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𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
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1,5
Publiée le 1 mars 2019
Film nul ! Que dire sur ce film d'épouvante de requins... Les scènes filmer en plongée sont bien mais il y a des incohérences, les filles communiquent entre elles mais non pas de micro, le grand Requin n'est pas très visible, pour faire un bon film qui fait peur faut pas le rendres ennuyeux. Un film qui devient long malgré 1h26...
Les critiques sont très dures je trouve étant fan du genre, honnêtement j’ai vu bien bien pire! Le huis clos sous marin est ultra stressant, les requins très bien faits bref c’est un film de requins faut pas non plus chercher la petite bête!
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2,5
Publiée le 22 juillet 2019
Un suspense aquatique avec la fameuse cage aux requins en plat du jour qui rèussit, dans ses meilleurs moments, à cumuler plusieurs de nos angoisses en un seul long-mètrage! La peur du noir, de l'isolement, de l'abandon et des requins sont fort bien mis en avant même si les invraisemblances abondent. "47 Meters Down" fonctionne mais il faut le prendre comme il est! C'est à dire avec ses nombreuses incohèrences! C'est ègalement un exercice sur les clichès du genre pour facilement rentrer dans le film...et dans la cage! Avec à l'intèrieur, Mandy Moore et Claire Holt, qui arrivent sans problème à nous tenir en haleine! On s'identifie aux hèroïnes et pour le coup, on fait le baptême de mer en leur compagnie! Donc, Johannes Roberts y va vers plus de qualitè au niveau de l'histoire, de l'angoisse, de la photo, du twist final (inattendu) et choisit deux actrices « mèconnues » du grand public! On n'est content de retrouver à bord un certain Matthew Modine qui nous apprend les techniques essentielles de la survie en cage de plongèe! Squalophobie s'abstenir...
Le film de requins est vraiment devenu un genre en soi depuis « Les dents de la mer » et encore plus depuis une dizaine d’années où il subit un regain d’intérêt. Étonnement, le film culte de Spielberg a su créer une véritable peur autour de ce gros poisson carnivore que d’autres prédateurs marins ne connaissent pas. En effet, peu de films sur les crocodiles hormis les méconnus « Lake Placid » et « Solitaire » ou sur les anacondas mis à part l’illustre série B éponyme avec Jennifer Lopez ; quant aux pieuvres ou autres orques ils sont pour ainsi dire absents des salles de cinéma. Une fascination intacte donc pour ce gros poisson et sa célèbre nageoire menaçante qui perdure depuis plusieurs décennies. Cependant il devient difficile d’innover dans ce pré-carré cinématographique et aquatique forcément balisé si ce n’est les délires Z des « Sharknado ». Et ce « 47 meters down » n’y parvient jamais. Tout juste est-il correct et distrayant pour un samedi soir sans grande exigence.
Si les présentations entre les deux sœurs qui vont se retrouver coincées dans une cage par le fond à la merci des requins est parfaitement claire et concise comme il le faut, les péripéties sous-marines une fois l’accident arrivé restent profondément (c’est le cas de le dire !) banales et déjà vues. Il faut accorder deux ou trois moments chocs au long-métrage (notamment dans les toutes dernières scènes) mais ils sont bien trop rares et beaucoup trop sages au niveau du sang pour rassasier n’importe quel fan de gore. Pas aussi minimaliste que le surestimé « Open Water » et moins exagéré et boursouflé que le carton incompréhensible « En eaux troubles », cette variation se trouve finalement à un niveau qualitatif similaire : c’est-à-dire très moyen. Le film récent qui reste la bonne surprise sans équivoque dans le genre reste sans conteste « Instinct de survie » avec Blake Lively, un long-métrage que pompe un peu trop (et mal) ce « 47 meters down ». Et les invraisemblances en pagaille qu’on ne détaillera pas finissent d’achever notre relative patience. Tout cela s’avère donc très dispensable.
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Chose étonnante que plus de 40 ans après sa sortie, l'ombre de "Jaws" plane encore sur le cinéma, avec un sous-genre des plus prolifiques : le film de requin. Peut-être est-ce du à la facilité avec laquelle on peut, depuis la fin des années 2000, créer un requin numérique pour un public peu regardant ? Toujours est-il que bien qu'il se vende dans cette veine, "47 Meters Down" est en réalité un survival plutôt qu'un film de requin, les squales servant davantage ici de prétexte à l'intrigue. On suit en effet deux sœurs en vacances au Mexique, qui décident de plonger dans une cage pour observer les fonds marins, sauf qu'évidemment les choses vont mal tourner. Rien de très ambitieux ni novateur, et les CGI autour de la cage sont même vilains. Mais le film offre un suspense crédible et relativement efficace, s'appuyant sur les spécificités de la plongée sous-marine. Le niveau d'air dans les bouteilles évidemment, mais aussi les dangers de la décompression, ou l'ivresse des profondeurs. Les actrices font le job (Matthew Modine limitant sa présence à quelques répliques), et la mise en scène est tout à fait correcte.
Un petit film d'aventure , qui frôle le film catastrophe d' épouvante. Le suspens est plutôt bien fait, les actrices sont bonnes , mais on a une sensation de déjà vu, pas grand chose de nouveau.
L’idée est simple et ultra-efficace : deux nageuses au milieu des requins, protégées par une cage et cherchant tant bien que mal à remonter à la surface. Johannes Roberts parvient à bien l’exploiter et à créer quelques bonnes séquences de tension.
Autant le fait d'être 'enfermés' sous l'eau avec des requins pouvait laisser présager d'un minimum de sensation autant le résultat n'est absolument pas à la hauteur.
Ce film, c'est un peu deux nunuches qui font de la plongée parmi les requins. Après une première partie bien niaise, il parvient toutefois à bien faire monter la pression et à nous livrer une fin surprenante. Insuffisant cependant pour être plus qu'un divertissement de seconde zone réservant un ou deux frissons.
Si 47 Meters Down arrive à maintenir un bon suspense et son lot d’angoisse, le résultat est cependant gâché par une fin ratée et une originalité pas si flagrante que cela. En se prenant trop au sérieux malgré ses nombreuses incohérences, ce huis clos sous marin était peut être au fond une fausse bonne idée. Mais surtout les attaques de requins ne sont clairement pas assez spectaculaires pour prétendre rivaliser avec le classique de Steven Spielberg. Reste à voir si le second volet déjà en pré-production saura corriger les défauts de ce premier opus. [lire la critique complète sur freakingeek.com]
Ça commence mal. Deux sœurs. L'une coincée, l'autre plus délurée qui va l'entraîner vers ce qui va constituer le cœur du film : pouvoir observer des requins de près enfermé dans une cage. Elles vont le regretter amèrement. C'est bien de vouloir décoincer sa sœur. Encore faudrait-il que ce soit sans danger. La musique du groupe américain Tomandandy va alterner entre moments relaxants et d'autres plus stressants. La voix de Matthew Modine a beau avoir l'air rassurante, il y a bien sûr le requin qui rode et un obstacle de taille que je ne connaissais pas : le fameux accident de décompression. Elles ne doivent pas remonter trop vite sinon elles mourront. Que d'embûches. Si on ajoute les hallucinations, les blessures diverses, la peur, elles ne sont pas sorties de l'auberge. Un bon petit suspens. La prochaine fois, je le suggère à la place de profiter de l’endroit paradisiaque (beaux garçons, soirées, cocktails) plutôt que de faire trempette avec des requins. Courageux mais pas téméraire.