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pour voir des animaux dans la foret .......
film vide , si ce n est la prouesse d avoir filmer les animaux
film vide , si ce n est la prouesse d avoir filmer les animaux
SebLefr3nch
Le documentaire animalier est un genre dont nous sommes très, voire trop habitués à voir. Il est donc difficile de vraiment se démarquer. Dans "Les Saisons", on suit l'évolution de la forêt depuis des milliers d'années jusqu'à nos jours. Au début, les saisons se suivent et se ressemblent. Nous découvrons les animaux dans leur habitat, vivant paisiblement. Puis, au fur et à mesure, l'homme apparait et intervient jusqu'à la modifier. C'est plutôt bien fait grâce à des cadrages et à des plans permettant de suivre les animaux en train de courir, ce qui n'est pas évident. Mais ce n'est pas à couper le souffle. Le documentaire "La nuit des éléphants" présenté sur France 2 il y a un an, avait été beaucoup plus impressionnant grâce à une technologie permettant de filmer les éléphants la nuit mais donnant la sensation qu'ils sont en plein jour. Encore un documentaire qui essaie d'ouvrir les consciences de notre implication sur la planète. On aurait aimé une vraie proposition pour agir plutôt qu'un constat.
Ciné2909
Il y a eu Le peuple migrateur & Océans, le réalisateur Jacques Perrin évoque cette fois Les saisons enfin il faut le dire vite. En réalité, les caméras se posent au cœur d'une foret luxuriante qui grouille de vie. La naissance d'une biche, les confrontations musclées des chevaux et des ours ou encore une petite araignée qui tisse sa toile ; on voit effectivement de nombreux animaux. Alors quid des saisons ? Les paysages enneigés succèdent à une foret baignée par le soleil ou tapissée par les feuilles tombées mais il n'y a pas véritablement de logique à tout ça. La première partie est donc un documentaire dans sa forme la plus succincte enrichi toutefois par de belles images, ça se transforme ensuite en une diatribe sur l'Homme et son influence néfaste.
superbes images mais trop peu de commentaires ou de liens entre les images pour qu'on accroche vraiment jusqu'au bout.
Après ''Le peuple migrateur'' et ''Océans'', Perrin remet ça…
Malheureusement, même si les images sont superbes, le propos du film n'est pas passionnant : les hommes, depuis qu'ils se sont lassés du job de chasseur-cueilleur pour cultiver et domestiquer, n'ont pas cessé de réduire les espaces laissés à la vie sauvage, dans les forêts européennes.
L'exploit du film est de reconstituer des scènes de vie sauvage désormais quasiment impossibles : un lynx chassant une biche, des loups attaquant un troupeau de chevaux sauvages, etc. (tout ceci en nous assurant qu'aucun animal n'a souffert pendant le tournage).
Ce regret constant d'un monde naturel désormais perdu renverra beaucoup de cinéphiles au film qui était projeté à ceux qui, dans ''Soleil vert'', avaient accepté de donner leur corps à l'industrie alimentaire. Ça gâche un peu le plaisir…
En taisant bien sûr cette référence cinématographique, ''Les saisons'' doit être recommandé aux familles auxquelles la pluie interdit les promenades en forêt.
Malheureusement, même si les images sont superbes, le propos du film n'est pas passionnant : les hommes, depuis qu'ils se sont lassés du job de chasseur-cueilleur pour cultiver et domestiquer, n'ont pas cessé de réduire les espaces laissés à la vie sauvage, dans les forêts européennes.
L'exploit du film est de reconstituer des scènes de vie sauvage désormais quasiment impossibles : un lynx chassant une biche, des loups attaquant un troupeau de chevaux sauvages, etc. (tout ceci en nous assurant qu'aucun animal n'a souffert pendant le tournage).
Ce regret constant d'un monde naturel désormais perdu renverra beaucoup de cinéphiles au film qui était projeté à ceux qui, dans ''Soleil vert'', avaient accepté de donner leur corps à l'industrie alimentaire. Ça gâche un peu le plaisir…
En taisant bien sûr cette référence cinématographique, ''Les saisons'' doit être recommandé aux familles auxquelles la pluie interdit les promenades en forêt.
"Les saisons" retrace la vie animale dans la forêt européenne de la fin de l'ère glaciaire jusqu'à aujourd'hui. Si le film nous en met plein les mirettes durant plus de 90 minutes, très vite, une certaine lassitude s'installe devant ces magnifiques images. Ajouté à cela un zeste de bons sentiments et on obtient au final un documentaire animalier intéressant mais au scenario réduit au strict minimum.
Je reste déçu finalement. Je trouvais le début intéressant, pointant le regard vers des animaux communs qu'on ne voit toutefois que peu dans les documentaires. Mais dès l'arrivée des Hommes, le documentaire devient confus, lassant, ennuyeux et tous les bons côtés, tous les détails prometteurs du début s'effacent !!
