Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans cette œuvre aride et visuellement éblouissante, c'est un dépaysement total qui est proposé au spectateur (...). Exigeant et fascinant, "Jauja" (littéralement «pays de Cocagne») se révèle une surprenante expérience sensorielle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
C’est bien au bout de son idée qu’est allé Lisandro Alonso, avec cette audace et cette liberté rares aujourd’hui qui nous font redécouvrir la délicieuse sensation de se sentir perdu.
Chronic'art.com
par Guillaume Orignac
C’est en frottant le silex du plus pur artifice contre la pierre du réel qu’Alonso allume sa fiction.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
En dépeignant la quête d'un homme égaré dans l'immensité désertique, Lisandro Alonso élève le western à la méditation d'ordre cosmique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Outre sa réussite plastique, le film doit beaucoup à son minimalisme narratif. Priorité au plan-séquence pour un récit qui s’enfonce dans l’onirisme, aboutissant à une coda surprenante où, tel Kubrick jadis, Alonso opte pour un étrange saut spatio-temporel. Le film le plus audacieux du mois.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Julien Gester
On avait sans doute eu tort de voir trop vite en Lisandro Alonso seulement le rejeton au maniérisme inquiet d’un cinéma d’ethnofiction alors même que "Jauja" est là pour démontrer superbement combien il porte en lui aussi le tempérament d’un Raúl Ruiz ou d’un David Lynch des grands espaces.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TF1 News
par Romain Le Vern
Un film somptueux qui, littéralement, défie l'espace et le temps.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un récit somnambulique , certes aride mais dont on garde en tête pour longtemps les images primitives.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Josué Morel
Sous son apparente radicalité, et c’est ce qui fait de "Jauja" un si beau film, le récit se révèle tout entier dédié au partage d’une émotion limpide : la mélancolie d’être au monde et d’errer à la recherche d’un ailleurs à jamais insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ce sixième opus, le réalisateur l’a coécrit avec Fabian Casas, romancier et essayiste argentin. De cette union, naît une œuvre hybride, genre "Prisonnière du désert" revue et corrigée par un auteur de la trempe de Miguel Gomes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un post-western onirique et laconique au pays des Mapuche.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Entre western, film d’aventure et film d’époque, étonne autant qu’il subjugue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
(...) la limpidité du récit, peu expansif en dialogues, ne souffre aucun défaut, l’image est littéralement splendide et le scénario brasse une matière romanesque d’une ampleur à laquelle le cinéaste argentin ne s’était encore jamais mesuré.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eric Derobert
Un rythme lent se doit d'être nourri : ce qui manquait jusque-là au cinéma engourdi de Lisandra Alonso se dessine avec Jauja. (...) Avec des plans frontaux qui laissent beaucoup de volume aux personnages, et une caméra distante qui, souvent, embrasse toute l'action, le montage peut se réduire au stricte nécessaire.
Première
par Gérard Delorme
Loin de dérouter, cet épilogue surréaliste constitue un point d’orgue enthousiasmant qui donne un sens inattendu à cette quête aux confins de l’espace et du temps.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Pas de musique, mais le souffle de la respiration, les bottes qui dérapent sur les cailloux, et le vent, toujours, qui trouble le silence. La poésie est au prix de cette manière forte, laquelle offre des plans d'une beauté rare.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Time Out Paris
par Alexandre Prouvèze
En retournant aux origines d’un cinéma archaïque, Lisandro Alonso tend à offrir à son médium des lignes de fuite minimales mais d’une rare beauté visuelle.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
Transfuge
par Louis Séguin
Evitant (...) de ne signer q'un beau film ronflant Lisandro Alonso élève "Jauja" à la hauteur des beaux spécimens d'un genre psychédélique (le film trip), dont toute la démesure aurait été élaguée pour n'en garder que l'essence : un paysage désertique mais hallucinatoire.
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
Déroutant par son scénario abscons et par son caractère résolument contemplatif, "Jauja" (...) se distingue d’emblée comme un long-métrage alliant dépouillement de la mise en scène et onirisme surréaliste pour une expérience de cinéma singulière.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Si vous aimez les cailloux, le dépaysement et Viggo Mortensen, alors Jauja est fait pour vous.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec un sens du cadrage et de la lumière exceptionnel, le réalisateur place ses personnages dans des décors trop vastes pour eux. (...) Aride et avare de dialogues, "Jauja" montre longuement les déambulations de Dinesen, toujours plus ébranlé et déterminé - au risque de lasser le spectateur qui pourra être déconcerté par une double fin énigmatique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télérama
par Jacques Morice
Son film est rude, monotone, inhospitalier, mais pour peu qu'on soit patient, au moins deux rebondissements stupéfiants nous font soudain basculer dans un autre monde, dont l'un rappelle le théâtre d'Ibsen.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par Pierre Fornerod
La nature est belle, et le fond léger dans cette virée de Lisandro Alonso.
L'Express
par Sandra Benedetti
Longue errance méditative de Viggo Mortensen dans la pampa, dialogues rares et personnages abscons dans une mise en scène hypnotique. Bizarre.
L'Obs
par Nicolas Schaller
"Jauja" est un de ces films dont on aimerait apprécier le mystère, mais qui font tout, mais alors tout, pour nous en éloigner. (...). Lisandro Alonso est un auteur et il tient à le prouver. De "la prisonnière du désert", il n'a retenu que le désert.
