Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Femme Actuelle
par Cathy Bernheim
Très belle reconstitution d'un destin trop bref.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Cette seconde adaptation du roman d'Albertine Sarrazin, magnifiée par un noir et blanc inspiré (...), est à la fois éminemment stylisée dans sa forme rétro et d'une revigorante modernité (...). Leïla Bekhti prouve enfin qu'elle est bien l'espoir qu'on attendait. Son meilleur rôle, haut la main.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Le film enchante par sa liberté de ton et de narration. Il ne s'embarasse pas de l'explication des actions et des sentiments : il les accueille, les condense, avant de les disperser au vent du récit. Comme si de rien n'était...
20 Minutes
par Caroline Vié
Plus fidèle que l'adaptation de 1969 de Guy Casaril avec Marlène Jobert dans le rôle principal, cette chronique d'une passion offre des rôles en or à un couple d'excellents comédiens: Leïla Bekhti et Reda Kated.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
La petite musique entêtante du roman d’Albertine Sarrazin retrouvée dans un film subtilement réalisé.
Le Journal du Dimanche
par Olivier De Bruyn
"L'Astragale", contrairement à tant d'adaptations littéraires, fuit le confort de l'académisme et privilégie un intimisme brûlant. Brigitte Sy (...) met en scène avec intensité et pudeur l'itinéraire de cette héroïne enragée.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Cette adaptation du succès autobiographique d'Albertine Sarrazin, en a le charme vénéneux, qu'intensifient encore la magie d'un cadrage travaillé, la sobriété du dispositif et une interprétation lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Luc Chessel
Nimbé d'un beau noir et blanc pré-Nouvelle Vague, un film aux vibrations pourtant très contemporaines.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Isabelle Danel
Dans un noir et blanc élégant, sublimant la reconstitution d’époque, le film révèle une étonnante modernité. (...) Quant au couple Leïla Bekhti-Reda Kateb, tous deux excellents, il est aussi évident qu’électrique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Un film fragile, donc forcément émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Clément Graminiès
En confiant le rôle principal à Leïla Bekhti, à la fois aérienne et habitée sans excès, la réalisatrice a finalement réussi le pari d’offrir à Albertine Sarrazin un visage qui ne s’encombre pas des exercices de mimétisme pour toucher au plus près de l’incarnation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Le choix du noir et blanc pour l'image permet une belle économie de moyens dans la reconstitution de la fin des années 50. Et le ton adopté, à la fois âpre et poétique, remue autant qu'il émeut. Et puis il y a Reda Kateb. Rien que pour lui...
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
C’est sur la « rencontre miraculeuse d’Albertine et de Julien, intensifiée par leurs empêchements à rester ensemble », que Brigitte Sy concentre son récit. Son film à la belle image en noir et blanc se révèle âpre par les épreuves traversées, les tourments répétés des séparations.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ouest France
par Pierre Fornerod
Le résultat n'est pas d'une folle et évidente nécessité. Mais il y a le beau couple que forment Leïla Bekhti et Reda Kateb.
Télérama
par Jacques Morice
Brigitte Sy fait mieux que Guy Casaril, qui avait signé une première version un peu mièvre.(...) Mais son portrait de femme libre, bravant le danger et la morale, est peut-être un peu trop tendre pour être totalement enthousiasmant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Malgré l’épure des plans, il reste comme une volonté de se raccrocher à l’histoire vraie, d’aligner les silhouettes du film avec celles de la photo-preuve qui orne le générique. (…) Il n’y a pas de pire ennemi à un regard sensible que la prudence d’un scénario.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"L'Astragale" avait un parfum de soufre mais cette subversion n’émane guère de l’approche de Brigitte Sy, pour beaucoup en raison de son formalisme et d'un rythme peu soutenu.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On reste assez loin de la brûlure du roman.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Clémentine Gallot
De cette matière puissamment romanesque - du pain bénit, pourtant - se déploie timidement une reconstitution noir et blanc figurant l’époque de la guerre d’Algérie - jamais évoquée -, qui finit par s’éteindre sans panache sur un carton quand son sujet même appelait une forme moins contrainte.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
L’élégante reconstitution d’époque d’un Paris oublié, la mise en scène d’un milieu de petites frappes, l’évocation de la Guerre d’Algérie, confèrent à la production un raffinement délicat. On s’éprend de l’idée du film plus que de lui même. Tout le monde aime les histoires d’amour.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
Très belle reconstitution d'un destin trop bref.
