AlloCiné
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Votre avis sur 47 Meters Down ?
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Excellent ! Entre Instinct de survie et ce film, les films mettant en scène des requins sont d'actualités, et avec de la qualité cette fois ! Pas comme Bait et Shark Night 3D qui étaient plus que décevants.. En tant que fan des Dents de la mer, je suis ravis !! Je demande plus de films comme ça et moins de navets téléfilms qui pourrissent vraiment le genre. Pour revenir à In 47 Meters Down, je l'ai trouvé moins spectaculaire que Instinct de survie (on voit qu'il y a moins de budget), mais cependant il est plus angoissant et sombre ! Les scènes avec le requin d'Instinct de survie font plus dans l'action, alors que ce film essaye plus de faire dans le suspens en suggérant pas mal de choses. Quoi qu'il en soit les 2 films sont pour moi de grandes réussites ! J'ai juste adoré ce film, un des meilleurs dans son genre !
C'est le 1e film d'horreur que je regarde en entier :) et je tiens à dire qu'il est très bien, du début à la fin on est plongé dans l'histoire de ces 2 sœur qui vont dans cette cage dans l'eau et qui ce casse. Un film ou l'épouvante, l'action, le suspence et les requins sont très présent ! Mais, pour les amateurs d'horreur, et/ou, d'action seront servis !
Très bon film, du suspence dès que l'action débute. La fin est originale malgré qu'ils auraient pu la prolonger. :)
Le plus dur c'est d'y entrer et je parle bien de la mer, je ne m'abaisserais pas au niveau de cette introduction plus que ridicule qui introduit 47 meters down comme un véritable navet.
Imaginez un peu, deux jeunes et jolies filles que tout oppose, venues s'éclater et se changer les idées sur les côtes mexicaines. L'une est un aimant à expériences, l'autre une sédentaire de l'amour bien rangée. Mais c'est les vacances et qui dit vacances dit boîte de nuit, rencontres et inspiration au raz de pâquerettes. Va falloir aller chercher de l'excitation autre que les tronches de cake de Javier et Luis qui visiblement continuent de se la jouer cool même s'ils n'ont semble-t-il pas vus l'ombre d'une petite culotte dès le premier soir. Désolé mais c'est vraiment ce qu'inspire cette présentation ultra mièvre des personnages.
Mais bon, comme en terme de frisson, Javier et Luis ont plus d'un tour dans leur besace, après un démarrage raté qui nous a presque fait rebrousser chemin, on entre dans le vif du sujet assez rapidement. Car oui, on ne va pas se leurrer, on n'est pas venu là pour contempler les récifs de corail et les poissons clowns. Non, ce qui nous intéressent nous, c'est la tension des grands fonds, la chasse à l'otarie déguisée en être humain, l'immensité de la grande bleue et sa menace permanente.
Chez moi, la peur de l'océan est intacte et regarder ce genre de film, c'est transformer mon canapé en frêle esquif et mon carrelage en mer sans fond. Et de ce fait, tout film de squales en mode survival se retrouve immédiatement surnoté parce que cette pression due aussi bien à la profondeur qu'à la présence de ce prédateur suffit à me faire hérisser les poils de bras, à me faire sursauter, frissonner et à m'assurer qu'aucune de mes jambes ne se balade dans le vide.
En tant que très bon public, je peux donc dire que le contrat est rempli. J'ai changé 5 fois de position, j'ai juré 2 fois et je pense qu'à partir de maintenant, en toute subjectivité, ma note sur ce genre de survival sera proportionnelle à ces deux indicateurs.
Car si dans le genre le film ne renouvelle rien, il faut avouer que la menace est perpétuelle lorsque nos deux héroïnes se retrouvent prises au piège des profondeurs avec ces grands blancs baroudant entre elles et la surface appuyé par l'ultimatum du manque d'oxygène. Les situations s'enchaînent, jouent avec nos nerfs en exploitant pleinement la létalité de ce redoutable prédateur entre menace fantôme et attaques éclairs.
La fin malheureusement en fait un peu trop, donnant une deuxième lecture inutile à la conclusion.
Bref, le plus dur c'est d'y rentrer, mais une fois dedans, elle est bonne.
