AlloCiné
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Votre avis sur Magnolia ?
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Excellent film de Paul thomas Anderson qui arrive à renouveler le melodrame sans tomber dans l'excès grâce à une mise en scène efficace nous livre une narration compliqué mais non dénué d'intérêt. Les acteurs sont tius excellents. Chacun excelle dans son rôle de tristesse. Il en va de ceux qui se laissent aller au désespoir, ceux qui créent leur auto destruction et ceux qui tentent de s'en sortir. Magnolia est un film touchant, ironique mais principalement humain. La réalisation de par ses excellents plan séquence intronise le spectateur qui ne peux rester de marbre. La musique est d'une douceur mélancolique et renforce ces sentiments ambigus et assumé. Le magnolia est la représentation de tous ces destins croisés liés entre eux. C'est subtil. Mention spéciale cen hommage à Philipp Seymour Hoffman. Très bon film.
Le chef d'oeuvre de Paul Thomas Anderson . Tom Cruise est juste un acteur exceptionnel .Avec le regretté Philip Seymour Hoffman qui reste un immense acteur dans l'histoire du cinéma actuel. Avec la sublime Julianne Moore qui est très convaincante dans son rôle. Revoyez les scènes du jeu télévisé avec le petit Stanley , un petit génie intelligent. Revoyez surtout la scène des grenouilles qui tombent du ciel ; elle est juste énorme , inattendu et magnifique. La vie est-elle faite de conscience ou de hasard ? Ou alors tout cela est-il lié ? Pourtant cela arrive tous les jours sans personne s'en rend compte.
Voici un film prétentieux qui pose plus de questions qu'il n'apporte de réponse. On attend ( longtemps...) un dénouement innatendu qui n'arrive jamais. A la place, on nous sert une morale sur le sens de la vie fumeuse et une pluie de grenouille. De la masturbation intellectuelle...
Ours d'or à Berlin en 2000, Magnolia est un petit bijou cinématographique qui est, hélas, trop peu connu. Pourtant, c'est un des plus beau film choral que j'ai put voir. On y suit les destins croisés d’une dizaine de personnages au cours d’une soirée qui restera gravé dans leur mémoire à jamais. Le scénario est maitrisé, le casting excellent, avec, entre autre, un Tom Cruise étonnant, et une Julianne Moore parfaite, mais surtout la réalisation est incroyable. En effet, alors qu'il ne s'agit que de son troisième long métrage, Paul Thomas Anderson prouve une nouvel fois sont talent de metteur en scène en cumulant de nombreux effets de caméras et de cadrages différents, qui font de ce film un véritable chef d'œuvre. De plus, malgré ces 3h, le film passe étonnamment vite, tellement on s'attache aux différents personnages et à leurs histoires intenses et émouvantes. Par ailleurs, la scène d’introduction de Magnolia est tout simplement unique, décalée, et s’accorde parfaitement avec la thématique de l’œuvre. Un film sublime qui gagne à être connu et qui révèle un grand réalisateur (dont le talent sera confirmé plus tard avec There Will Be Blood), Paul Thomas Anderson.
Paul Thomas Anderson nous livre un bon film où s'entremêle 7 ou 8 personnages tous plus doués les uns que les autres! Rien que Tom Cruise, Julianne Moore, William H. Macy. C'est bouleversant, ça mérite d'être vu.
Troisième film de Paul Thomas Anderson que je vois, et encore une fois je n'aime pas vraiment le film.
Pourtant je reconnais des qualités dans la réalisation de PTA, mais ses films m'ennuient. Magnolia est vraiment exagérément long, avec des histoires plus ou moins intéressantes. Au final, j'ai du mal à savoir ce que PTA a cherché à dire, ou à faire, ou à montrer.
Il serait sûrement intéressant de réfléchir à la symbolique de beaucoup de choses dans le film, mais bon, à le regarder tel quel, je me suis vraiment plus ennuyé qu'autre chose.
Pourtant je reconnais des qualités dans la réalisation de PTA, mais ses films m'ennuient. Magnolia est vraiment exagérément long, avec des histoires plus ou moins intéressantes. Au final, j'ai du mal à savoir ce que PTA a cherché à dire, ou à faire, ou à montrer.
Il serait sûrement intéressant de réfléchir à la symbolique de beaucoup de choses dans le film, mais bon, à le regarder tel quel, je me suis vraiment plus ennuyé qu'autre chose.
pierrre s.
3 heures ça peut être long, et le film de Paul Thomas Anderson, n'a pas suffisamment de rythme pour nous éviter l'ennui. Certes il y a de bons moments mais ça ne suffit pas.
Fin des années 90, début des années 2000, Paul Thomas Anderson, déjà réalisateur de Boogie Nights, s'annonce définitivement comme un espoir du cinéma avec ce magnifique Magnolia.
