Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
C’est parce qu’il était las de la manière dont la banlieue était montrée au cinéma que Pascal Tessaud a réalisé "Brooklyn". C’est parce que ce jeune cinéaste a beaucoup de talent que son premier film est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) on ne serait pas étonné que ce réalisateur en herbe, qui a si bien su capter la culture de la rue et sa spontanéité, soit soudain appelé par le cinéma américain. Histoire de ne pas faire mentir un titre qui pourrait bien avoir été prémonitoire (« Brooklyn » étant ici le surnom de l’héroïne).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par La Rédaction
Tourné avec les moyens du bord (c’est du cinéma guérilla, selon le réalisateur), le film est le portrait, attachant et vif, d’une jeunesse qui cherche un point d’ancrage dans le rap.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Formé aux arts graphiques,Tessaud n'oublie pas d'inventer sa forme, synchrone de son fond, avec un montage elliptique et tranchant, un rythme à la fois languide et syncopé, un flow filmique qui tiendrait à la fois de l'impro jazz et des scratches du rap.
Positif
par Ariane Allard
Une onde généreuse, vibrante, se dégage de ce portrait atypique (ne serait-ce parce qu'il donne la parole à une fille dans un univers très masculin).
Première
par Isabelle Danel
Tourné à l'arrache, ce premier long-métrage en forme de parcours initiatique est empreint d'une énergie communicative. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Fabien Reyre
"Brooklyn" détonne par sa sérénité et sa douceur (même dans les scènes les plus tendues du film), son flow aussi vif et agile que celui de son héroïne, et sa capacité à représenter des environnements et ceux qui les habitent avec fraîcheur et immédiateté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Marie Soyeux
À force d’ellipses, le réalisateur brouille son propos, de sorte que le spectateur n’est pas sûr de comprendre le dénouement l’histoire. À défaut d’un film totalement abouti, il reste l’énergie d’une aventure humaine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une plongée dans la banlieue qui refuse la violence et le misérabilisme pour une vision optimiste et euphorisante.
Le Monde
par Noémie Luciani
(...) cette fiction aux airs documentaires construite autour de la forte personnalité de la rappeuse KT-Gorique, qui en tient le rôle principal, propose un portrait contemporain assez fin et attachant, mais un peu trop impressionniste dans sa structure pour déployer pleinement les enjeux d'une histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julien Nève
Le premier long métrage de Pascal Tessaud, produit d'un “cinéma guérilla” sans financement, est une chronique modeste, mais résolument attachante.
Libération
par Clément Ghys
Brooklyn est un film évidemment aimable, sympathique tant il va à rebours des clichés nauséabonds qui affleurent un peu partout dès qu’est prononcé le mot «banlieue». (...) Le problème du film est qu’à vouloir à tout prix éviter les clichés, il s’embourbe un peu dans ses maladresses, dans une candeur pas forcément d’actualité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Un film plein de bonnes intentions mais trop doux pour convaincre.
Télérama
par Bruno Lcher
Tourné avec des moyens très modestes, le film tente de faire de nécessité vertu, adoptant des dialogues plus ou moins improvisés et un style à l'arrache dont l'efficacité et le caractère émouvant fonctionnent sur courant alternatif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
C’est parce qu’il était las de la manière dont la banlieue était montrée au cinéma que Pascal Tessaud a réalisé "Brooklyn". C’est parce que ce jeune cinéaste a beaucoup de talent que son premier film est une réussite.
L'Humanité
(...) on ne serait pas étonné que ce réalisateur en herbe, qui a si bien su capter la culture de la rue et sa spontanéité, soit soudain appelé par le cinéma américain. Histoire de ne pas faire mentir un titre qui pourrait bien avoir été prémonitoire (« Brooklyn » étant ici le surnom de l’héroïne).
L'Obs
Tourné avec les moyens du bord (c’est du cinéma guérilla, selon le réalisateur), le film est le portrait, attachant et vif, d’une jeunesse qui cherche un point d’ancrage dans le rap.
Les Inrockuptibles
Formé aux arts graphiques,Tessaud n'oublie pas d'inventer sa forme, synchrone de son fond, avec un montage elliptique et tranchant, un rythme à la fois languide et syncopé, un flow filmique qui tiendrait à la fois de l'impro jazz et des scratches du rap.
Positif
Une onde généreuse, vibrante, se dégage de ce portrait atypique (ne serait-ce parce qu'il donne la parole à une fille dans un univers très masculin).
Première
Tourné à l'arrache, ce premier long-métrage en forme de parcours initiatique est empreint d'une énergie communicative. Une réussite.
Critikat.com
"Brooklyn" détonne par sa sérénité et sa douceur (même dans les scènes les plus tendues du film), son flow aussi vif et agile que celui de son héroïne, et sa capacité à représenter des environnements et ceux qui les habitent avec fraîcheur et immédiateté.
La Croix
À force d’ellipses, le réalisateur brouille son propos, de sorte que le spectateur n’est pas sûr de comprendre le dénouement l’histoire. À défaut d’un film totalement abouti, il reste l’énergie d’une aventure humaine.
Le Dauphiné Libéré
Une plongée dans la banlieue qui refuse la violence et le misérabilisme pour une vision optimiste et euphorisante.
Le Monde
(...) cette fiction aux airs documentaires construite autour de la forte personnalité de la rappeuse KT-Gorique, qui en tient le rôle principal, propose un portrait contemporain assez fin et attachant, mais un peu trop impressionniste dans sa structure pour déployer pleinement les enjeux d'une histoire.
Les Fiches du Cinéma
Le premier long métrage de Pascal Tessaud, produit d'un “cinéma guérilla” sans financement, est une chronique modeste, mais résolument attachante.
Libération
Brooklyn est un film évidemment aimable, sympathique tant il va à rebours des clichés nauséabonds qui affleurent un peu partout dès qu’est prononcé le mot «banlieue». (...) Le problème du film est qu’à vouloir à tout prix éviter les clichés, il s’embourbe un peu dans ses maladresses, dans une candeur pas forcément d’actualité.
Studio Ciné Live
Un film plein de bonnes intentions mais trop doux pour convaincre.
Télérama
Tourné avec des moyens très modestes, le film tente de faire de nécessité vertu, adoptant des dialogues plus ou moins improvisés et un style à l'arrache dont l'efficacité et le caractère émouvant fonctionnent sur courant alternatif.