Note moyenne
4,4
29 titres de presse
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20 Minutes
Influencé par "La nuit des morts-vivants", "Black Hole", comic de Charles Burns et la filmographie de John Carpenter, le réalisateur de "The Myth of the American sleepover" signe une œuvre personnelle et angoissante.
Culturopoing.com
"It follows" excelle dans la capacité à traduire le tourment et le flottement adolescents par le climat de rêve éveillé. Au delà de son terrifiant postulat fantastique, il tend le portrait sensible d'une adolescence américaine étouffée par la culpabilité et la peur.
Ecran Large
Des frissons magnifiques, de ceux qui dévorent notre rétine et s'y gravent à jamais.
GQ
Film d'horreur stylisé, "It Follows", du jeune réalisateur David Robert Mitchell, est un des plus beaux films de ce début d'année.
L'Humanité
Une oeuvre anxiogène et plastiquement splendide.
Le Monde
Le film, c'est la première chose qui frappe, est d'une grande beauté. Ses partis pris - sophistication plastique des cadres, qui font parfois penser à ceux de M. Night Shyamalan (...) paysages sonores raffinés...- exaltent l'inquiétante étrangeté qui en fait le charme.
Les Inrockuptibles
Un film d’horreur insidieux et languide.
Libération
Constamment inventive et élégante, la mise en scène de David Robert Mitchell déploie dans le champ du film fantastique une théorie de la libido de la connaissance.
Metro
Cette pépite horrifique de l’américain Robert David Mitchell, dans laquelle le mal se transmet par rapports sexuels, fera clairement date.
Paris Match
Remarquable à tous points de vue (forme, scénario, densité, thématique), cette œuvre apporte un sang revivifié au film de genre en parvenant, sans esbroufe, ni surenchère, à distiller une peur à la pureté saisissante.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Pour l'heure, l'angoisse n'a pas été aussi bonne depuis très longtemps. Un classique instantané, à ranger entre "Halloween, la nuit des masques" et "Ring".
Télérama
POUR : Avec une rare économie de moyens et un sens du hors-champ qui rappelle le cinéma de Jacques Tourneur, David Robert Mitchell signe un film de zombies ultra flippant, car dénué de l'ironie qui parasite souvent ce genre surexploité.
Voici
Un thriller d'épouvante visuellement remarquable dans la veine de Cronenberg, Nakata, Kubrick, Craven...
aVoir-aLire.com
Claque visuelle, chef d’œuvre d’ambiance, enfer de terreur sourde, "It Follows" est le film d’épouvante de l’année.
Chronic'art.com
Toute la beauté de "It follows", revenue des illustres modèles avec lesquels il rivalise presque, tient dans cette alternance entre brusques jaillissements de terreur et mélancolie cristalline exhalée par les oripeaux de l'enfance.
CinemaTeaser
Le second long-métrage de David Robert Mitchell convoque de manière singulière le meilleur du cinéma d'horreur.
Critikat.com
La sérénité apparente de la mise-en-scène, sûre de ses effets impeccablement calculés, devient ainsi le ton idéal pour déballer un récit bileux.
L'Ecran Fantastique
(...) une petite perle d'ingéniosité et et de simplicité qui, sans amener de grandes nouveautés au genre, y apporte tout de même son lot de fraîcheur.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
Plastiquement, le long métrage est saisissant de maîtrise au niveau du cadre et de la lumière.
Les Fiches du Cinéma
Baignée de motifs eighties, qu'elle infuse dans un récit élégiaque, l'une des propositions d'épouvante les plus probantes depuis des lustres.
Mad Movies
De l'horreur intelligemment postmoderne dotée d'une mise en scène puissante et ludique. Ça fait du bien!
Positif
Un film de poursuite magnifiquement inventif, qui décline adolescence et sexualité dans une Amérique étrangement désertée par les adultes.
Première
Hormis une scène de piscine quelque peu maladroite, c’est un sans-faute.
So Film
C'est surtout esthétiquement que "It Follows" profite de son idée de départ.
Time Out Paris
Il y a du David Lynch dans ces images d’ados désœuvrés de banlieue huppée, en proie à leurs pulsions et frayeurs, pour qui le passage à la maturité s’accompagne d’angoisse existentielle.
Cahiers du Cinéma
Dans ses meilleures scènes, David Robert Mitchell rejoint la terreur épurée du Carpenter d’"Halloween". Mais lorsqu’il faut donner une réalité à la menace, "It Follows" tombe dans la facilité.
Télérama
CONTRE : Le plus gênant reste le scénario. En effet, David Robert Mitchell a imaginé une solution pour que ses personnages se débarrassent de leur virus mortel : le refiler aux autres en couchant avec eux ! Une idée que le regard douteux du cinéaste rend parfaitement dégueulasse...