Comme les pétales d'un magnolia qui se rejoindraient au centre de la fleur, l'oeuvre de Anderson conte les destins croisés de plusieurs personnages originaux, complexes et travaillés. Quasiment tous ont en commun une chose ; La tristesse qu'ils traînent jour après jour. Tandis que certains pratiquent à merveille l'auto-destruction et ne font rien pour se sortir du fond du trou, d'autres tentent tant bien que mal de lutter contre cette tristesse (Le film se terminera d'ailleurs sur une note d'espoir.) Car, en effet, Magnolia est autant humain et touchant qu'ironique et corrosif.
Et Paul Thomas Anderson nous raconte cette histoire de destins croisés à merveille. Sa réalisation énergique et ses longs plans-séquences nous bercent et nous entraînent avec délectation dans ce feu d'artifice de fantaisie et d'intelligence.
Cette curieuse fresque de vie, Magnolia est donc un très grand film du cinéaste Paul Thomas Anderson. Une leçon inoubliable.
Comme les pétales d'un magnolia qui se rejoindraient au centre de la fleur, l'oeuvre de Anderson conte les destins croisés de plusieurs personnages originaux, complexes et travaillés. Quasiment tous ont en commun une chose ; La tristesse qu'ils traînent jour après jour. Tandis que certains pratiquent à merveille l'auto-destruction et ne font rien pour se sortir du fond du trou, d'autres tentent tant bien que mal de lutter contre cette tristesse (Le film se terminera d'ailleurs sur une note d'espoir.) Car, en effet, Magnolia est autant humain et touchant qu'ironique et corrosif.
Et Paul Thomas Anderson nous raconte cette histoire de destins croisés à merveille. Sa réalisation énergique et ses longs plans-séquences nous bercent et nous entraînent avec délectation dans ce feu d'artifice de fantaisie et d'intelligence.
Cette curieuse fresque de vie, Magnolia est donc un très grand film du cinéaste Paul Thomas Anderson. Une leçon inoubliable.
T-Tiff
"Magnolia" démontre tout le talent de Paul Thomas Anderson qui signe ici une œuvre vraiment unique, très originale et par conséquent vraiment réussie. Après une introduction qui suscite notre curiosité, le film ne nous lâche plus en relatant les mésaventures d'une petite dizaine de personnages reliées les unes aux autres. Tous les personnages sont également traités, avec un temps de présence à l'écran sensiblement équivalent. Le casting pour incarner ces différents protagonistes est absolument excellent, avec notamment Julianne Moore, William H. Macy, Philip Seymour Hoffman, John C. Reilly, Philip Baker Hall et Tom Cruise. On obtient donc des personnages hauts en couleur, vivant des péripéties qui successivement nous amusent et nous interpellent. Le film, sectionné en trois parties, est rempli de séquences réellement jouissives avec une mise en scène minutieuse et des musiques parfaitement choisies. On passe trois heures de grand cinéma devant le formidable "Magnolia".
Paul Thomas Anderson est sans aucun doute l'un des plus grands cinéastes de ces dernières années et sa filmographie est une véritable mine d'or dont *Magnolia* se positionne en tant que synthèse et paroxysme (visuel, sonore, et actorial).
Pour résumer, *Magnolia* est une claque. Le film s'ouvre sur une séquence absolument magistrale mettant en avant le concept du film, à savoir les entrelacements plus ou moins hasardeux qui peuvent relier des personnes entre elles à travers une multitudes d'histoires. Parce qu'effectivement, *Magnolia* est un film choral, à travers lequel nous suivons durant près de 3h l'évolution d'une dizaine de personnages sur une journée, journée fatidique et décisive dans leur vie qui est narré par Anderson à la manière d'un crescendo infernal et se concluant sur une séquence dantesque à propos de laquelle je ne dirai rien pour ne pas gâcher la surprise.
Il s'agit sans aucun doute du film le plus ambitieux, le plus virtuose, exubérant et extravagant, tant dans le déploiement des codes du langages cinématographiques que dans la direction d'acteurs. Même si le procédé peut agacer, il serait faux de dire que l'oeuvre ne fonctionne pas car il est clair que celle ci possède une puissance rarement égalée et est illustrée par une bande son signe John Brion absolument sublime.
Malgré tout, Paul Thomas Anderson, même s'il se révèle juste les 3/4 du film, en fait parfois un poil trop et aurait gagné à couper quelques minutes beaucoup trop longues et pas forcément vitales au film. Néanmoins, il s'agit d'un choix artistique assumé et le fait est qu'une fois le générique sur l'écran, on reprend son souffle car le film est extrêmement complexe dans son enchevêtrement scénaristique sans pour autant être difficile à comprendre.
