Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un voyage au coeur de l’absence et du vide existentiel, qui amène les personnages à se retrouver eux-mêmes.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Une comédie en demi-teinte, où la mélancolie l'emporte sur le sourire, plaisante et moins convenue qu'il y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une comédie douce-amère sur le thème de l'identité et du partage.
Positif
par Yann Tobin
Le réalisateur du "Fils d'Elias" (...) est désormais une valeur sûre du cinéma argentin. Il propose pour son neuvième long-métrage une plaisante fable satirique sur l'usure de l'amitié et de l'amour.
Première
par Christophe Narbonne
L'absence est au coeur de l'oeuvre de Burman (...), représentant éminent du nouveau cinéma argentin. (...) Subtilement et avec humour, le cinéaste mène ses deux protagonistes sur le chemin de la réconciliaiton avec eux-mêmes.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il n'en reste pas moins qu'à côté de la transparence de la mise en scène, de la lisibilité de la trame narrative et de la séduisante aisance des acteurs, cela chiffonne.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Daniel Burman réalise une comédie mise en scène avec minutie. Un peu trop : la mécanique y semble toujours un peu artificielle. Mais la comédie est portée par des acteurs impeccables.
Télérama
par Frédéric Strauss
En retraçant cette amitié très conjugale et cette vie conjugale où ne restait pas même de l'amitié, l'Argentin Daniel Burman privilégie les paradoxes et la fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le cinéaste argentin frôle le style publicitaire en appuyant ses effets et en résumant des pans entiers du récit sur fond musical guilleret.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par La Rédaction
Cette comédie argentine de Daniel Burman, malgré des débuts prometteurs, finit par s'essouffler.
TF1 News
par Romain Le Vern
On ne saisit pas bien la plus-value de cette comédie du proclamé émule argentin de Woody Allen qui, en dépit du charmant abattage de ses acteurs, ressemble surtout à une bonne vieille comédie de chez nous dont on connaît par cœur les rouages et les oppositions binaires (le fameux et sempiternel "qui ne se ressemblent pas s'assemblent").
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le Dauphiné Libéré
Un voyage au coeur de l’absence et du vide existentiel, qui amène les personnages à se retrouver eux-mêmes.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie en demi-teinte, où la mélancolie l'emporte sur le sourire, plaisante et moins convenue qu'il y paraît.
Ouest France
Une comédie douce-amère sur le thème de l'identité et du partage.
Positif
Le réalisateur du "Fils d'Elias" (...) est désormais une valeur sûre du cinéma argentin. Il propose pour son neuvième long-métrage une plaisante fable satirique sur l'usure de l'amitié et de l'amour.
Première
L'absence est au coeur de l'oeuvre de Burman (...), représentant éminent du nouveau cinéma argentin. (...) Subtilement et avec humour, le cinéaste mène ses deux protagonistes sur le chemin de la réconciliaiton avec eux-mêmes.
Le Monde
Il n'en reste pas moins qu'à côté de la transparence de la mise en scène, de la lisibilité de la trame narrative et de la séduisante aisance des acteurs, cela chiffonne.
Sud Ouest
Daniel Burman réalise une comédie mise en scène avec minutie. Un peu trop : la mécanique y semble toujours un peu artificielle. Mais la comédie est portée par des acteurs impeccables.
Télérama
En retraçant cette amitié très conjugale et cette vie conjugale où ne restait pas même de l'amitié, l'Argentin Daniel Burman privilégie les paradoxes et la fantaisie.
L'Humanité
Le cinéaste argentin frôle le style publicitaire en appuyant ses effets et en résumant des pans entiers du récit sur fond musical guilleret.
La Croix
Cette comédie argentine de Daniel Burman, malgré des débuts prometteurs, finit par s'essouffler.
TF1 News
On ne saisit pas bien la plus-value de cette comédie du proclamé émule argentin de Woody Allen qui, en dépit du charmant abattage de ses acteurs, ressemble surtout à une bonne vieille comédie de chez nous dont on connaît par cœur les rouages et les oppositions binaires (le fameux et sempiternel "qui ne se ressemblent pas s'assemblent").