Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
FHM
par Laurent Djian
La caméra tourbillonne avec une virtuosité continue dans ce récit polyphonique, sorte de Short Cuts de l'an 2000. Une tragédie moderne complètement dingue, dont la fin, ahurissante, restera dans les annales.
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
Paul Thomas Anderson a un univers. Une belle personnalité. Et un sacré talent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Heureusement, l'auteur de Boogie nights nous gratifie de temps à autre de quelques idées jouissives, symptômes fulgurants d'une indéniable imagination. Dommage qu'il faille les attendre pour apprécier pleinement le talent du cinéaste...
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
par Olivier Guéret
D'aucuns reprocheront le clinquant de la mise en scène ou la perfection avec laquelle s'alignent les personnages. Mais c'est dans ces paramètres artificiels que naît une émotion juste (...)
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Samir Ardjoum
(...) ce qui force l'admiration dans ce long et brillant travail de plus de trois heures, c'est la virtuosité de la mise en scène (...), la recherche thématique, qui permet à Anderson (...) de tisser plusieurs toiles solides (...)
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Evénement
par n.c.
Si l'on aime les films généreux (trois heures quand même !) et si l'on est prêt à passer sur quelques redondances, facilités ou même fautes de goût, Magnolia est un savoureux kaléidoscope.
L'Humanité
par Jean Roy
On rit, on pleure, on se croise et se retrouve, on s'oublie, on s'ignore sans que la mise en scène se départisse jamais d'une distance respectueuse, aux antipodes du mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Un entrelacs de destins, magistralement orchestré par Paul Thomas Anderson, le surdoué de « Boogie Nights ». On pense à « Short Cuts », mais c'est moins méprisant, plus chaleureux.(...) Du sacré cinéma, nom de nom !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Eric Leguèbe
C'est à une ambitieuse tapisserie psychologique que s'est attelé le metteur en scène de « Magnolia ». Il a su éviter le principal piège du genre, la construction en patchwork. L'ensemble, sans échapper à une certaine lourdeur, ne donne pas la sensation de rapiéçage.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Jean-Pierre Coursodon
Magnolia est définitivement un film d'épanouissement. Paul Thomas Anderson continue dans la voie de son précédent opus : ampleur chorale et manipulation démiurgique de l'intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cplanet.com
par Jean Christophe Derrien
Paul Thomas Anderson a succombé à l'auteurisme aiguë, au film - pensum, à l'auto-indulgence. On a vraiment l'impression de voir un film où le réalisateur n'a pas estimé bon de couper les scènes redondantes, les passages mous du genou.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Les visées métaphysiques de Paul Thomas Anderson ne dépassent malheureusement pas le stade des maximes populaires cachées dans les biscuits offerts par les restaurants chinois avec le café.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Lenouveaucinema.com
par Olivier Bonnard
Montrer l'intimité d'une vingtaine de personnages, tous principaux, sur plus de trois heures, était un défi. Paul Thomas Anderson s'est montré un peu trop sûr de son tamlent.
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Décidément, Anderson secoue le shaker des références avec une grande dextérité. C'est dans le meilleur des cas un faiseur plutôt roublard, dans le pire un faussaire de talent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Garnier
On avancera sûrement que Magnolia s'autodétruit par sa longueur et son manque de substance. Mais d'autres réalisateurs aussi virtuoses qu'Anderson et parfois grandement aussi bêtes ont eu par le passé droit à notre indulgence (Scorsese, par exemple).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
P. T. Anderson fait monologuer sans fin ses personnages sur le sens de la vie et de la paternité, plus dans un registre lelouchien qu'avec la désinvolture cynique d'un Altman dans Short Cuts.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Erwan Higuinen
(...) le film est une relecture façon cinéma indépendant US de la routine des soap operas. Magnolia vaut ce que valent Les Feux de l'amour, ni plus ni moins.