En bref, j'ai beaucoup apprécié, même si l'on peut reprocher parfois quelques défauts de justesse certainement dues à un égo encore trop surdimensionné. Mais bon, quand on regarde la filmographie du bonhomme, franchement ça se comprend.
A voir bien entendu.
Pour résumer, *Magnolia* est une claque. Le film s'ouvre sur une séquence absolument magistrale mettant en avant le concept du film, à savoir les entrelacements plus ou moins hasardeux qui peuvent relier des personnes entre elles à travers une multitudes d'histoires. Parce qu'effectivement, *Magnolia* est un film choral, à travers lequel nous suivons durant près de 3h l'évolution d'une dizaine de personnages sur une journée, journée fatidique et décisive dans leur vie qui est narré par Anderson à la manière d'un crescendo infernal et se concluant sur une séquence dantesque à propos de laquelle je ne dirai rien pour ne pas gâcher la surprise.
Il s'agit sans aucun doute du film le plus ambitieux, le plus virtuose, exubérant et extravagant, tant dans le déploiement des codes du langages cinématographiques que dans la direction d'acteurs. Même si le procédé peut agacer, il serait faux de dire que l'oeuvre ne fonctionne pas car il est clair que celle ci possède une puissance rarement égalée et est illustrée par une bande son signe John Brion absolument sublime.
Malgré tout, Paul Thomas Anderson, même s'il se révèle juste les 3/4 du film, en fait parfois un poil trop et aurait gagné à couper quelques minutes beaucoup trop longues et pas forcément vitales au film. Néanmoins, il s'agit d'un choix artistique assumé et le fait est qu'une fois le générique sur l'écran, on reprend son souffle car le film est extrêmement complexe dans son enchevêtrement scénaristique sans pour autant être difficile à comprendre.
En bref, j'ai beaucoup apprécié, même si l'on peut reprocher parfois quelques défauts de justesse certainement dues à un égo encore trop surdimensionné. Mais bon, quand on regarde la filmographie du bonhomme, franchement ça se comprend.
A voir bien entendu.
Une écriture sans faille qui permet un développement de personnages tous plus passionnants les uns que les autres. La distribution est magistrale. Pas de second rôle ici. que des premiers. Et ils se croisent avec un naturel qui n'est permis que par la mise en scène si talentueuse de PT Anderson. A voir et à revoir pour en comprendre sûrement toutes les subtilités...
7eme critique
"Magnolia" est un véritable condensé de savoir-faire !
Paul Thomas Anderson signe ici un long-métrage unique et impressionnant sur tous les aspects : scénario, mise en scène, casting, prestations, musique, photographie, dialogues, tout y est. Le cinéaste nous livre là un film choral de très grande envergure qui nous paralyse tellement il est captivant.
"Nous en avons peut-être fini avec le passé, mais le passé n'en a pas fini avec nous."
Une leçon de cinéma de trois heures nous est offerte, c'est du génie : Magnolia forever !
PS : Ici aussi, comme dans "There will be blood", nous aurons l'occasion de découvrir une scène hommage au "2001 : l'odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick, celle ou le vieillard mourant sur son lit est filmé sur la musique classique "Also Sprach Zarathustra".
Paul Thomas Anderson signe ici un long-métrage unique et impressionnant sur tous les aspects : scénario, mise en scène, casting, prestations, musique, photographie, dialogues, tout y est. Le cinéaste nous livre là un film choral de très grande envergure qui nous paralyse tellement il est captivant.
"Nous en avons peut-être fini avec le passé, mais le passé n'en a pas fini avec nous."
Une leçon de cinéma de trois heures nous est offerte, c'est du génie : Magnolia forever !
PS : Ici aussi, comme dans "There will be blood", nous aurons l'occasion de découvrir une scène hommage au "2001 : l'odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick, celle ou le vieillard mourant sur son lit est filmé sur la musique classique "Also Sprach Zarathustra".
Ti Nou
Ce film choral a beau durer trois heures, les personnages y sont tellement bien écrits et attachants qu'on aurait envie de partager un temps plus long avec eux. En fait, chacun mériterait d'avoir un film pour lui. Pour autant, Paul Thomas Anderson n'en néglige aucun.
Magnolia fait tergiverser, trois (longues) heures durant, sur des questions aussi vagues que le pardon, la paternité, l'amour ... Tout en faisant verser aux personnages, qui évitent l'archétype pour mieux tomber dans le ridicule, des hectolitres de larmes. Seul le rôle/performance de Tom Cruise est intéressant, le reste étant plombé par des effets larmoyants inutiles et de thèmes musicaux barbants. Le final est un tant soit peu émouvant et subtil mais les 2h40 précédentes, hormis quelques moments de grâce, sont à jeter.
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