Imaginez un peu, deux jeunes et jolies filles que tout oppose, venues s'éclater et se changer les idées sur les côtes mexicaines. L'une est un aimant à expériences, l'autre une sédentaire de l'amour bien rangée. Mais c'est les vacances et qui dit vacances dit boîte de nuit, rencontres et inspiration au raz de pâquerettes. Va falloir aller chercher de l'excitation autre que les tronches de cake de Javier et Luis qui visiblement continuent de se la jouer cool même s'ils n'ont semble-t-il pas vus l'ombre d'une petite culotte dès le premier soir. Désolé mais c'est vraiment ce qu'inspire cette présentation ultra mièvre des personnages.
Mais bon, comme en terme de frisson, Javier et Luis ont plus d'un tour dans leur besace, après un démarrage raté qui nous a presque fait rebrousser chemin, on entre dans le vif du sujet assez rapidement. Car oui, on ne va pas se leurrer, on n'est pas venu là pour contempler les récifs de corail et les poissons clowns. Non, ce qui nous intéressent nous, c'est la tension des grands fonds, la chasse à l'otarie déguisée en être humain, l'immensité de la grande bleue et sa menace permanente.
Chez moi, la peur de l'océan est intacte et regarder ce genre de film, c'est transformer mon canapé en frêle esquif et mon carrelage en mer sans fond. Et de ce fait, tout film de squales en mode survival se retrouve immédiatement surnoté parce que cette pression due aussi bien à la profondeur qu'à la présence de ce prédateur suffit à me faire hérisser les poils de bras, à me faire sursauter, frissonner et à m'assurer qu'aucune de mes jambes ne se balade dans le vide.
En tant que très bon public, je peux donc dire que le contrat est rempli. J'ai changé 5 fois de position, j'ai juré 2 fois et je pense qu'à partir de maintenant, en toute subjectivité, ma note sur ce genre de survival sera proportionnelle à ces deux indicateurs.
Car si dans le genre le film ne renouvelle rien, il faut avouer que la menace est perpétuelle lorsque nos deux héroïnes se retrouvent prises au piège des profondeurs avec ces grands blancs baroudant entre elles et la surface appuyé par l'ultimatum du manque d'oxygène. Les situations s'enchaînent, jouent avec nos nerfs en exploitant pleinement la létalité de ce redoutable prédateur entre menace fantôme et attaques éclairs.
La fin malheureusement en fait un peu trop, donnant une deuxième lecture inutile à la conclusion.
Bref, le plus dur c'est d'y rentrer, mais une fois dedans, elle est bonne.
FaRem
Être perdu en mer doit être quelque chose de terrible, mais être coincé sous l'eau doit l'être encore plus. "In the Deep" est quand même assez original, car même si on a eu de tout avec des requins et des gens coincés sur un bateau ou à la mer, je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà vu cette situation. On peut dire que c'est un huis clos sous-marin plus qu'un film de requins, car ces derniers font partie des problèmes, mais ils ne sont pas les seuls. C'est pour ça que l'histoire est bien construite, car entre la cage qui fait des siennes, les requins, le manque d'oxygène, le problème de décompression qui les empêche de remonter ou encore le lieu sombre où il est impossible de se guider, les possibilités sont très nombreuses et le réalisateur ne se prive pas pour faire souffrir ses deux héroïnes. Le film est vraiment bien réalisé, ça donne quelque chose d'assez immersif avec des moments oppressants notamment lors des scènes avec les requins qui sont bien gérées et peu nombreuses ce qui est bien, car on n'est pas dans l'abus et ça rajoute de la tension vu qu'on ne sait pas quand ils vont débarquer. L'ensemble est solide, c'est un bon survival simple et efficace qui nous tient en haleine jusqu'au bout avec notamment un très bon final.
Voilà un film qui a énervé les adeptes de la plongée sous-marine. Alors d'accord c'est une fiction et pas un documentaire sur les techniques de plongées, mais rien n'empêchait les scénaristes de se renseigner un tout petit peu ! Tel que le film reste regardable, les filles sont belles, ce n'est pas trop long et les péripéties sont dans l'ensemble plutôt bien gérées. Il est quand même dommage que tout cela finisse par une séquence qui se voudrait originale mais qui n'est en fait que terriblement confuse.. Ça peut se regarder, mais ça ne renouvellera pas le genre.
