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    Un moment d'égarement
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    479 critiques spectateurs

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    700 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juillet 2015
    Cluzet chassait la fouine à Arcachon (cinégénique) pour son pote Canet en 2010. En 2015, il chasse le sanglier en Corse (cinégénique) pour Richet.... En point commun : une prestation plutôt lamentable. On connaît l'histoire, déjà exploitée par le défunt Claude Berri, il y a presque 40 ans - c'est son fils, Thomas Langmann qui (co)produit aujourd'hui. Antoine (c'est un "local", en pélerinage aux sources), Cluzet donc, a invité dans la maison familiale, "au village", son meilleur ami, récemment divorcé, Laurent (Vincent Crochon, dit Cassel). Chacun est accompagné par sa fille, Louna pour l'un (17 ans), Marie pour l'autre (18 ans), deux ados trop gâtées, superficielles, et (très) délurées. Sans prévenir, Louna, qui s'ennuie, trouve soudain de l'attrait à Laurent, et le viole quasiment un soir de beuverie commune : "Un moment d'égarement"... De la même façon que le cocu est toujours le dernier à être au fait de son infortune (ressort classique du genre), ici, c'est le père outragé qui ne voit pas ce qui lui crève pourtant les yeux. Du coup, Cluzet appuie les "effets" avec des mimiques du plus haut grotesque....Mais ce qui fait rire au théâtre, et permet de nombreuses fantaisies vaudevillesques, tourne en la circonstance au grand vide d'imagination scénaristique. L'histoire de Berri, notons-le, a été "actualisée" par le réalisateur, en collaboration avec Lisa Azuelos. La dame ("LOL") a sans doute surtout travaillé au dialogue - "putain" de dialogue.... Cassel, 48 ans, crédité à 45, reprenant le rôle de "Pierre"/Jean-Pierre Marielle s'en tire bien mieux, et au physique, et au jeu, que Cluzet, 60 ans cette année, crédité aussi à 45, qui reprend celui de "Jacques"/Victor Lanoux.... Les deux "gamines" (une brune, une blonde) sont mignonnes - les amateurs de nymphettes dénudées apprécieront. Voilà.... C'est tout. Un "remake" totalement inutile, sans saveur aucune.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 juillet 2015
    Oh putain, tu vois, et voilà, putain, tu vois, putain… la prod a déposée un brevet!!!! A l eau quoi!!!!
    Marie s est la meilleur, elle voit tout, elle s éclate, elle éclate, elle encaisse…
    Les pères sont des paumés du 16 eme Neuilly Passy… tristesse.
    Louna,mais juste envie de lui mettre une belle gifle.
    Bon fiilm a tous, pour tout public, putain, tu vois…
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 726 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juillet 2015
    Les remakes inutiles ne datent pas d'aujourd'hui et "Un moment d'ègarement" de Jean-François Richet est de cela! C'est presque quarante ans qui sèparent le film de Claude Berri à celui de Richet et le sujet est toujours aussi transgressif qu'à l'èpoque! On s'accroche donc à ce qui reste pour ne pas trop sombrer dans les paysages ensoleillès de la Corse! La performance du beau et plutôt sympa Vincent Cassel, jamais ridicule, même quand on l'oblige à jouer un rôle qui ne lui convient pas, celui d'un quadragènaire divorcè qui s'èprend de la toute jeune fille de son meilleur ami! La prèsence du rustre et basique François Cluzet en papa nèvrosè et en stress permanent! La rèvèlation de Lola Le Lann, impressionnante de justesse pour son premier rôle au cinèma! Et la beautè de Alice Isaaz, dèjà remarquèe dans "La crème de la crème". Cela fait bien peu pour l'un des films les plus prometteurs de l'ètè 2015! il faut dire que le regrettè Claude Berri avait mis la barre très haute en 1977 où Jean-Pierre Marielle et Victor Lanoux nous règalaient lors d'affrontements verbaux d'anthologies du côtè de Saint-Tropez! il fallait au moins deux têtes d'affiche (Cluzet et Cassel) pour reprendre leurs rôles cultes! Dans la scène d'introduction, « il y a de la rumba dans l'air » de Alain Souchon laisse sa place à « La Mer » de Charles Trenet! Sèquences de nuit en HD et toutes les cinq minutes, des scènes de drone au dessus de la plage, comme dans « Thalassa » . Les temps ont changè, le langage se veut « badant » (comprenne qui peut) et le « She's A Lady » de Michel Stelio semble appartenir à une autre èpoque [...] Cette version corse est nèamoins frèquentable grâce au jeu naturel de Lola Le Lann...
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    205 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juillet 2015
    Claude Berri, honnête homme mais piètre réalisateur, avait pondu en 1977 le "Un Moment d'Egarement" original, tout petit film qui ne tenait guère que par la faconde d'un Marielle impérial. Puis les Américains avaient commis (en 84) un remake, "Blame It On Rio", qui malgré le Brésil, Stanley Donen et Michael Caine (excusez du peu) démontrait clairement la limite du sujet. Il ne s'imposait pas en 2015 de revenir à la charge, d'autant que la (très faible) teneur initial en matériel provocateur s'est clairement diluée avec le passage des années. Ici, avec Richet et Langmann aux commandes, on oscille entre caricature facile (les gamines et leur portable et leur langage - même si l'une semble lire "Voyage au Bout de la Nuit" !), incohérence psychologique totale (que Cluzet, que l'on a sans doute jamais vu aussi mauvais, tente de cacher en surjouant de manière pénible), et même quelques notes assez honteuses : les Corses qui sont évidemment autonomistes et rétrogrades, le DJ qu'on tabasse puis épargne parce qu'il est "pédé", et j'en passe. Mais le pire, c'est sans aucun doute l'insignifiance totale de cet objet filmique d'une ringardise affligeante, qui se regarde donc avec un mélange d'incrédulité et d'ironie. Reste la présence de Vincent Cassel, surprenant de justesse, régulièrement touchant : lui qu'on trouve souvent si mauvais dans de bons films, le voilà excellent dans un mauvais film ! Pas sûr que cela justifie néanmoins le prix du ticket...
    cylon86
    cylon86

