Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
L'Obs
par Pierre Murat
C'est étrangement prenant et ça ne ressemble à rien que l'on ait déjà vu. Ah oui, il faut le dire aussi, c'est drôle, c'est même très drôle.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Filmées avec des bouts de ficelle, en extérieurs (...) ces confessions d’enfants du siècle portent les traits sans fard de vieux punks sur le retour encore capables (...) d’arracher au quotidien des éclats lyriques qui fouettent les sangs, chatouillent les sens et blessent la bonne conscience. Absolument nécessaire donc.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
La balade mortuaire lucide et appliquée d’un personnage interprété par Michel Houellebecq, et qui lui ressemble comme un frère de désenchantement.
Le Monde
par Sandrine Marques
(...) (Kervern et Delépine) tirent une grande poésie, drôle et désespérée, en totale harmonie avec l'univers de Houellebecq, (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Notre antihéros (...) joue de façon très vivante à faire le mort.
Libération
par Didier Péron
Un léger ennui plane sur l’ensemble mais pas désagréable. Le film pourrait être une émission de radio, car la voix de Houellebecq, off, parle et parle encore avec cette musicalité fluette si particulière.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Une élégie burlesque et poignante.
Metro
par Marilyne Letertre
Un ovni minimaliste, entre comédie burlesque, poésie macabre et questionnements existentiels.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Existentiel jusqu’à la nausée, ensoleillé par un humour noir (...), "Near Death Experience" (Expérience de mort imminente) est, c’est le cas de le dire, une expérience extrême. Extrêmement vivante, même !
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
Servi par une image délibérément low cost, ce one-man-show existentialiste possède une force extraordinaire.
TF1 News
par Romain Le Vern
Après l'hilarant "Enlèvement de Michel Houellebecq" de Guillaume Nicloux, cette expérience lunaire, poétique et hyper-touchante, confirme le génie d'acteur burlesque/tragique de l'écrivain.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Louis Séguin
L'éternel décalage entre le personnage et l'environnement sauvage (...) provoque des effets comiques très réussis (...).
Télérama
par Jacques Morice
Du point de vue des auteurs cinéastes, c'est presque un manifeste d'anticinéma, de l'expérimental moche, à contre-courant de Gerry, de Gus Van Sant, auquel on pense forcément. Ce serait risible si la dépression cafardeuse et la fatigue de vivre ne parvenaient pas, malgré tout, à suinter de manière si inédite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La Rédaction
(...) un Houellebecq déchaîné lorsqu’il s’agit de jouer un morceau d’air guitar sur War Pigs de Black Sabbath.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Alex Masson
De la rogne de Kevern et Delépine, il ne reste qu'un sombre (et bel) orage en générique d'ouverture.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Si ce nouveau film est une indéniable réussite formelle, Delépine et Kervern, à toujours ressasser les mêmes motifs sans les renouveler, frisent ici le poncif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film joue constamment sur le fil ténu entre la compassion du spectateur à l’égard de ce type malade (...), et l’identification avec sa misanthropie : oui, nous vivons dans un monde absolument horrible qui ne donne plus sa chance qu’à ceux qui n’en ont pas besoin : les forts.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une expérience de cinéma venue d'ailleurs.
Positif
par Franck Garbarz
En tant qu'autofiction, à peine voilée, ce projet singulier est assez réussi (...). Mais en tant qu'objet cinématographique, le film suscite une certaine lassitude.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un film à petit budget, à peine drôle, et réussissant par miracle à tenir dans une situation invariable et répétitive.
Ecran Large
par Simon Riaux
Le dispositif quasiment expérimental de l'ensemble paraît bien fragile et incapable de sublimer la lourdeur du propos.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le tandem Kervern-Delépine atteint ses limites avec ce (très) long sketch de Groland, qui utilise la notoriété de Houellebecq pour n’en faire pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
(...) cet ovni dépressif trop long envoie quelques dialogues qui font mouche. Toujours est-il que Houellebecq, (...) ça passe ou ça casse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Le monde est triste, l'image est moche, le film shooté au camescope pourri, pas loin d'être une arnaque. Pas grave : un corps burlesque est né.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Ce navet en forme de survival conceptuel en reste à la pauvreté de son pitch.
Critikat.com
par Julien Marsa
Il s’agit finalement, comme bien souvent chez Kervern et Delépine, de reconvoquer le monde dont le personnage vient de prendre congé, manifestation d’une incapacité à proposer d’autres mondes que celui qu’ils entendent dézinguer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
C'est étrangement prenant et ça ne ressemble à rien que l'on ait déjà vu. Ah oui, il faut le dire aussi, c'est drôle, c'est même très drôle.