Nicothrash
Un film d'épouvante de plus sur les requins pourrait-on dire, pourtant ce 47 Meters Down s'avère bien au dessus du lot de ce que l'on peut voir habituellement, sans même parler des indigestes Sharknado et Cie. Ici, on a une intrigue simple mais des images soignées et d'honnêtes interprètes, en outre après une mise en place un peu longue mais pas désagréable on a droit à pas mal de rebondissements malgré cet aspect quasi en huit-clos. Les profondeurs sous-marines s'avèrent particulièrement angoissantes et la sobriété des effets concernant les squales nous réserve quelques jolis moments de frayeur. Le métrage passe relativement vite, est pas mal stressant et nous réserve en plus un petit twist final bienvenu, une bonne pioche en somme ! Sa suite est prévue cette année toujours par le même réalisateur, Johannes Roberts, qui commence à se faire un nom dans le domaine.
Xavi_de_Paris
Attention aux phobiques des requins, ce film n'est clairement pas pour vous ! En effet vous aurez affaire là à l'une des plus grandes réussites dans le genre, tant le suspense et la tension sont à peine soutenables. "47 meters down" a de quoi scotcher dans son canapé. L'ensemble fait peur jusqu'au bout, avec des scènes absolument terrifiantes. L'ambiance est sombre, avec cet espèce de huis clos très anxiogène. Et bien malin qui devinera l'issue de tout ceci.
Passée une petite intro sympathique
spoiler:
(l'eau vient de la piscine, le sang est en réalité du vin, la musique de suspense)
, "47 Meters Down" démarre tranquillement, en accumulant tous les clichés du genre spoiler: (2 filles seules au Mexique, l'une d'elles a été larguée, l'idée de la plongée, tous les voyants sont au rouge, appétit pour les sensations fortes, jalousie un peu bête entre les 2 femmes)
mais se poursuit en offrant de bonnes séquences flippantes spoiler: (dans la cage, à ras du fond, au-dessus de la falaise en surface, Kate bouffée, Javier déchiqueté, au 1er palier)
servies par des montées sonores saisissantes, une musique angoissante, de bonnes idées scénaristiques spoiler: (l'oeil du requin crevé, le harpon pour récupérer la bonbonne d'oxygène, les fusées au 1er palier avec tous les requins autour)
, un gros twist spoiler: (celui de l'hallucination, qui est là aussi pour se moquer des happy-end)
et des requins un peu kitsch mais effrayants et hilarants. Bien sûr, à des fins ultra-dramatiques, le film force parfois le trait spoiler: (le deuxième câble qui pète, les niveaux d'oxygène très variables, le gilet gonflable pour soulever la cage)
mais cela reste rare et la plupart des incohérences spoiler: (palier de décompression, jambe mordue mais pas arrachée, la survie de Kate)
ont lieu lors d'un moment spécial spoiler: (les hallucinations dues à l'azote)
et sont justifiables spoiler: (Lisa veut croire au happy-end, c'est dans sa nature; Lisa n'a jamais fait de plongée auparavant)
. Ce qui est gênant, c'est le fait que Lisa spoiler: entende les secours à la fin à 47 mètres de fond alors que ce n'était pas le cas avant, et surtout que les masques ne couvrent pas les oreilles des plongeurs (pas crédible pour les communications)
. Niveau casting, Mandy Moore et Claire Holt ne sont pas exceptionnelles mais ne font pas nunuches non plus. En bref, en dépit de quelques clichés et incohérences ainsi qu'une fin abrupte, "47 Meters Down" est un film réussi qui fait passer un bon petit moment flippant.
, "47 Meters Down" démarre tranquillement, en accumulant tous les clichés du genre spoiler: (2 filles seules au Mexique, l'une d'elles a été larguée, l'idée de la plongée, tous les voyants sont au rouge, appétit pour les sensations fortes, jalousie un peu bête entre les 2 femmes)
mais se poursuit en offrant de bonnes séquences flippantes spoiler: (dans la cage, à ras du fond, au-dessus de la falaise en surface, Kate bouffée, Javier déchiqueté, au 1er palier)
servies par des montées sonores saisissantes, une musique angoissante, de bonnes idées scénaristiques spoiler: (l'oeil du requin crevé, le harpon pour récupérer la bonbonne d'oxygène, les fusées au 1er palier avec tous les requins autour)
, un gros twist spoiler: (celui de l'hallucination, qui est là aussi pour se moquer des happy-end)
et des requins un peu kitsch mais effrayants et hilarants. Bien sûr, à des fins ultra-dramatiques, le film force parfois le trait spoiler: (le deuxième câble qui pète, les niveaux d'oxygène très variables, le gilet gonflable pour soulever la cage)
mais cela reste rare et la plupart des incohérences spoiler: (palier de décompression, jambe mordue mais pas arrachée, la survie de Kate)
ont lieu lors d'un moment spécial spoiler: (les hallucinations dues à l'azote)
et sont justifiables spoiler: (Lisa veut croire au happy-end, c'est dans sa nature; Lisa n'a jamais fait de plongée auparavant)
. Ce qui est gênant, c'est le fait que Lisa spoiler: entende les secours à la fin à 47 mètres de fond alors que ce n'était pas le cas avant, et surtout que les masques ne couvrent pas les oreilles des plongeurs (pas crédible pour les communications)
. Niveau casting, Mandy Moore et Claire Holt ne sont pas exceptionnelles mais ne font pas nunuches non plus. En bref, en dépit de quelques clichés et incohérences ainsi qu'une fin abrupte, "47 Meters Down" est un film réussi qui fait passer un bon petit moment flippant.