Ce nouvel opus animalier signé par Jacques Perrin est avant tout une grosse déception; car, si ce documentaire est une nouvelle fois composé d'images superbes de nature et d'animaux, le propos est ici trop attendu et peu percutant, filmer l'évolution de la planète en une heure trente est quasi impossible et le film nous impose du coup des raccourcis in peu trop excessifs. Reste les très belles images et la très belle musique de Bruno Coulais, c'est quand même peu. Le propos est noble, la démonstration trop appuyée.
Encore une belle réussite pour Perrin et Cluzaud avec "Les Saisons" : de belles scènes et images, une histoire naturelle revisitée et une leçon que nous devrions tous retenir. Dommage que cela joue sur le rythme du film, plutôt lent et monotone à mon goût.
Rien de plus que du vu et revu. Creux, ennuyeux, morale au ras des pâquerettes, mal narré... Une perte de temps d'1h30.
Cinéphiles 44
Jacques Perrin n’est plus à présenter. Féru des documentaires pseudo-écologiques, il était normal qu’il se fasse une nouvelle fois accompagné de Jacques Cluzaud pour décrire son amour de la biodiversité. Mais d’entrée de jeu nous somme choqué face à EDF, Rollex, la Fondation Bettencourt, Center Parcs ou autres sponsors improbables vis-à-vis de l’environnement. Nous découvrons ensuite une multitude d’espèces et l’impression est que les reporters cherchent à multiplier les animaux sans vraiment montrer leurs âmes et leurs beautés. Ensuite nous sommes interpellés face à l’Homme qui n’est pas blâmé en montrant l’opportunité qu’ont les bêtes à trouver de nouvelles ressources alimentaires et la fondation de la chaîne alimentaire. Heureusement, sur la seconde partie du documentaire, Les Saisons se rattrapent en sortant des mots plus durs envers l’Homme, comme lorsque nous déclarons les animaux utiles ou nuisibles et qu’avec cette idée, nous modifions la nature et les saisons. Certes les paysages sont magnifiques mais sont à chaque fois, sacrifié par un autre tout aussi beau. Jamais on nous laisse le temps de profiter avec admiration un unique plan. Les Saisons perd ses objectifs et n’est finalement qu’accumulation de plans sans jamais entrer dans la profondeur des idées.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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Très beau film de Jacques Perrin. C'est un documentaire animalier généraliste où les mammifères et les oiseaux tiennent une grande place. De superbes images magnifiés par une belle musique, et un texte pertinent et bref. Une oeuvre donc remarquable, résultat d'un travail énorme et d'une patience infinie.
Film qui m'a semblé construit sans aucun sens: narration confuse, répétition pesante et caricature manichéen la nature est belle et bonne, les hommes sont moche et destructeur...
Bon ok, cela a été montré de nombreuse fois mais rien de nouveau à l'ouest!
Même les photos sont médiocres et seule une photos superbe .....d'usine fumant....
Très déçu!
Bon ok, cela a été montré de nombreuse fois mais rien de nouveau à l'ouest!
Même les photos sont médiocres et seule une photos superbe .....d'usine fumant....
Très déçu!
Une immersion autant visuelle que sonore au coeur des forêts européennes. Les images sont très belles évidemment, les travellings et le montage des attaques des loups stupéfiantes. La ligne narrative est assez intéressante, parsemée de rares commentaires et appelle à la réflexion. Néanmoins, Jacques Perrin et Jacques Cluzaud m'avait d'avantage séduit avec leurs précédents documentaires.
Je n'ai pas prêté beaucoup d'attention lorsque ce film a commencé mais le flux continu de ce documentaire a attiré mon attention et j'ai été perdu dans sa réalisation magnifique et sans prétention jusqu'à sa fin. C'était comme lire l'un des plus beaux poèmes mais en même temps c'était aussi assister à un changement impitoyable du monde un monde qui était autrefois si riche et abondant un monde de la nature qui a une histoire que seule la forêt peut vous raconter. Nous les humains sommes l'espèce la plus vicieuse et la plus avide qui avons détruit la nature au bulldozer et nous l'avons transformée en soi-disant biens immobiliers en propriétaires terriennes et en propriétaires foncière. Nous avons inventé des lois pour protéger ce que nous avons volé à la nature nous avons revendiqué la propriété des terres que nous avons développées à partir de la nature sauvage puis nous avons délimité ces propriétés par des clôtures et des murs et nous avons installé des panneaux d'avertissement Propriété privée dans le monde entier. Ce film n'a pas beaucoup de structure autre que le fait qu'il y a des saisons mais il n'en a pas besoin. Si vous êtes un fan d'animaux vous allez beaucoup profiter de ces mouvements de saisons...
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