Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
CNews
par La Rédaction
Des récompenses amplement méritées tant la prestation de la comédienne est déchirante. Ce drame puissant articule son propos autour de la captivité, de la maternité, de la reconstruction et de la résilience.
Elle
par Khadija Moussou
Un drame maternel sublimé par Brie Larson
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Parisien
par Alain Grasset
La statuette dorée de Brie Larson est franchement méritée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
TF1 News
par Romain Le Vern
Brie Larson et Jacob Tremblay, très émouvants, se mettent mutuellement en valeur dans un rare exemple de collaboration.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
20 Minutes
par Caroline Vié
Brie Larson offre une performance remarquable en maman retenue prisonnière avec son petit garçon dans ce thriller brillant...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un sujet difficile, un traitement subtil et des émotions viscérales.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Room" réactualise la veine des films d'apprentissage à l'américaine, en la teintant d’existentialisme. Un film touché par la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
La mise en scène, très impressionniste, embarque le film sur des chemins périlleux mais le voyage est réussi.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Indéniablement inspiré par plusieurs cas de séquestration récents, le film a heureusement le bon goût de ne pas trop s’appesantir sur les détails sordides et l’aspect sensationnel de tels faits divers.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par La Rédaction
Typique d’un certain cinéma indépendant américain de qualité, "Room" est un film non dénué de scories mais d’une sensibilité à toute épreuve que portent ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
L’on sait gré au cinéaste de mettre l’accent sur le retour à la lumière. Il et elle ne sont plus en prison mais pas encore tout à fait libres. Et d’insister sur la difficile réinsertion de la mère. Et d’accorder toute son attention à l’enfant qui découvre le monde, planète qu’il croyait imaginaire. Là est l’intelligence du film, sa force, sa beauté, sa puissance émotionnelle.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
À partir d’une série de faits divers sur des enfants enlevés et séquestrés, un film dont la sobriété et la justesse renforcent la puissance dramatique.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Brie Larson est bouleversante en mère-courage qui tente de se reconstruire. On lit l’innocence, l’intelligence et la peur dans les yeux du jeune Jacob Tremblay, véritable éponge à émotions. Heureusement, l’amour est plus fort que tout.
Le Monde
par Thomas Sotinel
On court bien des dangers à exécuter des gestes virtuoses pour dire ou mettre en scène la souffrance la plus abjecte. Mais (...) le film de Lenny Abrahamson ne s'écarte jamais de la perspective humaine de ses deux personnages principaux. Pour y parvenir, il fallait choisir très justement les interprètes.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Un récit saisissant, soutenu par un duo d'acteurs remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Film de libération, "Room" décrit au fond moins une explosion des possibles qu’une permutation : échanger l’espace infini de la pensée avec celui, étriqué, où se heurtait le corps, pour déployer un réel s’étendant désormais comme un océan sans limites autour d’un esprit qui prend, lui, des airs d’île déserte. Un quasi infilmable dont Abrahamsson relève le défi avec beaucoup d’intelligence.
Metro
par Mehdi Omaïs
Avis aux récalcitrants : le cinéaste irlandais Lenny Abrahamson parvient ici à contourner l’aspect plombant de son sujet pour proposer, entre la fable et le mélo, le récit touchant d’une double reconstruction.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
La fin, plus clémente et plus convenue, ne réussit pas à gâcher la force de thriller psychologique incroyablement joué et réalisé.
Transfuge
par Frédéric Mercier
"Room" vaut mieux qu'une simple adaptation de luxe d'un best-seller (...), mieux qu'une simple machine à Oscars (...), c'est d'abord le véhicule idéal pour permettre à son talentueux réalisateur irlandais de devenir enfin un auteur à Hollywood.
Voici
par La Rédaction
Un drame bouleversant, à la fois fort et doux, terrifiant et plein de tendresse.