    2 515 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juillet 2015
    Remake d'un film de Claude Berri, "Un moment d'égarement" nous raconte l'histoire d'Antoine et Laurent, deux amis allant passer des vacances en compagnie de leurs filles. Et puis peu à peu, Louna, la fille d'Antoine séduit Laurent et la situation dégénère... S'il y a de bonnes idées dans le film et qu'il aurait pu donner lieu à un thriller de haute volée assez malsain, l'ensemble se la joue plutôt comédie dramatique, évitant de trop aggraver les choses sans pour autant les atténuer. L'équilibre n'est pas toujours convaincant mais le plus gros défaut du film vient surtout de son écriture, totalement maladroite. Entre des personnages enfermés dans des clichés et des dialogues ineptes, nous ne sommes pas gâtés. Et parmi le casting, c'est surtout Vincent Cassel qui tire l'épingle du jeu, parvenant à nuancer son personnage. Ce n'est pas le cas de François Cluzet qui en fait des caisses et de la pauvre Alice Isaaz confinée dans un second rôle inintéressant. Quant à Lola Le Lann, la séduisante Lola Le Lann, n'en parlons pas. Elle a beau avoir un charme fou quand elle se tait, c'est autre chose quand il s'agit de jouer juste. Ce qui fait rapidement basculer le film pour le tirer vers le bas.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 juillet 2015
    Deroutant, tres drole ! courez-y ! Cluzet et Cassel sont tres bons dmet la petite marie excellente !
    MaxLaMenace89
    MaxLaMenace89

    61 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2015
    Remake du film éponyme de Claude Berri sous la tutelle du fiston Thomas Langmann, Un Moment d'Égarement nous fait plonger sourire aux lèvres dans quelques interdits ensoleillés, une carte postale facétieuse de désirs prohibés. La première partie du film de Richet effraie d'abord avec ses clichés brûlants, ses jeunes protagonistes caricaturaux et ses tics formels très français. Mais plus le métrage avance, plus il révèle ses véritables cartes : loin d'être la comédie populaire d'été vendue, on se retrouve devant une véritable farce dramatique, de l'ivresse du premier amour à la contamination des non-dits, les multiples cocasseries de la situation nourrissant la grisante rage progressive de Vincent Cassel et François Cluzet en roue libre, vers l'amer constat d'un narcissisme intergénérationnel pardonné. Dommage que Richet ne fasse qu'effleurer le cœur de son sujet, laissant Un Moment d'Égarement dans le sillon du raisonnable, dramédie de mœurs certes déséquilibrée mais aussi fraîche que culottée.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 juillet 2015
    admirative de Vincent cassel j'étais assez curieuse de le découvrir dans un film léger et sans prise de tête...me voilà donc ravie !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 juillet 2015
    "Un moment d'égarement" est l'un des plus beaux films de l'année 2015. Les personnages sont touchants, les acteurs qui les interprètent excellents et l'histoire nous prend vraiment aux tripes. Rajoutez à cela une mise-en-scène qui nous permet d'admirer dans toute leur splendeur les paysages de la Corse, vous obtenez définitivement un excellent film.
    L_huitre
    L_huitre

    82 abonnés 354 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 juillet 2015
    Encore une reprise !... En plus, un film hommage du producteur Thomas Langmann à son père Claude Berri... On peut s'interroger sur l'utilité de ces reprises, quand le film d'origine n'est pas en noir et blanc. Disons-le tout net : "Un moment d'égarement" est un assez joli film qui rajeunit une histoire vieille comme le monde. D'ailleurs la tentatrice s'appelle Lola, soit très proche de la "Lolita" de Nabokov. Qu'est ce qui plaît dans ce film ? Des acteurs magnifiques avec un Cassel parfait en homme un peu dépassé et surtout une jeune Lola Le Lann, séduisante en diable et parfaitement convaincante dans son rôle. Les paysages de Corse sont magnifiques et tout le film baigne dans un atmosphère de vacances et de bien-être. Seul le personnage de François Cluzet vient troubler cette sérénité, avec des coups de colère, quand il ne s'agit pas de vraies fixations psychotiques. Il est dans l'excès, mais il fait rire... A l'inverse, le film est trop lisse; il ne choque pas et se veut consensuel. Comme si c'était une simple amourette de vacances. A quoi bon alors ? Montrer que les hommes de la quarantaine sont fragiles face aux charmes féminins, fussent-ils adolescents ? C'est sans doute enfoncer une porte ouverte... Non, ce film ne vise finalement qu'à nous concocter un cocktail sexe et soleil à la veille des vacances. C'est sympa, mais un peu creux....
    Tarasboulaba
    Tarasboulaba

