Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Monde
par Sandrine Marques
(...) Keren Yedaya signe une fiction puissante et courageuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Cécile Mury
On retrouve, dans ce film, la réflexion implacable et pessimiste de la cinéaste sur la condition des femmes broyées, leur place dans la famille et dans la société. (...) "Loin de mon père" est une oeuvre de combat encore plus offensive : une dénonciation de l'oppression pure.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
L'Obs
par François Forestier
Si les intentions de ce film de combat sont nobles, le résultat hésite entre documentaire et fiction. Il peine à trouver la bonne distance alors que la cible est claire : faire modifier la loi.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Investie de cette idée, Keren Yedaya livre un film dérangeant, nauséeux, radical.
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Keren Yedaya creuse un peu plus la veine féministe et sociale de “Mon trésor” et “Jaffa”, mais tombe malheureusement, à force d'insistance clinique, dans la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Franck Garbarz
A force de vouloir dénoncer l'insupportable, la cinéaste, qu'on a connue plus inspirée, surligne et réitère les mêmes scènes d'abjection ad nauseam. Gageons qu'elle renouera bientôt avec la force de ses deux premiers longs métrages.
Première
par Eric Vernay
Entre deux moments chocs (...) viennent s’intercaler des plans fixes interminables sur le quotidien déprimant de l’héroïne, par ailleurs boulimique, qui passe son temps à se brosser les dents. Difficile à la longue d’éprouver de l’empathie pour ce "film à message" par trop complaisant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Le plus contre-productif de ce type de cinéma sujet-de-discussion ? Sa tendance à tirer la couverture. On en sort bien en se disant « Quelle horreur… », mais on ne parle plus alors du réel, mais seulement du film.
Critikat.com
par Ariane Beauvillard
Dans la première heure de ce film qui semble plus prompt à montrer la souffrance brute qu’à la définir, il faut bien avouer que rien ne nous est épargné.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une dénonciation signée Keren Yedaya. Mais dans la complaisance appuyée.
TF1 News
par Romain Le Vern
Keren Yedaya enchaîne complaisamment des scènes équivoques dont on ne sait si elles jouent sur le voyeurisme, la compassion, l'ambiguïté, le sensationnalisme, tout en nous laissant nous débrouiller avec elles.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le Monde
(...) Keren Yedaya signe une fiction puissante et courageuse.
Télérama
On retrouve, dans ce film, la réflexion implacable et pessimiste de la cinéaste sur la condition des femmes broyées, leur place dans la famille et dans la société. (...) "Loin de mon père" est une oeuvre de combat encore plus offensive : une dénonciation de l'oppression pure.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
L'Obs
Si les intentions de ce film de combat sont nobles, le résultat hésite entre documentaire et fiction. Il peine à trouver la bonne distance alors que la cible est claire : faire modifier la loi.
Le Journal du Dimanche
Investie de cette idée, Keren Yedaya livre un film dérangeant, nauséeux, radical.
Les Fiches du Cinéma
Keren Yedaya creuse un peu plus la veine féministe et sociale de “Mon trésor” et “Jaffa”, mais tombe malheureusement, à force d'insistance clinique, dans la complaisance.
Positif
A force de vouloir dénoncer l'insupportable, la cinéaste, qu'on a connue plus inspirée, surligne et réitère les mêmes scènes d'abjection ad nauseam. Gageons qu'elle renouera bientôt avec la force de ses deux premiers longs métrages.
Première
Entre deux moments chocs (...) viennent s’intercaler des plans fixes interminables sur le quotidien déprimant de l’héroïne, par ailleurs boulimique, qui passe son temps à se brosser les dents. Difficile à la longue d’éprouver de l’empathie pour ce "film à message" par trop complaisant.
Cahiers du Cinéma
Le plus contre-productif de ce type de cinéma sujet-de-discussion ? Sa tendance à tirer la couverture. On en sort bien en se disant « Quelle horreur… », mais on ne parle plus alors du réel, mais seulement du film.
Critikat.com
Dans la première heure de ce film qui semble plus prompt à montrer la souffrance brute qu’à la définir, il faut bien avouer que rien ne nous est épargné.
Ouest France
Une dénonciation signée Keren Yedaya. Mais dans la complaisance appuyée.
TF1 News
Keren Yedaya enchaîne complaisamment des scènes équivoques dont on ne sait si elles jouent sur le voyeurisme, la compassion, l'ambiguïté, le sensationnalisme, tout en nous laissant nous débrouiller avec elles.