Critikat.com
par Ursula Michel
Une singulière plongée dans la psyché d’un enfant et une histoire de renaissance et d’amour bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"Room" parvient en deux heures à ne pas ennuyer, ne pas s'alourdir, et même à surprendre et toucher droit au coeur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Libération
par Clémentine Gallot
En adoptant le point de vue de l’enfant, le film, qui reléguait pudiquement les scènes de viols au hors champ dans sa première partie, évacue par la même occasion le silence pesant de la mère, suppléé par une musique et une voix off envahissantes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
"Room" se divise en deux parties inégales. La première moitié du film est confinée entre les quatre murs d’une pièce exiguë et met en scène le quotidien d’une mère et son fils. (...) Puis le film perd une grande partie de sa force en sortant de la Room, même s’il offre au passage une superbe séquence d’évasion.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Ce second temps du récit n'est pas totalement abouti (...) mais le réalisateur Lenny Abrahamson joue admirablement des espaces (...).
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
D'emblée, ce huis clos (...) nous tient dans un réel état de stress... jusqu'à l'évasion. Puis le drame se fait plus psychologique, moins étouffant et moins puissant.
Télérama
par Frédéric Strauss
Aux côtés du frêle Jacob Tremblay, époustouflant, Brie Larson compose une mère Courage lumineuse et dévastée. Sa vérité antiglamour lui a valu un oscar bien mérité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Cette adaptation du best-seller d’Emma Donoghue, également auteur du scénario, propose une variation bien plus douce du sous-genre « Natascha Kampusch movie » (…). Mais le film verse dans le tire-larmes à coups de scènes mélodramatiques convenues qui font oublier les promesses du début.
VSD
par Bernard Achour
Une histoire de séquestration conjugale, Oscar de la meilleure actrice.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Fable platonicienne cernée par les ténèbres, Room ne manque pas d’audace mais ne transcende jamais sa condition de produit taillé au cordeau pour les festivals internationaux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Michel Ciment
Oscillant entre le conte de fées et le thriller et échouant sur les deux tableaux (...), fable sur la survie et la rédemption, baignant dans la fadeur des bons sentiments, le film faillit à nous déstabiliser comme avait su le faire Rolf de Heer dans son "Bad Boy Bubby".
CNews
Des récompenses amplement méritées tant la prestation de la comédienne est déchirante. Ce drame puissant articule son propos autour de la captivité, de la maternité, de la reconstruction et de la résilience.
Elle
Un drame maternel sublimé par Brie Larson
Le Parisien
La statuette dorée de Brie Larson est franchement méritée.
TF1 News
Brie Larson et Jacob Tremblay, très émouvants, se mettent mutuellement en valeur dans un rare exemple de collaboration.
20 Minutes
Brie Larson offre une performance remarquable en maman retenue prisonnière avec son petit garçon dans ce thriller brillant...
CinemaTeaser
Un sujet difficile, un traitement subtil et des émotions viscérales.
Franceinfo Culture
"Room" réactualise la veine des films d'apprentissage à l'américaine, en la teintant d’existentialisme. Un film touché par la grâce.
L'Express
La mise en scène, très impressionniste, embarque le film sur des chemins périlleux mais le voyage est réussi.
L'Humanité
Indéniablement inspiré par plusieurs cas de séquestration récents, le film a heureusement le bon goût de ne pas trop s’appesantir sur les détails sordides et l’aspect sensationnel de tels faits divers.
L'Obs
Typique d’un certain cinéma indépendant américain de qualité, "Room" est un film non dénué de scories mais d’une sensibilité à toute épreuve que portent ses acteurs.
La Voix du Nord
L’on sait gré au cinéaste de mettre l’accent sur le retour à la lumière. Il et elle ne sont plus en prison mais pas encore tout à fait libres. Et d’insister sur la difficile réinsertion de la mère. Et d’accorder toute son attention à l’enfant qui découvre le monde, planète qu’il croyait imaginaire. Là est l’intelligence du film, sa force, sa beauté, sa puissance émotionnelle.
Le Dauphiné Libéré
À partir d’une série de faits divers sur des enfants enlevés et séquestrés, un film dont la sobriété et la justesse renforcent la puissance dramatique.