    32 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juillet 2015
    Certaines critiques conseillaient pourtant de revoir le film original de Cl. Berry plutôt que ce remake. Eh bin NON ! il a fallu qu'j'y aille ! Heureusement, le "fête du cinéma" m'a permis de ne payer que 4€ et franchement ça ne vaut pas plus. Cluzet qui fait, refait et rabâche ce même personnage qui serre les dents quand il parle ou qu'il se met en colère, ça commence à me saouler. On l'a subit dans les misérables "petits mouchoirs" de G. Canet, et aussi un peu dans "Intouchable" et "Ne le dis à personne" (chefs d'oeuvres), mais là, il fatigue. De toute façons, le film est tellement poussif que même Vincent Cassel semble s'ennuyer autant que nous. Celle qui joue sa fille; passe encore, mais alors la "fille" de Cluzet joue aussi bien qu'un ballon de baudruche. Et pour finir, même pas de scènes un peu "hot" pour rattraper le tout. Donc, on peut attendre sans problème un passage à la télé !
    galau7
    galau7

    30 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2015
    Amour, passade, séduction, amitié sont les moteurs de cette comédie. Les personnages luttent avec leurs armes et leurs faiblesses, entraînant le spectateur dans ces vacances qui "dérapent". De plus une fin suffisamment ambiguë laisse l'imagination prolonger le spectacle.
    officiel76
    officiel76

    46 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 juillet 2015
    Un moment d'égarement est, ni plus ni moins, l'histoire de deux spoiler: pétasses
    pourri-gâtées, qui font la tronche parce "qu'en corse y'a pas de réseau", qui ont un ordinateur apple et le dernier smartphone, qui piquent tellement d'argent à leurs pères respectifs que vous en avez la nausée à l'idée de votre compte bancaire qui n'affiche sûrement pas le même nombre de zéros, qui boivent, picolent, sortent, mentent, confrontées à deux pères laxistes, l'un volontairement, l'autre par facilité...ensuite,l 'une au fond d'elle a des rêves de princesses et kiffe trop (préparez vous à ce langage pré-ado, vous allez en avoir pour votre argent, elles ont 8 mots de vocabulaire et encore quand elles sont sobres) le copain de son père, et en tombe amoureuse. c'est horripilant, c'est indigent, c'est à hurler !!! si encore au moins, trente ans après le premier opus, celui là s'avérait torride, mais même pas. Une vraie caricature...et mauvaise de surcroit.
    John Henry
    John Henry

    105 abonnés 707 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juillet 2015
    Si le film commence de manière un peu plan-plan carte postale bons baisers de Corse, la sauce prend rapidement grâce à la tension sexuelle installée entre Cassel et Lola le lann. Je dois dire que le film doit beaucoup à ces deux là, désarmants de charme, de naturel, de charisme et de classe. J'ai rarement vu Vincent Cassel aussi épatant.
    Après, le moment d'égarement précisément est furtif. Et je ne sais pas, j'aurais aimé qu'il dure, qu'il soit plus sensuel, plus marquant, que chacun, devant le film, se dise que ce moment d'égarement était possible, presque inévitable face à une telle envie, une telle passion et une telle beauté. Ca aurait rendu le moment plus troublant, plus délicat, entre le plaisir de voir ce corps et la culpabilité causée par son âge et sa jeunesse. Le spectateur aurait été d'autant plus mal à l'aise.

    Ensuite le film se délite quelque peu, se perd dans de longues engueulades un peu stériles et répétitives jusqu'à un final enlevé et puissant, peut-être enfin dérangeant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 juillet 2015
    Alors que même les critiques n'appréciant pas le film relève le bon jeu de V.Cassel ... moi au contraire je n'ai jamais vu cet acteur semblant aussi mal dans la peau d'un personnage. F.Cluzet peu surjouer à certains moment mais ça reste agréable et adapté.

    Concernant l’histoire , énorme déception , un sujet qui me paraissait intéressant dans la BA ce révèle très mal exploité .. plutôt que de se pencher sur le ressenti des 2 protagonistes qui les pousses dans ces choix " non conventionnels" , le film s'axe sur des choses futiles .

    A noter que si vous attendez le dénouement avec hâte , comme ce fut le cas pour moi , vous risquez d’être déçu .. le problème se résout de lui même .. sans raison ..

    Une belle déception pour un film que j'attendais ..
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