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"Self Made" est surtout un film formidable... pied de nez à tous les préjugés! Outre une satire stylisée du milieu satirico-branché, outre une critique sans appel du patriarcat, ce deuxième long-métrage propose une réflexion fine sur l'être, le paraître et l'identité.
Shira Geffen (Les méduses) raconte l'histoire de deux femmes - l'une israélienne, l'autre palestinienne - confinées dans leurs mondes respectifs et parvient par l'humour voire le surréaliste à faire passer un message profond. Assez fort.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
"Self made" charme au début par son ton doux-amer entre fantaisie kafkaïenne, fable angoissante ou conte de fées avarié, mais lasse quand il devient volontariste avec un message conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Une plasticienne se retrouve, pour monter un lit qu’on lui a livré en kit, avec quatre vis au lieu de cinq. Ce qui déclenche une mécanique inattendue qui, entre l’Israélienne qu’elle est et la Palestinienne chargée de fournir les vis, embarque le film dans une logique métaphorique de l’absurde où il se perd un peu en route.
"Self Made" ressemble à ces meubles dont la maison d’un personnage se voit envahie, produits du Conforama local : préfabriqué, dessiné à l’équerre, mais à la personnalité et l’originalité toutes factices.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le petit théâtre d'incongruité surréaliste par laquelle la mise en scène tente de brouiller les cartes ne suffit pas à contrecarrer le schématisme du propos.
Une tragicomédie absurde et pseudofantastique, où une ouvrière palestinienne et une artiste israélienne échangent leur vie. Du cinéma lourdement symbolique.
Positif
"Self Made" est surtout un film formidable... pied de nez à tous les préjugés! Outre une satire stylisée du milieu satirico-branché, outre une critique sans appel du patriarcat, ce deuxième long-métrage propose une réflexion fine sur l'être, le paraître et l'identité.
TF1 News
Shira Geffen (Les méduses) raconte l'histoire de deux femmes - l'une israélienne, l'autre palestinienne - confinées dans leurs mondes respectifs et parvient par l'humour voire le surréaliste à faire passer un message profond. Assez fort.
Culturopoing.com
"Self made" charme au début par son ton doux-amer entre fantaisie kafkaïenne, fable angoissante ou conte de fées avarié, mais lasse quand il devient volontariste avec un message conventionnel.
La Croix
Une sombre exploration existentielle, à travers les destins croisés d'une artiste israélienne névrosée et d'une jeune Palestinienne.
Télérama
On retrouve, un peu systématisé, le sens de l'absurde lent et du loufoque tendre qui avait tant séduit dans Les Méduses (Caméra d'or à Cannes 2007).
Le Dauphiné Libéré
Une plasticienne se retrouve, pour monter un lit qu’on lui a livré en kit, avec quatre vis au lieu de cinq. Ce qui déclenche une mécanique inattendue qui, entre l’Israélienne qu’elle est et la Palestinienne chargée de fournir les vis, embarque le film dans une logique métaphorique de l’absurde où il se perd un peu en route.
Les Fiches du Cinéma
Intéressant sur le papier, ce récit de deux destins aux ressorts burlesques se révèle assez décevant.
Première
L’artificialité du twist central (un échange de vies bien commode) renforce le côté binaire du propos.
Critikat.com
"Self Made" ressemble à ces meubles dont la maison d’un personnage se voit envahie, produits du Conforama local : préfabriqué, dessiné à l’équerre, mais à la personnalité et l’originalité toutes factices.
Le Monde
Le petit théâtre d'incongruité surréaliste par laquelle la mise en scène tente de brouiller les cartes ne suffit pas à contrecarrer le schématisme du propos.
Studio Ciné Live
Une tragicomédie absurde et pseudofantastique, où une ouvrière palestinienne et une artiste israélienne échangent leur vie. Du cinéma lourdement symbolique.