20 Minutes
Dans cette œuvre aride et visuellement éblouissante, c'est un dépaysement total qui est proposé au spectateur (...). Exigeant et fascinant, "Jauja" (littéralement «pays de Cocagne») se révèle une surprenante expérience sensorielle.
Cahiers du Cinéma
C’est bien au bout de son idée qu’est allé Lisandro Alonso, avec cette audace et cette liberté rares aujourd’hui qui nous font redécouvrir la délicieuse sensation de se sentir perdu.
Chronic'art.com
C’est en frottant le silex du plus pur artifice contre la pierre du réel qu’Alonso allume sa fiction.
Culturopoing.com
En dépeignant la quête d'un homme égaré dans l'immensité désertique, Lisandro Alonso élève le western à la méditation d'ordre cosmique.
L'Humanité
Outre sa réussite plastique, le film doit beaucoup à son minimalisme narratif. Priorité au plan-séquence pour un récit qui s’enfonce dans l’onirisme, aboutissant à une coda surprenante où, tel Kubrick jadis, Alonso opte pour un étrange saut spatio-temporel. Le film le plus audacieux du mois.
Libération
On avait sans doute eu tort de voir trop vite en Lisandro Alonso seulement le rejeton au maniérisme inquiet d’un cinéma d’ethnofiction alors même que "Jauja" est là pour démontrer superbement combien il porte en lui aussi le tempérament d’un Raúl Ruiz ou d’un David Lynch des grands espaces.
TF1 News
Un film somptueux qui, littéralement, défie l'espace et le temps.
CinemaTeaser
Un récit somnambulique , certes aride mais dont on garde en tête pour longtemps les images primitives.
Critikat.com
Sous son apparente radicalité, et c’est ce qui fait de "Jauja" un si beau film, le récit se révèle tout entier dédié au partage d’une émotion limpide : la mélancolie d’être au monde et d’errer à la recherche d’un ailleurs à jamais insaisissable.
La Voix du Nord
Ce sixième opus, le réalisateur l’a coécrit avec Fabian Casas, romancier et essayiste argentin. De cette union, naît une œuvre hybride, genre "Prisonnière du désert" revue et corrigée par un auteur de la trempe de Miguel Gomes.
Le Monde
Un post-western onirique et laconique au pays des Mapuche.
Les Inrockuptibles
Entre western, film d’aventure et film d’époque, étonne autant qu’il subjugue.
Libération
(...) la limpidité du récit, peu expansif en dialogues, ne souffre aucun défaut, l’image est littéralement splendide et le scénario brasse une matière romanesque d’une ampleur à laquelle le cinéaste argentin ne s’était encore jamais mesuré.
Positif
Un rythme lent se doit d'être nourri : ce qui manquait jusque-là au cinéma engourdi de Lisandra Alonso se dessine avec Jauja. (...) Avec des plans frontaux qui laissent beaucoup de volume aux personnages, et une caméra distante qui, souvent, embrasse toute l'action, le montage peut se réduire au stricte nécessaire.
Première
Loin de dérouter, cet épilogue surréaliste constitue un point d’orgue enthousiasmant qui donne un sens inattendu à cette quête aux confins de l’espace et du temps.
Sud Ouest
Pas de musique, mais le souffle de la respiration, les bottes qui dérapent sur les cailloux, et le vent, toujours, qui trouble le silence. La poésie est au prix de cette manière forte, laquelle offre des plans d'une beauté rare.
Time Out Paris
En retournant aux origines d’un cinéma archaïque, Lisandro Alonso tend à offrir à son médium des lignes de fuite minimales mais d’une rare beauté visuelle.
Transfuge
Evitant (...) de ne signer q'un beau film ronflant Lisandro Alonso élève "Jauja" à la hauteur des beaux spécimens d'un genre psychédélique (le film trip), dont toute la démesure aurait été élaguée pour n'en garder que l'essence : un paysage désertique mais hallucinatoire.
aVoir-aLire.com
Déroutant par son scénario abscons et par son caractère résolument contemplatif, "Jauja" (...) se distingue d’emblée comme un long-métrage alliant dépouillement de la mise en scène et onirisme surréaliste pour une expérience de cinéma singulière.
Ecran Large
Si vous aimez les cailloux, le dépaysement et Viggo Mortensen, alors Jauja est fait pour vous.
La Croix
Avec un sens du cadrage et de la lumière exceptionnel, le réalisateur place ses personnages dans des décors trop vastes pour eux. (...) Aride et avare de dialogues, "Jauja" montre longuement les déambulations de Dinesen, toujours plus ébranlé et déterminé - au risque de lasser le spectateur qui pourra être déconcerté par une double fin énigmatique.
Télérama
Son film est rude, monotone, inhospitalier, mais pour peu qu'on soit patient, au moins deux rebondissements stupéfiants nous font soudain basculer dans un autre monde, dont l'un rappelle le théâtre d'Ibsen.
Ouest France
La nature est belle, et le fond léger dans cette virée de Lisandro Alonso.
L'Express
Longue errance méditative de Viggo Mortensen dans la pampa, dialogues rares et personnages abscons dans une mise en scène hypnotique. Bizarre.
L'Obs
"Jauja" est un de ces films dont on aimerait apprécier le mystère, mais qui font tout, mais alors tout, pour nous en éloigner. (...). Lisandro Alonso est un auteur et il tient à le prouver. De "la prisonnière du désert", il n'a retenu que le désert.