Télérama
par François Gorin
Le rafiot Magnolia tient les flots disons une bonne heure. Au forcing. C'est tendu, baladeur, pétri d'ambition, ça tangue et ça zigzague d'un "choriste" à l'autre (...). Une bonne heure, donc, et le film donne des signes de fatigue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
FHM
La caméra tourbillonne avec une virtuosité continue dans ce récit polyphonique, sorte de Short Cuts de l'an 2000. Une tragédie moderne complètement dingue, dont la fin, ahurissante, restera dans les annales.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Paul Thomas Anderson a un univers. Une belle personnalité. Et un sacré talent.
Chronic'art.com
Heureusement, l'auteur de Boogie nights nous gratifie de temps à autre de quelques idées jouissives, symptômes fulgurants d'une indéniable imagination. Dommage qu'il faille les attendre pour apprécier pleinement le talent du cinéaste...
Cinopsis.com
D'aucuns reprocheront le clinquant de la mise en scène ou la perfection avec laquelle s'alignent les personnages. Mais c'est dans ces paramètres artificiels que naît une émotion juste (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
(...) ce qui force l'admiration dans ce long et brillant travail de plus de trois heures, c'est la virtuosité de la mise en scène (...), la recherche thématique, qui permet à Anderson (...) de tisser plusieurs toiles solides (...)
L'Evénement
Si l'on aime les films généreux (trois heures quand même !) et si l'on est prêt à passer sur quelques redondances, facilités ou même fautes de goût, Magnolia est un savoureux kaléidoscope.
L'Humanité
On rit, on pleure, on se croise et se retrouve, on s'oublie, on s'ignore sans que la mise en scène se départisse jamais d'une distance respectueuse, aux antipodes du mélodrame.
L'Obs
Un entrelacs de destins, magistralement orchestré par Paul Thomas Anderson, le surdoué de « Boogie Nights ». On pense à « Short Cuts », mais c'est moins méprisant, plus chaleureux.(...) Du sacré cinéma, nom de nom !
Le Parisien
C'est à une ambitieuse tapisserie psychologique que s'est attelé le metteur en scène de « Magnolia ». Il a su éviter le principal piège du genre, la construction en patchwork. L'ensemble, sans échapper à une certaine lourdeur, ne donne pas la sensation de rapiéçage.
Positif
Magnolia est définitivement un film d'épanouissement. Paul Thomas Anderson continue dans la voie de son précédent opus : ampleur chorale et manipulation démiurgique de l'intrigue.
Cplanet.com
Paul Thomas Anderson a succombé à l'auteurisme aiguë, au film - pensum, à l'auto-indulgence. On a vraiment l'impression de voir un film où le réalisateur n'a pas estimé bon de couper les scènes redondantes, les passages mous du genou.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Les visées métaphysiques de Paul Thomas Anderson ne dépassent malheureusement pas le stade des maximes populaires cachées dans les biscuits offerts par les restaurants chinois avec le café.
Lenouveaucinema.com
Montrer l'intimité d'une vingtaine de personnages, tous principaux, sur plus de trois heures, était un défi. Paul Thomas Anderson s'est montré un peu trop sûr de son tamlent.
Les Inrockuptibles
Décidément, Anderson secoue le shaker des références avec une grande dextérité. C'est dans le meilleur des cas un faiseur plutôt roublard, dans le pire un faussaire de talent.
Libération
On avancera sûrement que Magnolia s'autodétruit par sa longueur et son manque de substance. Mais d'autres réalisateurs aussi virtuoses qu'Anderson et parfois grandement aussi bêtes ont eu par le passé droit à notre indulgence (Scorsese, par exemple).
Première
P. T. Anderson fait monologuer sans fin ses personnages sur le sens de la vie et de la paternité, plus dans un registre lelouchien qu'avec la désinvolture cynique d'un Altman dans Short Cuts.
Cahiers du Cinéma
(...) le film est une relecture façon cinéma indépendant US de la routine des soap operas. Magnolia vaut ce que valent Les Feux de l'amour, ni plus ni moins.
Télérama
Le rafiot Magnolia tient les flots disons une bonne heure. Au forcing. C'est tendu, baladeur, pétri d'ambition, ça tangue et ça zigzague d'un "choriste" à l'autre (...). Une bonne heure, donc, et le film donne des signes de fatigue.