La Voix du Nord
Filmées avec des bouts de ficelle, en extérieurs (...) ces confessions d’enfants du siècle portent les traits sans fard de vieux punks sur le retour encore capables (...) d’arracher au quotidien des éclats lyriques qui fouettent les sangs, chatouillent les sens et blessent la bonne conscience. Absolument nécessaire donc.
Le Dauphiné Libéré
La balade mortuaire lucide et appliquée d’un personnage interprété par Michel Houellebecq, et qui lui ressemble comme un frère de désenchantement.
Le Monde
(...) (Kervern et Delépine) tirent une grande poésie, drôle et désespérée, en totale harmonie avec l'univers de Houellebecq, (...).
Le Parisien
Notre antihéros (...) joue de façon très vivante à faire le mort.
Libération
Un léger ennui plane sur l’ensemble mais pas désagréable. Le film pourrait être une émission de radio, car la voix de Houellebecq, off, parle et parle encore avec cette musicalité fluette si particulière.
Marianne
Une élégie burlesque et poignante.
Metro
Un ovni minimaliste, entre comédie burlesque, poésie macabre et questionnements existentiels.
Paris Match
Existentiel jusqu’à la nausée, ensoleillé par un humour noir (...), "Near Death Experience" (Expérience de mort imminente) est, c’est le cas de le dire, une expérience extrême. Extrêmement vivante, même !
Première
Servi par une image délibérément low cost, ce one-man-show existentialiste possède une force extraordinaire.
TF1 News
Après l'hilarant "Enlèvement de Michel Houellebecq" de Guillaume Nicloux, cette expérience lunaire, poétique et hyper-touchante, confirme le génie d'acteur burlesque/tragique de l'écrivain.
Transfuge
L'éternel décalage entre le personnage et l'environnement sauvage (...) provoque des effets comiques très réussis (...).
Télérama
Du point de vue des auteurs cinéastes, c'est presque un manifeste d'anticinéma, de l'expérimental moche, à contre-courant de Gerry, de Gus Van Sant, auquel on pense forcément. Ce serait risible si la dépression cafardeuse et la fatigue de vivre ne parvenaient pas, malgré tout, à suinter de manière si inédite.
CNews
(...) un Houellebecq déchaîné lorsqu’il s’agit de jouer un morceau d’air guitar sur War Pigs de Black Sabbath.
CinemaTeaser
De la rogne de Kevern et Delépine, il ne reste qu'un sombre (et bel) orage en générique d'ouverture.
Les Fiches du Cinéma
Si ce nouveau film est une indéniable réussite formelle, Delépine et Kervern, à toujours ressasser les mêmes motifs sans les renouveler, frisent ici le poncif.
Les Inrockuptibles
Le film joue constamment sur le fil ténu entre la compassion du spectateur à l’égard de ce type malade (...), et l’identification avec sa misanthropie : oui, nous vivons dans un monde absolument horrible qui ne donne plus sa chance qu’à ceux qui n’en ont pas besoin : les forts.
Ouest France
Une expérience de cinéma venue d'ailleurs.
Positif
En tant qu'autofiction, à peine voilée, ce projet singulier est assez réussi (...). Mais en tant qu'objet cinématographique, le film suscite une certaine lassitude.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
Un film à petit budget, à peine drôle, et réussissant par miracle à tenir dans une situation invariable et répétitive.
Ecran Large
Le dispositif quasiment expérimental de l'ensemble paraît bien fragile et incapable de sublimer la lourdeur du propos.
L'Humanité
Le tandem Kervern-Delépine atteint ses limites avec ce (très) long sketch de Groland, qui utilise la notoriété de Houellebecq pour n’en faire pas grand-chose.
Le Journal du Dimanche
(...) cet ovni dépressif trop long envoie quelques dialogues qui font mouche. Toujours est-il que Houellebecq, (...) ça passe ou ça casse.
TéléCinéObs
Le monde est triste, l'image est moche, le film shooté au camescope pourri, pas loin d'être une arnaque. Pas grave : un corps burlesque est né.
Cahiers du Cinéma
Ce navet en forme de survival conceptuel en reste à la pauvreté de son pitch.
Critikat.com
Il s’agit finalement, comme bien souvent chez Kervern et Delépine, de reconvoquer le monde dont le personnage vient de prendre congé, manifestation d’une incapacité à proposer d’autres mondes que celui qu’ils entendent dézinguer.
L'Express
Voir le site de L'Express.