Excellent film du genre. Depuis « the reef », je n’avais plus vu de film consacré au sujet qui soit bien réalisé et avec un scénario prenant et un minimum novateur. Une présentation des personnages beaucoup moins clichée que décrite dans certains commentaires, et un déroulement accrocheur sans temps morts. De bons rebondissements, du suspense, et je n’en dirai pas davantage. À voir pour les amateurs du genre survival (et particulièrement ceux dans la mer, face à ces requins géants qui ne sont en revanche pas réalistes puisque les vrais requins blancs n’attaquent pas l’homme aussi facilement, et il est même possible de nager avec eux sans cage !
Concernant les commentaires négatifs au sujet du non port de palmes et à certains aspects technique de la plongée sous marine, la pratiquant moi-même je n’y trouve pas grand-chose à redire : c’est réaliste. (Et elles ne portent pas de palmes puisqu’elles sont dans une cage en surface, c’est plutôt normal et l’inverse aurait été curieux).
Concernant les commentaires négatifs au sujet du non port de palmes et à certains aspects technique de la plongée sous marine, la pratiquant moi-même je n’y trouve pas grand-chose à redire : c’est réaliste. (Et elles ne portent pas de palmes puisqu’elles sont dans une cage en surface, c’est plutôt normal et l’inverse aurait été curieux).
Le début annonce le pire mais en jouant sur des peurs multiples, « 47 Meters Down » arrive à être plus ou moins angoissant. Ce sentiment n’agit cependant que par fugaces intermittences tant il est difficile de se satisfaire, dans le même laps de temps, des invraisemblances du film et de supporter le jeu inconsistant des 2 actrices.
Très gros succès aux Etats-Unis, 47 Meters Down n’a pourtant pas eu le droit à une sortie en salles en France. Au vu du film, on peut comprendre pourquoi tant le métrage n’a guère d’intérêt. Surfant sur la vague des films comme Open Water ou encore Instinct de survie, Johannes Roberts place deux personnages féminins dans une fâcheuse posture, bloquées dans une cage anti-requin par 47m de fond. Si l’idée est plutôt bonne, l’accident se produit au bout d’une première demi-heure très cliché et il faut ensuite supporter l’attente du sauvetage pendant près d’une heure. C’est assez ennuyeux pour tout dire et l’absence de personnages vraiment intéressants ruine les quelques efforts du cinéaste, et ceci malgré un twist final plutôt pas mal. Bref, un spectacle dispensable.
Pas mal, mais sans plus. Les images sont intéressantes mais gâchées par la profusion d'effets spéciaux, de comportements de prédation irréalistes de la part des requins, et d'un certain laisser-aller dans le traitement par le cinéaste de la phase finale de l'intrigue. Sinon, se laisse regarder sans trop de problème, et se hisse à des années-lumière des nullités crasseuses servies sur le même thème ces derniers temps (notamment l'immonde Peur Bleue 2, entre autres...).
Les critiques sont très dures je trouve étant fan du genre, honnêtement j’ai vu bien bien pire! Le huis clos sous marin est ultra stressant, les requins très bien faits bref c’est un film de requins faut pas non plus chercher la petite bête!
Je ne savais pas qu'il était aussi facile de communiquer 47 mètres sous l'eau, entre les deux filles qui font de la plongée sans palmes et sans aucun ressenti du phénomène de pression ainsi qu'entre les deux filles et la surface (pourtant le matériel du rafiot rouillé n'a pas l'air d'être franchement performant) . Aucun crédibilité dans le scénario donc et rien de nouveau pour cette enième version de man versus shark.
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