Le Journal du Dimanche
Brie Larson est bouleversante en mère-courage qui tente de se reconstruire. On lit l’innocence, l’intelligence et la peur dans les yeux du jeune Jacob Tremblay, véritable éponge à émotions. Heureusement, l’amour est plus fort que tout.
Le Monde
On court bien des dangers à exécuter des gestes virtuoses pour dire ou mettre en scène la souffrance la plus abjecte. Mais (...) le film de Lenny Abrahamson ne s'écarte jamais de la perspective humaine de ses deux personnages principaux. Pour y parvenir, il fallait choisir très justement les interprètes.
Les Fiches du Cinéma
Un récit saisissant, soutenu par un duo d'acteurs remarquables.
Les Inrockuptibles
Film de libération, "Room" décrit au fond moins une explosion des possibles qu’une permutation : échanger l’espace infini de la pensée avec celui, étriqué, où se heurtait le corps, pour déployer un réel s’étendant désormais comme un océan sans limites autour d’un esprit qui prend, lui, des airs d’île déserte. Un quasi infilmable dont Abrahamsson relève le défi avec beaucoup d’intelligence.
Metro
Avis aux récalcitrants : le cinéaste irlandais Lenny Abrahamson parvient ici à contourner l’aspect plombant de son sujet pour proposer, entre la fable et le mélo, le récit touchant d’une double reconstruction.
Ouest France
La fin, plus clémente et plus convenue, ne réussit pas à gâcher la force de thriller psychologique incroyablement joué et réalisé.
Transfuge
"Room" vaut mieux qu'une simple adaptation de luxe d'un best-seller (...), mieux qu'une simple machine à Oscars (...), c'est d'abord le véhicule idéal pour permettre à son talentueux réalisateur irlandais de devenir enfin un auteur à Hollywood.
Voici
Un drame bouleversant, à la fois fort et doux, terrifiant et plein de tendresse.
Critikat.com
Une singulière plongée dans la psyché d’un enfant et une histoire de renaissance et d’amour bouleversante.
Ecran Large
"Room" parvient en deux heures à ne pas ennuyer, ne pas s'alourdir, et même à surprendre et toucher droit au coeur.
Libération
En adoptant le point de vue de l’enfant, le film, qui reléguait pudiquement les scènes de viols au hors champ dans sa première partie, évacue par la même occasion le silence pesant de la mère, suppléé par une musique et une voix off envahissantes.
Première
"Room" se divise en deux parties inégales. La première moitié du film est confinée entre les quatre murs d’une pièce exiguë et met en scène le quotidien d’une mère et son fils. (...) Puis le film perd une grande partie de sa force en sortant de la Room, même s’il offre au passage une superbe séquence d’évasion.
Studio Ciné Live
Ce second temps du récit n'est pas totalement abouti (...) mais le réalisateur Lenny Abrahamson joue admirablement des espaces (...).
Télé 7 Jours
D'emblée, ce huis clos (...) nous tient dans un réel état de stress... jusqu'à l'évasion. Puis le drame se fait plus psychologique, moins étouffant et moins puissant.
Télérama
Aux côtés du frêle Jacob Tremblay, époustouflant, Brie Larson compose une mère Courage lumineuse et dévastée. Sa vérité antiglamour lui a valu un oscar bien mérité.
Cahiers du Cinéma
Cette adaptation du best-seller d’Emma Donoghue, également auteur du scénario, propose une variation bien plus douce du sous-genre « Natascha Kampusch movie » (…). Mais le film verse dans le tire-larmes à coups de scènes mélodramatiques convenues qui font oublier les promesses du début.
VSD
Une histoire de séquestration conjugale, Oscar de la meilleure actrice.
aVoir-aLire.com
Fable platonicienne cernée par les ténèbres, Room ne manque pas d’audace mais ne transcende jamais sa condition de produit taillé au cordeau pour les festivals internationaux.
Positif
Oscillant entre le conte de fées et le thriller et échouant sur les deux tableaux (...), fable sur la survie et la rédemption, baignant dans la fadeur des bons sentiments, le film faillit à nous déstabiliser comme avait su le faire Rolf de Heer dans son "Bad Boy Bubby".