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    Pride
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    397 critiques spectateurs

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    Marcel D
    Marcel D

    108 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 septembre 2014
    Toujours un peu méfiant face aux films qui revendiquent, craignant les clichés et le manichéisme, je dois dire que ce film m'a emballé ! Soigné au niveau de la réalisation, dans une ambiance très british, le film commence pied au plancher. Certains plans sont superbes. J'ai trouvé que le rythme se tassait à l'heure de film et que ça aurait peut être mérité une vingtaine de minutes en moins, sachant que c'est le moment du film où on voit vraiment l'action des gentils et celle des méchants... J'ai également apprécié le fait qu'il n'y ait pas qu'un seul héros omnipotent et omniscient, mais bien plusieurs personnages avec chacun leur profil propre. Un film qui pulse, qui fait du bien !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 septembre 2014
    Une très belle surprise. Ce film est à la fois touchant et drôle, il reprend un fait historique très important et à la fois toujours d'actualité, l'homosexualité. Ce sujet sensible, et traité avoir un humour anglais et une bande sons qui va vous faire aimer cette Angleterre un petit peu plus qu'avant. Nous retrouvons des acteurs géniaux pour un film qui vaut la peine de le voir dans nos salles obscurs !
    Thib'o
    Thib'o

    14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 septembre 2014
    Peut-être le meilleur film de l'année ! De l'humour avec réflexion et émotion, une histoire vraie qui rajoute de sa superbe à ce film ! On y parle respect, tolérance et en ce moment c'est important !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 septembre 2014
    Un excellent film! C'est un très beau film, qui compte une histoire a la fois touchante et intéressante. En effet, il est parfait a allez voir en famille comme avec des amis ou seul, et vous rendra joyeux pour le restant de votre journée! J'irais même jusqu'à dire que ce film est une hymne a la vie! Combinant scène comique et sérieuse, ma fille et moi vous recommandons vivement d'aller voir ce film !
    desiles ben
    desiles ben

    31 abonnés 204 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2014
    Si ce n'était tiré d'une histoire vraie, on aurait du mal à croire à l'intrigue tant est improbable cette rencontre entre gays en révolte et mineurs en colère. Et pourtant les faits sont avérés... Le réalisateur revisite l'Angleterre thatchérienne des années 80, avec sa brutalité, son conformisme oppressant mais aussi ses rebelles.
    C'est une fresque sociale à la Ken Loach, teintée d'humour et de "gayté". On frôle parfois la guimauve mais très vite, le réel vous revient en pleine figure comme une gifle. Les années 80, c'était certes Bronski Beat et Donna Summer, mais c'était aussi, pour les homosexuels, les insultes, les crachats et le sida. On ressort néanmoins de ce film avec la pêche, réconcilié avec l'humanité - peu-être un peu vite, mais cela fait du bien quand l'air du temps est désespérant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 septembre 2014
    Pride...Stop ! Arrêtez tout ! Même si ce film ne révolutionne pas le cinéma, il n’en reste pas moins essentiel pour plusieurs raisons. Il relate une histoire vraie, devenue par la force des choses un fait historique qu’il faut évangéliser. Le pitch ? 1984, l’ère Thatcher, la grève des mineurs. Ca on connait. Ce que l’on ne sait pas c’est qu’au même moment à Londres, une poignée de militants gays/lesbiens récoltent de l’argent pour venir en aide aux mineurs, puisque le gouvernement a coupé les allocations aux familles des grévistes. Ils vont se retrouver dans un village au fin fond du pays de Galles pour apporter l’argent récolté. Leur arrivée fait autant d’effet qu’un débarquement extra-terrestre.
    Je n’ai rien dévoilé, tant il se passe de choses dans ce film. Je vous cite en vrac tout ce que l’on trouve dans ces deux heures qui passent trop vite : The Smiths, Bronski Beat, Dead or Alive, Ken Loach, Full Monty, Billy Elliott, Culture Club, les accents à couper au couteau, le flegme et l’humour british, Stephen Frears, le sida, la bière, tout ce qu’on aime chez les anglais, une pléiade de comédiens plus exceptionnels les uns que les autres, dont Dominic West que l’on a adulé dans l’immense série The Wire dans laquelle il tenait le rôle principal, ici dans un rôle à contre emploi, celui d’un long time survivor séropo et danseur émérite, je pourrais en écrire des pages entières !
    Mais surtout ce film est un concentré d’Émotion(s), de sincérité, d’honnêteté, malgré des imperfections minimes. On peut le considérer il est vrai comme un feelgood movie, mais ce serait réducteur. Il demeure LE petit film inattendu de la rentrée, la bonne surprise de cet automne, et franchement je vous le recommande vivement. Jamais un feelgood movie ne m’aura autant fait rire et pleurer en même temps...pour la bonne cause. Arrêtez tout ! Courez-y ! C’est de la bonne !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 septembre 2014
    On n’a de cesse de se répéter : les Anglais ont vraiment tout compris ! Pride est comédie britannique comme ils savent si bien le faire. Ici, c’est au réalisateur Matthew Warchus qu’on doit ce petit chef d’œuvre. Que du bonheur, que du sentiment, que de la réflexion, que de l’intensité. Et ce n’est que ce second long-métrage, après Simpatico (1999). Pourtant, ce n’était pas gagné puisqu’elle s’attèle à un sujet - il faut le dire – sensible, la cause homosexuelle en Grande-Bretagne au milieu des années 80...

