Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
C'est intense, violent et étonnamment porteur d'espoir. Une bonne façon de découvrir la vérité d'un pays qu'on a trop souvent tendance à voir par le prisme d'un cinéma artificiel qui en dissimule la brutalité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sans jamais être appuyé, porté par une mise en scène contemplative où la ville apparaît comme un mirage, tenu par l'interprétation toute en nuances de Shashank Arora (Titli) et de Shivani Raghuvanshi (Neelu), le film déploie sa trame avec une incroyable finesse, superposant une intrigue policière à l'intrigue sentimentale et familiale.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Sidy Sakho
Débutant comme un thriller efficace, bifurquant à deux ou trois reprises vers l'horreur pure, "Titli, une chronique indienne" prend progressivement la dimension d'un mélodrame sec à l'issue incertaine.
Critikat.com
par Ophélie Wiel
Le montage sec de la brillante Namrata Rao donne au film le rythme nécessaire, lui évitant tout autant la contemplation que la brutalité gratuite.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au centre du film se trouve un parfait antihéros, le falot Titli, dernier de la fratrie. Quoique sa figure changeante soit un peu floue et l’intrigue fluctuante, la qualité documentaire du film est formidable. Très encourageant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
A un rythme trépidant, ce drame social, puissant, maîtrisé et riche en rebondissements combine brillamment sensibilité à fleur de peau et violence brute.
Positif
par Lorenzo Codelli
Le débutant Kanu Behl analyse de près l'aspiration au succès de son protagoniste. Sashank Arora l'incarne avec ardeur (...). Une méthode de tournage tout à fait néoréaliste, sans script ni faux décors, éloigne "Titli" des danses et chansons bollywoodiennes.
Première
par Gérard Delorme
Même si le personnage principal cherche à évoluer, son nom (qui signifie "Papillon") témoigne de sa fragilité, et le film, par ailleurs très bien écrit et interprété, suggère que rien n’est gagné.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Une chronique sociale palpitante au cœur de l'Inde.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Guillemette Odicino
C'est en observant les femmes, leur courage, leur ingéniosité, leur dévouement que le réalisateur condamne avec le plus de force la société indienne patriarcale : fières et décidées à ne plus se taire, à ne plus être à la merci des hommes, au risque d'être battues comme plâtre, les femmes du film sont magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Eric Libiot
Le film est trop long, il est également très généreux. A choisir, j'ai choisi. Mieux vaut cette ambition-là que des films qui singent le cinéma.
La Croix
par Marie Soyeux
Il reste l'intelligence du scénario, l'authenticité d'acteurs pour la plupart non professionnels (en particulier les principaux, Shashank Arora et la jeune Shivani Raghuvanshi) et d'intéressants emprunts au documentaire - premier amour du réalisateur - donnant à voir une New Delhi fébrile, écartelée entre beaux quartiers et périphéries marginalisées.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Comme son héros, Titli, qui veut échapper au déterminisme familial, le film échappe de justesse au pur diagnostic social par sa virulence satyrique et sa percée vers le polar noir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Pierre Fornerod
Long mais instructif.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
On ne sort pas des canons du réalisme social international, avec caméra portée et récit en forme de parcours du combattant incompris, humilié et roué de coups – une âpreté finalement bien apprêtée.
20 Minutes
C'est intense, violent et étonnamment porteur d'espoir. Une bonne façon de découvrir la vérité d'un pays qu'on a trop souvent tendance à voir par le prisme d'un cinéma artificiel qui en dissimule la brutalité.
Sud Ouest
Sans jamais être appuyé, porté par une mise en scène contemplative où la ville apparaît comme un mirage, tenu par l'interprétation toute en nuances de Shashank Arora (Titli) et de Shivani Raghuvanshi (Neelu), le film déploie sa trame avec une incroyable finesse, superposant une intrigue policière à l'intrigue sentimentale et familiale.
Transfuge
Débutant comme un thriller efficace, bifurquant à deux ou trois reprises vers l'horreur pure, "Titli, une chronique indienne" prend progressivement la dimension d'un mélodrame sec à l'issue incertaine.
Critikat.com
Le montage sec de la brillante Namrata Rao donne au film le rythme nécessaire, lui évitant tout autant la contemplation que la brutalité gratuite.
L'Humanité
Au centre du film se trouve un parfait antihéros, le falot Titli, dernier de la fratrie. Quoique sa figure changeante soit un peu floue et l’intrigue fluctuante, la qualité documentaire du film est formidable. Très encourageant.
Le Journal du Dimanche
A un rythme trépidant, ce drame social, puissant, maîtrisé et riche en rebondissements combine brillamment sensibilité à fleur de peau et violence brute.
Positif
Le débutant Kanu Behl analyse de près l'aspiration au succès de son protagoniste. Sashank Arora l'incarne avec ardeur (...). Une méthode de tournage tout à fait néoréaliste, sans script ni faux décors, éloigne "Titli" des danses et chansons bollywoodiennes.
Première
Même si le personnage principal cherche à évoluer, son nom (qui signifie "Papillon") témoigne de sa fragilité, et le film, par ailleurs très bien écrit et interprété, suggère que rien n’est gagné.
Studio Ciné Live
Une chronique sociale palpitante au cœur de l'Inde.
Télérama
C'est en observant les femmes, leur courage, leur ingéniosité, leur dévouement que le réalisateur condamne avec le plus de force la société indienne patriarcale : fières et décidées à ne plus se taire, à ne plus être à la merci des hommes, au risque d'être battues comme plâtre, les femmes du film sont magnifiques.
L'Express
Le film est trop long, il est également très généreux. A choisir, j'ai choisi. Mieux vaut cette ambition-là que des films qui singent le cinéma.
La Croix
Il reste l'intelligence du scénario, l'authenticité d'acteurs pour la plupart non professionnels (en particulier les principaux, Shashank Arora et la jeune Shivani Raghuvanshi) et d'intéressants emprunts au documentaire - premier amour du réalisateur - donnant à voir une New Delhi fébrile, écartelée entre beaux quartiers et périphéries marginalisées.
Le Monde
Comme son héros, Titli, qui veut échapper au déterminisme familial, le film échappe de justesse au pur diagnostic social par sa virulence satyrique et sa percée vers le polar noir.
Ouest France
Long mais instructif.
Cahiers du Cinéma
On ne sort pas des canons du réalisme social international, avec caméra portée et récit en forme de parcours du combattant incompris, humilié et roué de coups – une âpreté finalement bien apprêtée.