Paris Match
Cette seconde adaptation du roman d'Albertine Sarrazin, magnifiée par un noir et blanc inspiré (...), est à la fois éminemment stylisée dans sa forme rétro et d'une revigorante modernité (...). Leïla Bekhti prouve enfin qu'elle est bien l'espoir qu'on attendait. Son meilleur rôle, haut la main.
Positif
Le film enchante par sa liberté de ton et de narration. Il ne s'embarasse pas de l'explication des actions et des sentiments : il les accueille, les condense, avant de les disperser au vent du récit. Comme si de rien n'était...
20 Minutes
Plus fidèle que l'adaptation de 1969 de Guy Casaril avec Marlène Jobert dans le rôle principal, cette chronique d'une passion offre des rôles en or à un couple d'excellents comédiens: Leïla Bekhti et Reda Kated.
Le Dauphiné Libéré
La petite musique entêtante du roman d’Albertine Sarrazin retrouvée dans un film subtilement réalisé.
Le Journal du Dimanche
"L'Astragale", contrairement à tant d'adaptations littéraires, fuit le confort de l'académisme et privilégie un intimisme brûlant. Brigitte Sy (...) met en scène avec intensité et pudeur l'itinéraire de cette héroïne enragée.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation du succès autobiographique d'Albertine Sarrazin, en a le charme vénéneux, qu'intensifient encore la magie d'un cadrage travaillé, la sobriété du dispositif et une interprétation lumineuse.
Les Inrockuptibles
Nimbé d'un beau noir et blanc pré-Nouvelle Vague, un film aux vibrations pourtant très contemporaines.
Première
Dans un noir et blanc élégant, sublimant la reconstitution d’époque, le film révèle une étonnante modernité. (...) Quant au couple Leïla Bekhti-Reda Kateb, tous deux excellents, il est aussi évident qu’électrique.
Studio Ciné Live
Un film fragile, donc forcément émouvant.
Critikat.com
En confiant le rôle principal à Leïla Bekhti, à la fois aérienne et habitée sans excès, la réalisatrice a finalement réussi le pari d’offrir à Albertine Sarrazin un visage qui ne s’encombre pas des exercices de mimétisme pour toucher au plus près de l’incarnation.
L'Express
Le choix du noir et blanc pour l'image permet une belle économie de moyens dans la reconstitution de la fin des années 50. Et le ton adopté, à la fois âpre et poétique, remue autant qu'il émeut. Et puis il y a Reda Kateb. Rien que pour lui...
La Croix
C’est sur la « rencontre miraculeuse d’Albertine et de Julien, intensifiée par leurs empêchements à rester ensemble », que Brigitte Sy concentre son récit. Son film à la belle image en noir et blanc se révèle âpre par les épreuves traversées, les tourments répétés des séparations.
Ouest France
Le résultat n'est pas d'une folle et évidente nécessité. Mais il y a le beau couple que forment Leïla Bekhti et Reda Kateb.
Télérama
Brigitte Sy fait mieux que Guy Casaril, qui avait signé une première version un peu mièvre.(...) Mais son portrait de femme libre, bravant le danger et la morale, est peut-être un peu trop tendre pour être totalement enthousiasmant.
Cahiers du Cinéma
Malgré l’épure des plans, il reste comme une volonté de se raccrocher à l’histoire vraie, d’aligner les silhouettes du film avec celles de la photo-preuve qui orne le générique. (…) Il n’y a pas de pire ennemi à un regard sensible que la prudence d’un scénario.
Franceinfo Culture
"L'Astragale" avait un parfum de soufre mais cette subversion n’émane guère de l’approche de Brigitte Sy, pour beaucoup en raison de son formalisme et d'un rythme peu soutenu.
Le Monde
On reste assez loin de la brûlure du roman.
Libération
De cette matière puissamment romanesque - du pain bénit, pourtant - se déploie timidement une reconstitution noir et blanc figurant l’époque de la guerre d’Algérie - jamais évoquée -, qui finit par s’éteindre sans panache sur un carton quand son sujet même appelait une forme moins contrainte.
aVoir-aLire.com
L’élégante reconstitution d’époque d’un Paris oublié, la mise en scène d’un milieu de petites frappes, l’évocation de la Guerre d’Algérie, confèrent à la production un raffinement délicat. On s’éprend de l’idée du film plus que de lui même. Tout le monde aime les histoires d’amour.