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Les points de vue s'entremêlent, les plans se chevauchent, les effets se succèdent, mais dans ce chaos d'images, une grammaire filmique émerge, à la fois dense et précise.
(...) Un journal puissant à deux voix, harmonisé de manière très fine — entre les « cling » des mails reçus et le lamento envoûtant de la diva Noma Omran.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les images reconduisent une forme d’imaginaire du chaos qui pousse "Eau argentée" vers le lamento et l’élégie (notamment à travers la dimension musicale du film) et la représentation d’une tragédie universelle.
Balançant sans cesse entre des contraires - objectivité / subjectivité, horreur / beauté, “je” / “nous”... -, ce film creuse le fait historique jusqu'à l'expérience intime.
Du magma d’images extirpées des entrailles de YouTube documentant la chronologie désastreuse des événements qui vont conduire le pays au fond du gouffre, les cinéastes composent une œuvre de décombres à la fois terrifiante et grandiose.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Malgré l'horreur, malgré l'indignation (...), malgré les cadavres alignés (...) une lueur d'espoir, ténue et vacillante, qu'un peuple mis à genoux puisse de nouveau se tenir debout subsiste avec ce très beau film.
La vie qui se fraie un chemin dans un pays en ruine, émeut beaucoup plus que dans ces quelques plans que la violence insupportable de l’amoncèlement de cadavres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
Les points de vue s'entremêlent, les plans se chevauchent, les effets se succèdent, mais dans ce chaos d'images, une grammaire filmique émerge, à la fois dense et précise.
Le Journal du Dimanche
Un miracle sorti du chaos, du sang et de la terreur qui donne naissance à un nouveau cinéma.
Le Monde
(...) "Eau argentée" un insolite chef-d'oeuvre, réalisé avec des images trouvées plutôt que filmées par le cinéaste.
TF1 News
(...) un documentaire exceptionnel radiographiant l'horreur de Homs assiégé et célébrant, aussi, l'art comme force transcendante.
Télérama
(...) Un journal puissant à deux voix, harmonisé de manière très fine — entre les « cling » des mails reçus et le lamento envoûtant de la diva Noma Omran.
Cahiers du Cinéma
Les images reconduisent une forme d’imaginaire du chaos qui pousse "Eau argentée" vers le lamento et l’élégie (notamment à travers la dimension musicale du film) et la représentation d’une tragédie universelle.
La Croix
Ce documentaire extrêmement éprouvant, partiellement tourné dans Homs assiégé, est un tragique poème filmique.
Les Fiches du Cinéma
Balançant sans cesse entre des contraires - objectivité / subjectivité, horreur / beauté, “je” / “nous”... -, ce film creuse le fait historique jusqu'à l'expérience intime.
Les Inrockuptibles
Ce film est à la fois une caresse et un violent coup de latte au plexus. Il réunit le pire et le meilleur de l’humanité.
Libération
Du magma d’images extirpées des entrailles de YouTube documentant la chronologie désastreuse des événements qui vont conduire le pays au fond du gouffre, les cinéastes composent une œuvre de décombres à la fois terrifiante et grandiose.
Positif
Malgré l'horreur, malgré l'indignation (...), malgré les cadavres alignés (...) une lueur d'espoir, ténue et vacillante, qu'un peuple mis à genoux puisse de nouveau se tenir debout subsiste avec ce très beau film.
Première
Devenant par écrans interposés un bouleversant chant de mort et d'amour, cette oeuvre collective brille jusqu'à un poignant épilogue (...).
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
La vie qui se fraie un chemin dans un pays en ruine, émeut beaucoup plus que dans ces quelques plans que la violence insupportable de l’amoncèlement de cadavres.