite déception devant cette comédie gentillette aux allures de téléfilm, où rien de surprend ni n'amuse. les personnages sont sympathiques, mais un brin outrancier et caricaturaux. trop peut-être. ceci dit, ce n'est pas désagréable. ça manque juste de saveur.
Gentille historiette sur une amitié fusionnelle et envahissante entre deux associés. Jusque-là ça va mais le scénario et surtout l'interprétation frôle la caricature. Néanmoins le film se laisse voir comme une petite curiosité.
Ce film est une arnaque. Une histoire sans queue ni tête, sans profondeur, avec deux acteurs qui ressemblent vaguement à Ricardo Darin et Nathalie Baye (des pauvres!), avec une esthétique et une musique ringardes, style pub pour shampoing année '70, ou comédie série Z de la même époque. On se demande comment un produit pareil peut arriver sur les écrans parisiens, avec en plus l'argument publicitaire fallacieux que ce serait du Woody Allen argentin. Si au moins on riait (ou souriait) une fois ! Pathétique. Surtout que c'est tellement facile de trouver en Argentine des bons films!
Pour son deuxième film, Daniel Burman nous entraîne dans une comédie plus tôt réussie même si un peu longuette et dont la fin est prévisible des le milieu du film. On notera ?beaucoup de qualité narrative déjà au générique et début de film dans la façon où D Burman plante et le décor et ses personnages. Très bien interprété notamment par la pétillante Inés Estévez (dans le rôle de Laura) et Guillermo Francella (jouant Santiago), plein de charme . Un méli-mélo doux-amer sur l'absence, l'amitié (voire l'amour) qui avec le temps s'émousse .
Ce malheureux Daniel Burman est étiqueté "Woody Allen argentin" depuis ses débuts. Une comparaison encombrante et très moyennement justifiée (l'humour juif ?). L'affiche de Felicidad le souligne encore comme argument marketing. Passons. A l'origine, le film s'intitule El misterio de la felicidad (Le mystère du bonheur) qui est pile son sujet, dans le sens où la recherche dudit bonheur est une affaire tellement aléatoire et personnelle qu'elle échappe même à ceux qui sont les plus proches de nous. C'est ce que constatent l'associé/meilleur ami et l'épouse d'un quinquagénaire qui disparait du jour au lendemain sans prévenir. Sur un registre plus mélancolique que franchement drôle, Daniel Burman signe un film chaleureux et futé, trop benoitement mis en scène mais fort joliment dialogué et interprété. Felicidad possède un charme certain et modeste qui fait du bien. Cependant, pour des sensations plus fortes en provenance d'Argentine, il faudra attendre l'émotion de Canada Morrison (fin novembre) et surtout la folie de Les nouveaux sauvages (janvier).
Le film démarre avec une entrée en matière un peu longue durant laquelle la musique épargne l'élaboration de dialogues et où l'on s'attache à nous faire la démonstration que nos deux compères sont tels les Dupond et Dupont. Ils font tout ensemble, de façon similaire, l'un et l'autre étant et pensant pareillement. Cela est traité de manière légère, se voulant sans doute humoristique. C'est drôle parfois, irritant également quelquefois. Pour Santiago, c'est le bonheur. Pour Eugenio, il y a un mystère du bonheur, puisqu'un beau jour, il va disparaitre sans explications. La femme d'Eugenio va se joindre à Santiago, car tous deux veulent comprendre ce qui s'est passé avec le disparu. Qu'est-ce qui fait alliance entre deux hommes, entre un homme et une femme? Qu'est-ce qui unit deux êtres jusqu'au jour où cela s'arrête, voilà quelques unes des questions abordées dans ce film fondé sur une gémellité mimétique, qui permettrait de se reconnaitre dans l'autre, de s'y noyer tel Narcisse plongeant dans son reflet. Une drôle d'histoire pas déplaisante à regarder, mais bon...
Comédie légère, on sourit plus qu'on ne rit mais le thème de l'amitié est bien abordé. Les comédiens sont épatants, la mise en scène moyenne avec une utilisation de la musique qui m'a parfois agacé. La première partie est bien trouvée, la seconde est assez drôle avec notamment de bons dialogues, la dernière est assez attendue et moins réussie.
A 41 ans, le réalisateur argentin Daniel Burman signe avec "Felicidad" son 9ème long métrage. Peut-être du fait de ses origines juives, on dit parfois de lui qu’il est le Woody Allen argentin. Mais de quel Woody Allen, s’agit-il, celui de la première moitié de carrière, si brillant, si drôle, ou le Woody Allen actuel, monsieur "un film chaque année", le plus souvent décevant ? Décevant. Oui, c’est bien le mot qui convient pour qualifier cette comédie romantique assez poussive qui nous parle de ce que représente une amitié profonde entre deux hommes et reprend le thème usé jusqu’à la corde de la naissance d’une relation entre un homme et une femme que tout sépare au départ. Même le début du film, qui pourrait faire penser à du Tati, est très très loin du modèle !
quel beau mercredi, non seulement la ville est ensoleillé sous 22 degrés, mais je vois deux bons films après le "november man" de ce matin......Autant le dire ce felicidad prouve le retour en forme du cinéma argentin dans une comédie sucrée salée, où un ami recherche son "comparse" soudain disparu.....Les personnages sont avant tout chaleureux, comme la musique qui illustre certaines scènes et qui apporte lumière et bonne humeur.....Les dialogues sont sympathiques et souvent subtilement drôle (en ayant l'air de ne pas l'être).......Le plan séquence d'introduction est jubilatoires (parodiant presque le générique d'amicalement votre de loin).......Que ce soit les hommes ou les femmes, les dialogues sont souvent amicaux aussi et le jeu d'acteur est brillant ton remarquera le très sympathique acteur de 'jours de pêche en Patagonie" dans un rôle secondaire.....On en redemande de ce cinéma argentin, fragile et chaleureux, apportant un peu du soleil de Buenos Aires, avec des plans urbains soignés et accrocheurs.....Quant à la fin au Brésil, elle est superbe et ensoleillée......j'ai vraiment aimé......
Gone boy ! Felicidad, jolie fable sur la quête du bonheur, est emmené par un casting touchant et convaincant. Le spectateur trouve écho au travers de thèmes universels qui nous parlent. Un bon moment de joie qui nous rappelle que le bonheur se décide! Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !