Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"300 Hommes" n'est pas un beau film : c'est un très beau film. Poignant, saisissant, qui nous laisse interdits, dans un curieux état d'apesanteur à frôler cette humanité dévastée, débarrassée des clichés. Juste nue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Clément Ghys
Dalbis et Gras plongent dans ce centre qui a quelque chose d’un hospice de Jean Genet, d’une cour des miracles de Fassbinder. Sauf qu’il existe vraiment, quelque part dans Marseille, "300 Hommes" nous en offrant le témoignage salutaire et éprouvant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Louis Séguin
Les réalisateurs signent ici un documentaire tout à la fois poignant et d'une inspiration plastique rare, notamment dans de nombreux plans de nuit.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Ne cédant ni à l’idéalisme ni au désespoir, "300 Hommes" est un film éprouvant qui tient en équilibre, et parvient ainsi à maintenir un regard se situant véritablement à hauteur d’hommes. Et sur un tel sujet, ce n’est pas si courant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par La Rédaction
De la distance respectueuse, des fragments de récits émergeront, pareils à des brisants au caprice de la mer.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un documentaire qui se contente de regarder et de capter des visages, des regards, des détresses, des sourires : les mille facettes de la misère humaine.
Le Journal du Dimanche
par Marc Qaglieri
Ce beau documentaire, sans pathos ni voyeurisme, donne à voir le quotidien de ceux qui ont tout perdu.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Clara Brunel
L'intérêt du documentaire réside dans son aptitude à laisser s'exprimer plutôt que de faire parler. Les documentaristes donnent la parole sans interroger.Ic, pas d'entretiens mais des émotions et des comportements. On s'attarde plutôt sur le regard, le silence et les rires.
Positif
par Vincent Thabourey
[Les réalisateurs] signent un documentaire d'une subtile et néanmoins efficace mise en scène.
Télérama
par Mathilde Blottière
Avec une documentariste rompue au travail de terrain, Emmanuel Gras (Bovines) pose un regard attentif et respectueux sur les « hébergés ».
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
La gravité de ce doc captive et sa générosité séduit.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Fidèle à son principe directeur, Fernand Melgar a posé sa caméra là où une barrière sépare les êtres, témoignant de ce que cette situation produit d'arbitraire, d'injuste et de symbolique, dans un pays obnubilé par l'idée de contenir la misère du monde frappant à sa porte.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Une œuvre assez humble, concentrée sur une certaine idée du “jour sans fin” – et c’est une journée de chien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Isabelle Danel
C’est troublant, car face à l’humanité en détresse, même si le désespoir passe aussi par le rire, il est difficile de rester neutre. Sur ce thème, "L’Abri", de Fernand Melgar, offre un point de vue plus impliqué.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Mathieu Macheret
En dépit de son évidente valeur documentaire et politique, on regrette que le résultat ne décroche jamais d'un régime d'observation ronronnant qui finit par le neutraliser.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
"300 Hommes" n'est pas un beau film : c'est un très beau film. Poignant, saisissant, qui nous laisse interdits, dans un curieux état d'apesanteur à frôler cette humanité dévastée, débarrassée des clichés. Juste nue.
Libération
Dalbis et Gras plongent dans ce centre qui a quelque chose d’un hospice de Jean Genet, d’une cour des miracles de Fassbinder. Sauf qu’il existe vraiment, quelque part dans Marseille, "300 Hommes" nous en offrant le témoignage salutaire et éprouvant.
Transfuge
Les réalisateurs signent ici un documentaire tout à la fois poignant et d'une inspiration plastique rare, notamment dans de nombreux plans de nuit.
Critikat.com
Ne cédant ni à l’idéalisme ni au désespoir, "300 Hommes" est un film éprouvant qui tient en équilibre, et parvient ainsi à maintenir un regard se situant véritablement à hauteur d’hommes. Et sur un tel sujet, ce n’est pas si courant.
L'Humanité
De la distance respectueuse, des fragments de récits émergeront, pareils à des brisants au caprice de la mer.
Le Dauphiné Libéré
Un documentaire qui se contente de regarder et de capter des visages, des regards, des détresses, des sourires : les mille facettes de la misère humaine.
Le Journal du Dimanche
Ce beau documentaire, sans pathos ni voyeurisme, donne à voir le quotidien de ceux qui ont tout perdu.
Le Point
L'intérêt du documentaire réside dans son aptitude à laisser s'exprimer plutôt que de faire parler. Les documentaristes donnent la parole sans interroger.Ic, pas d'entretiens mais des émotions et des comportements. On s'attarde plutôt sur le regard, le silence et les rires.
Positif
[Les réalisateurs] signent un documentaire d'une subtile et néanmoins efficace mise en scène.
Télérama
Avec une documentariste rompue au travail de terrain, Emmanuel Gras (Bovines) pose un regard attentif et respectueux sur les « hébergés ».
L'Express
La gravité de ce doc captive et sa générosité séduit.
La Croix
Fidèle à son principe directeur, Fernand Melgar a posé sa caméra là où une barrière sépare les êtres, témoignant de ce que cette situation produit d'arbitraire, d'injuste et de symbolique, dans un pays obnubilé par l'idée de contenir la misère du monde frappant à sa porte.
Les Inrockuptibles
Une œuvre assez humble, concentrée sur une certaine idée du “jour sans fin” – et c’est une journée de chien.
Première
C’est troublant, car face à l’humanité en détresse, même si le désespoir passe aussi par le rire, il est difficile de rester neutre. Sur ce thème, "L’Abri", de Fernand Melgar, offre un point de vue plus impliqué.
Le Monde
En dépit de son évidente valeur documentaire et politique, on regrette que le résultat ne décroche jamais d'un régime d'observation ronronnant qui finit par le neutraliser.