Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les rapports entre ces personnages que les circonstances contraignent à cohabiter sont passés au crible par un cinéaste qui mêle intelligemment étude de mœurs et conte moral. On sort de la projection avec l'impression d'avoir assisté à une belle démonstration de lutte des classes tout en ayant débusqué un nouveau talent.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Libération
par Clément Ghys
La subtilité avec laquelle Lolli pose sa caméra sur ses personnages n’est jamais synonyme de mièvrerie. Au contraire, elle laisse le champ très libre à la violence diffuse des rapports sociaux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Eva Markovits
Conte moral – le récit se déroule au moment de Noël – plus que simple chronique de vie, Franco Lolli pose un regard doux mais implacable sur la relation qui se tisse entre les trois personnages et c’est finalement le récit intimiste sur les rapports de filiation qui prend le pas sur la dimension sociale du film (bien que tout cela soit au fond inextricablement lié). C’est alors qu’il nous touche le plus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Isabelle Giordano
Les retrouvailles et la relation naissante entre un père et son fils de 10 ans qui se connaissent peu et ne s'attendaient pas à devoir vivre ensemble. Un film frais, venu de Colombie, et sélectionné par la Semaine de la critique a Cannes.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Film réaliste et naturaliste, au plus près d'une certaine vérité sociale, sans effet particulier de mise en scène "Gente de bien" bénéficie d'une distribution idéale.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Danièle Attali
À la fois conte social et moral, "Gente de bien" avance à petits pas, entraînant le spectateur entre doc et fiction et proposant une réflexion salutaire sur le bien qu’on s’autorise à prodiguer à autrui.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Sandrine Marques
La capitale colombienne, qui est aussi sa ville natale (celle du réalisateur Franco Lolli), offre un décor bruissant et contrasté à un récit de filiation, doublé d’une étude sociale acide. (...) Franco Lolli aurait pu se borner à l’histoire d’un apprivoisement mutuel. Mais il déborde ce cadre et élargit son faisceau au politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Yann Tobin
L'émotion naît du non-dit, l'environnement est filmé avec une précision documentaire, et les trois acteurs sont dirigés avec une discrète expertise.
Première
par Christophe Narbonne
La force du film repose surtout sur les rapports ambigus qui s’instaurent avec cette mère de substitution décidée à imposer à ses propres enfants la présence de ces indésirables.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Petit film très juste et touchant, proche du néoréalisme dans son humanisme, possédant l'essentiel : la spontanéité de comédiens qui, merci, ne surjouent jamais et l'élégance de regard, de cœur.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Frédéric Strauss
La peinture sociale est forte, confrontant avec franchise le monde des pauvres à celui des riches. De même, le thème chrétien de la charité est abordé sous un angle critique, inattendu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
S’éloignant dans ses meilleurs moments de la copie appliquée de ses modèles, Gente de Bien trace alors sa voie entre un naturalisme colombien et un catholicisme latent, qui dévoile son visage dans un beau finale sacrificiel et expiatoire.
L'Obs
par Pascal Mérigaud
Le nom de Franco Lolli est à retenir.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une chronique de l’enfance, replacée judicieusement dans un cadre social, dont le ton un peu emphatique n’altère pas la fraîcheur.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"Gente de Bien" est une oeuvre subtile sur la condition des hommes et, plus que leurs racines sociales, leur attachement filial.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le premier film de Franco Lolli nous est resté en mémoire et s’est même grandement bonifié avec le temps. Grâce, sans doute, à une habile écriture des disparités sociales, qui s’incarne puissamment sur le visage dur et renfrogné de son jeune acteur, et fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Les rapports entre ces personnages que les circonstances contraignent à cohabiter sont passés au crible par un cinéaste qui mêle intelligemment étude de mœurs et conte moral. On sort de la projection avec l'impression d'avoir assisté à une belle démonstration de lutte des classes tout en ayant débusqué un nouveau talent.
Libération
La subtilité avec laquelle Lolli pose sa caméra sur ses personnages n’est jamais synonyme de mièvrerie. Au contraire, elle laisse le champ très libre à la violence diffuse des rapports sociaux.
Critikat.com
Conte moral – le récit se déroule au moment de Noël – plus que simple chronique de vie, Franco Lolli pose un regard doux mais implacable sur la relation qui se tisse entre les trois personnages et c’est finalement le récit intimiste sur les rapports de filiation qui prend le pas sur la dimension sociale du film (bien que tout cela soit au fond inextricablement lié). C’est alors qu’il nous touche le plus.
Femme Actuelle
Les retrouvailles et la relation naissante entre un père et son fils de 10 ans qui se connaissent peu et ne s'attendaient pas à devoir vivre ensemble. Un film frais, venu de Colombie, et sélectionné par la Semaine de la critique a Cannes.
La Croix
Film réaliste et naturaliste, au plus près d'une certaine vérité sociale, sans effet particulier de mise en scène "Gente de bien" bénéficie d'une distribution idéale.
Le Journal du Dimanche
À la fois conte social et moral, "Gente de bien" avance à petits pas, entraînant le spectateur entre doc et fiction et proposant une réflexion salutaire sur le bien qu’on s’autorise à prodiguer à autrui.
Le Monde
La capitale colombienne, qui est aussi sa ville natale (celle du réalisateur Franco Lolli), offre un décor bruissant et contrasté à un récit de filiation, doublé d’une étude sociale acide. (...) Franco Lolli aurait pu se borner à l’histoire d’un apprivoisement mutuel. Mais il déborde ce cadre et élargit son faisceau au politique.
Positif
L'émotion naît du non-dit, l'environnement est filmé avec une précision documentaire, et les trois acteurs sont dirigés avec une discrète expertise.
Première
La force du film repose surtout sur les rapports ambigus qui s’instaurent avec cette mère de substitution décidée à imposer à ses propres enfants la présence de ces indésirables.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Petit film très juste et touchant, proche du néoréalisme dans son humanisme, possédant l'essentiel : la spontanéité de comédiens qui, merci, ne surjouent jamais et l'élégance de regard, de cœur.
Télérama
La peinture sociale est forte, confrontant avec franchise le monde des pauvres à celui des riches. De même, le thème chrétien de la charité est abordé sous un angle critique, inattendu.
Cahiers du Cinéma
S’éloignant dans ses meilleurs moments de la copie appliquée de ses modèles, Gente de Bien trace alors sa voie entre un naturalisme colombien et un catholicisme latent, qui dévoile son visage dans un beau finale sacrificiel et expiatoire.
L'Obs
Le nom de Franco Lolli est à retenir.
Le Dauphiné Libéré
Une chronique de l’enfance, replacée judicieusement dans un cadre social, dont le ton un peu emphatique n’altère pas la fraîcheur.
Le Parisien
"Gente de Bien" est une oeuvre subtile sur la condition des hommes et, plus que leurs racines sociales, leur attachement filial.
Les Inrockuptibles
Le premier film de Franco Lolli nous est resté en mémoire et s’est même grandement bonifié avec le temps. Grâce, sans doute, à une habile écriture des disparités sociales, qui s’incarne puissamment sur le visage dur et renfrogné de son jeune acteur, et fait mouche.