Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Pour son premier long-métrage, Andrew Hulme signe un choc sur la quête de rédemption, portée par l’interprétation saisissante d’un acteur débutant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette chronique sans concession fait monter la pression autour de ce jeune homme pris dans une nasse dont il va voir bien du mal à se dépêtrer. Son calvaire filmé sans chichi révèle ce comédien au charme naturel dont on n'a pas fini d'entendre parler.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par La Rédaction
Dans ses émotions et dans son parcours spirituel, "Snow in Paradise" est d'une dignité et d'une maîtrise remarquables.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une belle performance d'acteur, à l'intensité parfois insoutenable.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une profonde tristesse habite film, très atmosphérique, avec ses lumières éteintes, ses grisailles, ses nuits… S’inscrivant dans la thématique sociale, qui va si bien au cinéma britannique, "Snow in Paradise" touche juste en traduisant sans pathos ni lyrisme ce qui s’avère avant tout une étude de caractère réaliste.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film dont le sujet tombe à point.
Le Parisien
par Hubert Lizé
Mise en scène nerveuse, et des personnages typés London bad boys moins monolithiques qu'il n'y paraît. Mais le vrai point fort du film, c'est son acteur principal, Frederick Schmidt, beau gosse athlétique (...).
Positif
par Ariane Allard
Film de gangsters, pamphlet social, récit initiatique: le long métrage d'Andrew Hulme présente tous les symptômes de la première fois. Cette première fois reste prometteuse. L'acteur principal, Frederick Schmidt (...) est sidérant.
Première
par Gaël Golhen
Ascension et chute d’un petit caïd : vu mille fois, mais Andrew Hulme mixe là film noir et pamphlet social avec efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Andrew Hulme a mis son expérience de monteur au profit de ce film noir social qui, sans faire abstraction des conventions, doit beaucoup à l'énergie de sa mise en scène et à l'intensité de ses comédiens. Frederick Schmidt, révélation comparable à Tahar Rahim dans Un Prophète de Jacques Audiard.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
L'Ecran Fantastique
par Jef Costello
Ce chemin de croix d'un jeune voyou ne manque pas d'intérêt mais est, hélas, alourdi par une mise en scène peu imaginative et s'éparpille en empruntant des pistes thématiques peu convaincantes.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Les scènes d'action sont d'une efficacité certaine et l'interprétation est digne d'éloges.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) on connaît déjà cette histoire de rédemption dont la mise en scène coup de poing évoque celle d’un Nicolas Winding Refn époque "Pusher". Reste l’ambiance ultraréaliste, à la limite du documentaire, qui garantit une immersion totale.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Transposer le scénario scorsesien de la croix vers le croissant, il y a là une belle idée, que Hulme n'accomplit hélas qu'imparfaitement, n'ayant ni l'humour, ni la légèreté d'exécution du maître italo-américain pour contrebalancer sa bigoterie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clémentine Gallot
Avec son héros empêché, réduit au purgatoire, ce dernier fait preuve d’une salutaire sobriété, préférant distiller son fiel en sourdine, à bonne distance des rodomontades tapageuses d’un Guy Ritchie qui a longtemps régné en maître sur le sacro-saint film de gangsters à l’accent cockney.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
par Clément Graminiès
Tous les ingrédients sont savamment réunis pour donner au film une identité se voulant originale alors qu’il emprunte surtout aux codes rebattus du polar social qui ne choisit jamais entre une esthétique documentaire et une stylisation excessive.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Samuel Douhaire
Première réalisation du monteur chevronné Andrew Hulme : mise en scène tape-à-l'oeil et bande-son anxiogène pénible. Débuts prometteurs, en revanche, pour Frederick Schmidt, bluffant dans le rôle du jeune truand déboussolé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
Pour son premier long-métrage, Andrew Hulme signe un choc sur la quête de rédemption, portée par l’interprétation saisissante d’un acteur débutant.
20 Minutes
Cette chronique sans concession fait monter la pression autour de ce jeune homme pris dans une nasse dont il va voir bien du mal à se dépêtrer. Son calvaire filmé sans chichi révèle ce comédien au charme naturel dont on n'a pas fini d'entendre parler.
CinemaTeaser
Dans ses émotions et dans son parcours spirituel, "Snow in Paradise" est d'une dignité et d'une maîtrise remarquables.
Femme Actuelle
Une belle performance d'acteur, à l'intensité parfois insoutenable.
Franceinfo Culture
Une profonde tristesse habite film, très atmosphérique, avec ses lumières éteintes, ses grisailles, ses nuits… S’inscrivant dans la thématique sociale, qui va si bien au cinéma britannique, "Snow in Paradise" touche juste en traduisant sans pathos ni lyrisme ce qui s’avère avant tout une étude de caractère réaliste.
Le Dauphiné Libéré
Un film dont le sujet tombe à point.
Le Parisien
Mise en scène nerveuse, et des personnages typés London bad boys moins monolithiques qu'il n'y paraît. Mais le vrai point fort du film, c'est son acteur principal, Frederick Schmidt, beau gosse athlétique (...).
Positif
Film de gangsters, pamphlet social, récit initiatique: le long métrage d'Andrew Hulme présente tous les symptômes de la première fois. Cette première fois reste prometteuse. L'acteur principal, Frederick Schmidt (...) est sidérant.
Première
Ascension et chute d’un petit caïd : vu mille fois, mais Andrew Hulme mixe là film noir et pamphlet social avec efficacité.
TF1 News
Andrew Hulme a mis son expérience de monteur au profit de ce film noir social qui, sans faire abstraction des conventions, doit beaucoup à l'énergie de sa mise en scène et à l'intensité de ses comédiens. Frederick Schmidt, révélation comparable à Tahar Rahim dans Un Prophète de Jacques Audiard.
L'Ecran Fantastique
Ce chemin de croix d'un jeune voyou ne manque pas d'intérêt mais est, hélas, alourdi par une mise en scène peu imaginative et s'éparpille en empruntant des pistes thématiques peu convaincantes.
L'Obs
Les scènes d'action sont d'une efficacité certaine et l'interprétation est digne d'éloges.
Le Journal du Dimanche
(...) on connaît déjà cette histoire de rédemption dont la mise en scène coup de poing évoque celle d’un Nicolas Winding Refn époque "Pusher". Reste l’ambiance ultraréaliste, à la limite du documentaire, qui garantit une immersion totale.
Les Inrockuptibles
Transposer le scénario scorsesien de la croix vers le croissant, il y a là une belle idée, que Hulme n'accomplit hélas qu'imparfaitement, n'ayant ni l'humour, ni la légèreté d'exécution du maître italo-américain pour contrebalancer sa bigoterie.
Libération
Avec son héros empêché, réduit au purgatoire, ce dernier fait preuve d’une salutaire sobriété, préférant distiller son fiel en sourdine, à bonne distance des rodomontades tapageuses d’un Guy Ritchie qui a longtemps régné en maître sur le sacro-saint film de gangsters à l’accent cockney.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
Tous les ingrédients sont savamment réunis pour donner au film une identité se voulant originale alors qu’il emprunte surtout aux codes rebattus du polar social qui ne choisit jamais entre une esthétique documentaire et une stylisation excessive.
Télérama
Première réalisation du monteur chevronné Andrew Hulme : mise en scène tape-à-l'oeil et bande-son anxiogène pénible. Débuts prometteurs, en revanche, pour Frederick Schmidt, bluffant dans le rôle du jeune truand déboussolé.