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 septembre 2014
    Bon, allez, j’ai vu la bande annonce et ça m’a donné envie même si tout est dit et qu’il est à craindre qu’il n’y ait rien d’autre. Et bien non. Ça me fait aussi penser à Ken Loach mais non.
    Bon, ça fait longtemps que je ne suis pas allée à une séance du matin et je suis la première à entrer dans la salle. Finalement, nous serons trois. Les séances du matin sont un bon baromètre mais je me méfie aussi parce que le public de certains films n’ira pas toujours à ces séances-là.
    Ça se passe ne Angleterre en 1984 sous le gouvernement Thatcher. Des mineurs au pays de Galles sont en grève car les mines sont menacées de fermeture.
    A Londres, un groupe d’homosexuels emmenés par Mark, jeune idéaliste, décide de leur venir en aide et de collecter des fonds pour eux.
    [...]
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 septembre 2014
    Très beau film basé sur une histoire vrai. On y apprend beaucoup de chose . Je regrette que la salle n'était pas assez sois pas assez remplis pour ce genre de film. On aurait du parler un peu plus de ce film dans les médias.
    flemar
    flemar

    27 abonnés 232 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 septembre 2014
    La rencontre entre deux mondes que tout oppose : les mineurs en grève du Pays de Galle et des gays Londoniens. Ce film est une vraie surprise pour moi, il n est pas sans rappeler le film Full Monty de part son thème sur les mineurs. Tout comme ce dernier il est drôle et émouvant, on passe du rire aux larmes en 5 min! Les acteurs, tous sans exception, sont parfaits et particulièrement touchant ! Ce film basé sur une histoire vraie qui a plus de 30 ans est tellement encore d actualité, que cela soit sur les conflits sociaux ou le regard que notre société a sur les gays. A voir !!
    SothaSil
    SothaSil

    11 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2014
    Un film plein de bonne humeur sur un événement méconnu mais intéressant de l'histoire des luttes sociales au Royaume-Uni, duquel on ressort avec la pêche et le sourire. Humour adroit et généreux, bande-son super dynamique, personnages attachants : combo efficace, le film fonctionne. Le jeu et la mise en scène parfois exagérés ainsi que les rebondissements prévisibles viennent quelque peu entacher le plaisir, mais rien de grave.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 septembre 2014
    Présenté en avant-première au Pathé Masséna de Nice, le mardi 16 Septembre, dans la cadre de Ze Festival, festival du Film Lesbien Gay Bi Trans PACA, Pride est le deuxième long métrage de Matthew Warchus qui revient à la réalisation après quinze ans d’absence durant lesquels il s’est consacré au théâtre. Le film a été présenté par le président de l’association Polychromes qui annonce sa conviction qu’un film peut changer un homme. Vu le message foudroyant du film, on aimerait tellement que ce soit vrai. En attendant, passons un bon moment de rire et d’audace politique aux côtés des Lesbiens et Gay qui soutiennent les mineurs.

    En 1984, en pleine tempête thatchérienne, un groupe de militant gays, mené par Mark (Ben Schnetzer) décident d’organiser une récolte de don en faveur des mineurs qui se battent contre la casse de l’industrie anglaise par le gouvernement anglais. Devant le refus de l’Union Nationale des Mineurs d’accepter leur aide, il s’embarque dans un minibus pour porter l’argent en main propre dans un village sinistré du Pays de Galles.

