Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Obs
par La Rédaction
Pas d’explications, de commentaires, de psychologie : c’est superbe à regarder (on pense aux photos de Diane Arbus), et c’est une plongée hallucinante dans la noirceur grotesque de l’esprit humain.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
20 Minutes
par La Rédaction
La mise en scène de Seidl est faite de longs plans fixes d’une splendeur fascinante prenant le spectateur dans les rets d’une œuvre hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce constat drôle et accablant aborde des questions aussi diverses que le racisme, la prostitution ou la maltraitance. Alternant les plans fixes et des interviews, le cinéaste se livre à une fascinante étude anthropologique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Eithne O'Neill
Aidé par la caméra sublime de Gschlacht, l'hyperréalisme lisse érige un cabinet de curiosités pour mieux nous leurrer.
TF1 News
par Romain Le Vern
Construisant ses fictions comme des documentaires et inversement, Ulrich Seidl, toujours hanté par un surmoi Werner Herzog, continue de faire défiler ses effarants monstres humains, avec toutefois moins de compassion que ne le laissait présager sa dernier trilogie "Paradis".
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Jacques Morice
Entre plongée en enfer et revue de variétés, "Sous-sols" est une sorte de parade ahurissante, grotesque, dérangeante. Très crue et pourtant distanciée, filmée de manière stoïque et calme. C'est toute sa force.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Maxime Lachaud
Plongée dans l’Autriche secrète avec une galerie de grotesques que n’auraient reniée ni Sherwood Anderson ni Diane Arbus, cet exercice brillant, souvent tragi-comique, bénéficie d’un montage d’une musicalité hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Marc Bousquet
Seidl réussit l’exploit de rendre ce catalogue d’êtres étranges cohérent, élégant et d'en extirper une matière qui, si l’on s’en donne la peine, finit par faire sens. Les sous-sols apparaissent alors comme un lieu de totale liberté, où chacun peut enfin devenir ce qu'il est et dans lesquels toute forme de jugement moral aurait en quelque sorte disparu.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Première
par Christophe Narbonne
Plus grotesque qu'édifiant, superbement filmé, ce catalogue de pratiques déviantes ne raconte en définitive pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Le cinéaste autrichien investit les sous-sols de ses compatriotes. Sur ce qu'il y découvre (sadomasochisme, nostalgie du nazisme, fanfare...), il porte un regard cynique, qui mêle complaisance et ironie.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Les films d’Ulrich Seidl ont de quoi rebuter quiconque n’apprécie pas son mélange habituel de cinéma punitif et d’humour noir. Peut-être distinguons-nous effectivement notre propre image, mais nous assistons avant tout à un méticuleux travail de taxidermie humaine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"Sous-Sols" est davantage une farce noire, un essai polémique, un exercice de détestation qu'un documentaire à proprement parler. Cette hypothèse est d'ailleurs la seule qui permet de tirer de ce film une souriante indulgence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Les Autrichiens ont une étrange passion pour leurs sous-sols : Ulrich Seidl a pressenti qu'il y avait du cracra à aller gratter là-dessous… Il en remonte tout un bestiaire qu'il se contente d'exhiber.
Libération
par Clémentine Gallot
Si l’on se demande comment le cinéaste a débusqué cette galerie d’énergumènes (...) cette succession de tableaux grimaçants, cadrés en plan fixe jusqu’au malaise comme une installation d’art contemporain, ne donne lieu qu’à une forme de sinistrose assez anecdotique
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Si les caves des Autrichiens reflètent vraiment leur inconscient et leur imaginaire, une question fait froid dans le dos : quelles inavouables horreurs croupissent dans le sous-sol d’Ulrich Seidl ?
L'Obs
Pas d’explications, de commentaires, de psychologie : c’est superbe à regarder (on pense aux photos de Diane Arbus), et c’est une plongée hallucinante dans la noirceur grotesque de l’esprit humain.
20 Minutes
La mise en scène de Seidl est faite de longs plans fixes d’une splendeur fascinante prenant le spectateur dans les rets d’une œuvre hors du commun.
Le Journal du Dimanche
Ce constat drôle et accablant aborde des questions aussi diverses que le racisme, la prostitution ou la maltraitance. Alternant les plans fixes et des interviews, le cinéaste se livre à une fascinante étude anthropologique.
Positif
Aidé par la caméra sublime de Gschlacht, l'hyperréalisme lisse érige un cabinet de curiosités pour mieux nous leurrer.
TF1 News
Construisant ses fictions comme des documentaires et inversement, Ulrich Seidl, toujours hanté par un surmoi Werner Herzog, continue de faire défiler ses effarants monstres humains, avec toutefois moins de compassion que ne le laissait présager sa dernier trilogie "Paradis".
Télérama
Entre plongée en enfer et revue de variétés, "Sous-sols" est une sorte de parade ahurissante, grotesque, dérangeante. Très crue et pourtant distanciée, filmée de manière stoïque et calme. C'est toute sa force.
aVoir-aLire.com
Plongée dans l’Autriche secrète avec une galerie de grotesques que n’auraient reniée ni Sherwood Anderson ni Diane Arbus, cet exercice brillant, souvent tragi-comique, bénéficie d’un montage d’une musicalité hypnotique.
Culturopoing.com
Seidl réussit l’exploit de rendre ce catalogue d’êtres étranges cohérent, élégant et d'en extirper une matière qui, si l’on s’en donne la peine, finit par faire sens. Les sous-sols apparaissent alors comme un lieu de totale liberté, où chacun peut enfin devenir ce qu'il est et dans lesquels toute forme de jugement moral aurait en quelque sorte disparu.
Première
Plus grotesque qu'édifiant, superbement filmé, ce catalogue de pratiques déviantes ne raconte en définitive pas grand-chose.
Studio Ciné Live
Le cinéaste autrichien investit les sous-sols de ses compatriotes. Sur ce qu'il y découvre (sadomasochisme, nostalgie du nazisme, fanfare...), il porte un regard cynique, qui mêle complaisance et ironie.
Critikat.com
Les films d’Ulrich Seidl ont de quoi rebuter quiconque n’apprécie pas son mélange habituel de cinéma punitif et d’humour noir. Peut-être distinguons-nous effectivement notre propre image, mais nous assistons avant tout à un méticuleux travail de taxidermie humaine.
Le Monde
"Sous-Sols" est davantage une farce noire, un essai polémique, un exercice de détestation qu'un documentaire à proprement parler. Cette hypothèse est d'ailleurs la seule qui permet de tirer de ce film une souriante indulgence.
Les Fiches du Cinéma
Les Autrichiens ont une étrange passion pour leurs sous-sols : Ulrich Seidl a pressenti qu'il y avait du cracra à aller gratter là-dessous… Il en remonte tout un bestiaire qu'il se contente d'exhiber.
Libération
Si l’on se demande comment le cinéaste a débusqué cette galerie d’énergumènes (...) cette succession de tableaux grimaçants, cadrés en plan fixe jusqu’au malaise comme une installation d’art contemporain, ne donne lieu qu’à une forme de sinistrose assez anecdotique
Cahiers du Cinéma
Si les caves des Autrichiens reflètent vraiment leur inconscient et leur imaginaire, une question fait froid dans le dos : quelles inavouables horreurs croupissent dans le sous-sol d’Ulrich Seidl ?