    Dans les années 80, il n’y a pas encore de représentant gay à la chambre des députés, pas plus que d’homosexuels ouvertement revendiqué dans les instances des partis. A peine tolérée, l’homosexualité n’est alors légale que sous deux conditions : majorité sexuelle à 21 ans et avoir lieu en privée. On entend par privé le stricte cadre de la chambre conjugale et les hétérosexuelles sont sexuellement majeur à seize ans. La répression policière des Gay Pride, qui ne sont pas autorisées, et régulière. Les autorités laissent les manifestants se faire lyncher. C’est ainsi que les Gay Pride des années 80 n’ont rien à voir avec la débauche consumériste de celle que l’on connaît aujourd’hui dont les organisateurs ont tendance à oublier que la lutte n’est pas tout à fait finie. Mark et sa bande sont politisés, ils ont conscience que l’oppression de leur minorité n’est qu’une expression parmi d’autre de l’uniformisation capitaliste. C’est pourquoi, ils prennent la décision de lutter côte à côte avec les mineurs en grèves. Ils vont devoir se battre contre les préjugés des mineurs gallois qui se veulent virils et rustres et qui ont la réputation, au pub, de ne jamais se lever pour danser. Ces préjugés tout droit sorti des nauséabonds tabloïd anglais qui fustigent aussi bien les mineurs que les homosexuelles, qui fustigent en fait tout ce qui ne va pas dans le sens du conservatisme à papa.Le groupe LGBT va donc devoir se battre contre deux fronts : l’opposition local aux « pervers » et la bataille contre le gouvernement. Reprenant le terme de « pervers », ils organiseront un concert avec en tête d’affiche Bronski Beat, permettant ainsi au village exsangue d’acheter des fournitures et des denrées pour les familles de mineurs dont Thatcher a radicalement réduit les allocations pour les affamer. Pride, c’est un épisode oublié des grèves de mineurs anglais dont il est bon de nous rappeler le souvenir. Parce que les minorités, une fois intégrées, ont tendance à trouver de nouveaux boucs émissaires (comme les Log Cabin Republicans) ou bien, chose incroyable, à soutenir l’ennemi traditionnel comme les récents soutiens d’une franche très réduite de la communauté à la « manif pour tous ». Allez comprendre. L’histoire ne fournit pas assez de leçon.

    Le second point fort de Pride est certainement son humour irrésistible. La rencontre de deux mondes qui ne devaient pas se rencontrer donne des situations cocasses. La vieille secrétaire de la section se demande si ce qu’on lui a raconté au marché est vrai car elle n’en croit pas ses yeux : les lesbiennes sont-elles toutes végétariennes ? Au huitième degré, la réponse des deux lesbiennes est la suivante : elles sont végétaliennes. Impossible de ne pas rire devant l’air perplexe de l’octogénaire. Parmi les acteurs, tous profondément impliqués, on retrouve dans le rôle de Mike, Joseph Gilgun, le trublion de Misfits. Toujours sur la brèche, Matthew Warchus se permet de jouer sur tous les clichés sur les homosexuelles mais il le fait avec tendresse. Il ne s’inscrit pas dans la satire des rustres campagnards, il étoffe avec intelligence les préjugés qui sont dû davantage à l’inculture et à la propagande droitière des tenants de la bienséance qu’à une profonde conviction populaire. Au fond, à travers l’humour comme à travers son discours ouvertement militant, Pride amène le spectateur à faire fis des apparences, différences factices que l’on renvoie aux masses pour les diviser. La répression policière et politique des minorités et plus généralement des mécontents s’allie à la répression idéologique menée de front par les chiens de gardes médiatiques. Aujourd’hui, comme sous Thatcher, les médias ne sont que le reflet de la bourgeoisie dominante. C’est ce qui unit le groupe d’homosexuelles et les mineurs gallois en cette année 1984. Les militants gay vont apprendre aux mineurs à utiliser les propres armes de la propagande anti-grévistes. Poursuivis depuis longtemps, les LGBT britannique connaissait aussi leurs droits. Les grévistes sont déjà à l’époque « des preneurs d’otages » et des « feignasses » comme les homosexuelles sont des « pervers ».Mais n’en déplaise à madame Thatcher, ce qui unissait ces deux groupes militants n’était pas un poil dans la main mais belle et bien une fraternité festive.

    Si Mark est un indigné, Pride couve en filigrane l’indignation de son scénariste, Stephen Beresford, sur notre époque où l’entertainment déshumanisé a remplacé la lutte collective qui rappelons le sera festive ou ne sera pas comme le montre Jimmy’s Hall de Ken Loach ou le formidable élan de fraternité qu’incarne la fête de l’Humanité. C’est le sens de Pride qui ne se privent pas de rappeler que la Gay Pride de 1985 à Londres fut sûrement la dernière a être ouvertement politisée avant que des idiots décident que fête et lutte soient incompatible. C’est aujourd’hui le sens du mouvement Gay Shame qui propose de repolitiser les Gay Pride loin de la foire mercantiliste qu’elles sont devenus.

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    Guy T.
    Guy T.

    8 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2014
    A la fois drôle et touchant, superbe leçon de tolérance et d' amour!!!!
    Claire D
    Claire D

    7 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 septembre 2014
    L'histoire est intéressante, mais c'est vraiment pas la comédie de l'année! Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Bien interprété, ça je le souligne. Tout est prévisible et plein de bons sentiments. Trop de bons sentiments.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 septembre 2014
    Un film que je ne peux que conseiller! Un cast plein de talent et un scénario finement mené qui donnent lieu à un magnifique moment de cinéma. Beaucoup de rires et quelques larmes versées. Une histoire qui vous prend par les sentiments et qui vous fera sourire pendant deux heures. Un film porteur d'espoir et de bons sentiments envers l'humanité.
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