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    Les Merveilles
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    3,0
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    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    413 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2015
    En plus d'investir un univers peu traité au cinéma (les apiculteurs transalpins), Alice Rohrwacher le fait avec un regard tendre empreint d'innocence enfantine. Un mélange qui assure au film la poésie qui manque à tant de chroniques sociales proches de la réalité et installe une douce émotion l'ayant menée à un Grand Prix cannois amplement mérité. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète à l'adresse ci-dessous:
    Lartimour
    Lartimour

    11 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 février 2015
    Le film fait le portrait d'une famille pauvre du sud de l'Italie, dans laquelle le père refuse que ses enfants s'ouvrent au monde extérieure car il a besoin d'eux pour faire marcher sa propriété qui produit du miel.
    La fille ainée, lycéenne, va essayer de les sortir de leur misère, en les inscrivant à un concours de téléréalité.
    Le film est une critique intéressante de la téléréalité, avec de belles images, mais l'ensemble manque de puissance, et peine à convaincre.
    En deuxième lecture, j'ai bien aimé le traitement du problème de la relation adolescent-adulte.
    Le film montre très bien que ceux qui comprennent le mieux les jeunes, ce sont les jeunes eux-même.
    La fille ainée est la seule à avoir compris ce que signifiaient réellement les recommandations des services sociaux concernant un jeune garçon rebelle qui a été placé dans cette famille.
    velocio
    velocio

    1 305 abonnés 3 138 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2015
    Il y a 4 ans, Alice Rohrwacher avait réalisé "Corpo Celeste", un premier film très prometteur tourné dans le sud de l'Italie et présenté à la Quinzaine des Réalisateurs. Son deuxième film, "Les merveilles", elle l'a tourné en Toscane et il s'est retrouvé en compétition à Cannes 2014. A la surprise quasi générale des cinéphiles, il s'est vu attribuer le Grand Prix du Jury, c'est-à-dire la récompense qui vient juste après la Palme d'Or. Quand on pense que des films comme "Sils Maria", "Timbuktu" ou "Les Nouveaux sauvages" sont repartis bredouilles et que, honnêtement, "Les merveilles" se situe un cran en dessous de "Corpo Celeste", il y a franchement de quoi être surpris. Non pas que "Les merveilles" soit un mauvais film, loin de là. Il aurait peut-être même eu sa place au palmarès de l'édition 2013 du Festival, mais pas en 2014, le meilleur cru de ces 10 dernières années. Nous voici donc au sein d'une famille d'apiculteurs qui vit près de Grosseto. Ils parlent l'italien et l'allemand, et, en plus, les parents se parlent entre eux en français lorsqu'ils souhaitent que leurs 4 enfants ne comprennent pas. Il est question d'un jeu de téléréalité qui pourrait permettre à la famille de gagner l'argent qui permettrait de mettre l'installation de fabrique de miel aux normes. La fille ainée est pour qu'ils s'inscrivent à ce jeu, le père est contre. Il est question d'un jeune allemand délinquant placé chez eux pour se réhabiliter. On sent dans ce film l'intérêt de la réalisatrice pour la cause écologique et le besoin qu'elle a de se pencher avec nostalgie sur une Italie qui, petit à petit, perd ses valeurs paysannes pour se transformer en parc pour touristes. On regrette que les scènes documentaires sur la confection du miel soient un peu longues. Si on retrouve à l'affiche Monica Bellucci (tout petit rôle) et Alba Rohrwacher, la sœur de la réalisatrice, les rôles principaux sont ceux de Gelsomina, la fille aînée, jouée par Maria Alexandra Lungu et dont c'est le premier rôle, et de son père, interprété par le comédien belge Sam Louwyck.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 janvier 2015
    J'ai regardé ce film à la soirée de clôture du festival premier plan à Angers. Je ne comprends pas comment ce film a pu remporter le grand prix au festival de Cannes, il aurait du à mon sens recevoir la palme du film le plus ennuyeux, car oui objectivement c'est le cas ce film est extrêmement ennuyeux. Les passages redondants s’enchaînent et s’enchaînent sans aucun rebondissement, les dialogues sont pauvres et non pertinents à la limite de l'inutile. Le film dans son ensemble est non construit et non abouti. Aucun intérêt.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    134 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2015
    L'abeille est un être qui agit sur la défensive. Comme la Gelsomina de l'histoire, elle possède sur son abdomen un dard qui lui permettra de se protéger des attaques les moins dangereuses. Après, elle mourra. Alice Rohrwacher, en rajoutant du surréalisme dense à l'aventure d'une famille qui s'aime, se déchire puis se réconcilie pour vivre une épopée étrange sous forme de télé-réalité, avec en tête le souhait de devenir riche pour s'épanouir de plus belle dans leur travail, offre un film de qualité, avec, à la clé, de multiples symboliques dans les gestes et comportements des personnages. Créant ainsi une expertise viscérale de la mentalité de l’un, puisant pour cela sur la psychologie de l’autre. On pourrait lui en vouloir de ne pas nous rapprocher assez de ces apiculteurs qui vivent durement, n’ayant pour plaisir que quelques jouets et bouts de terrain, mais peu importe : l’apparence bourru du père et la mentalité d’acier de la mère, en passant par les cinq enfants (tous d’âges différents) et par l’employée révoltée représentent les outils qui ouvriront la porte de la liberté, de ce désir si pressant d’aller toujours plus loin dans ses objectifs. « Les Merveilles » serait une fleur fanée à laquelle on aurait redonné vie, dont le si précieux jus, couleur miel, serait recueilli par des abeilles travailleuses, soucieuses du bien-être de chacun et de chacune. Ou le niveau supérieur en ce qui concerne le cinéma contemplatif, un pur moment d’amour, d’énervement et de sauvagerie sublimé par des acteurs qui se complètent dans le grand système du 7ème art.
    norman06
    norman06

    347 abonnés 1 665 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juin 2014
    Ce joli film séduit par une nouvelle variante de néoréalisme, et un récit attachant, à mi-chemin entre le conte et la chronique sociale.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 juin 2014
    Je suis désolé,mais pour moi ce film ne vaux pas le Grand Prix du festival de Cannes 2014. J'ai pu le voir lors du Festival de Cannes et pour moi ce film n'a rien de bien,le scénario est très mauvais, il n'y a pas d'action, de meme qu'a certains moments on ne comprends plus rien à l'histoire,....et j'en passe. Donc pour ma part,je ne conseillerai pas du tout ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 mai 2014
    Après Corpo Celeste (2011), la réalisatrice italienne Alice Rohrwacher présente son dernier film Les Merveilles, grand prix du 67ème festival de Cannes. Boudé par la critique, ce deuxième long métrage de fiction ne manque pourtant pas d’originalité en nous livrant un portrait sans concession du milieu rural italien.

    Par le propos, Les Merveilles peut s’apparenter à un autre film récemment découvert à Cannes (sélection un certain regard 2009), Canine de Yorgos Lanthimos. Wolfgang (Sam Louwyck) et sa femme Angelica (Alba Rohrwacher) élèvent près de la Toscane leurs quatre filles dont l’aînée se nomme Gelsomina (Maria Alexandra Lungu). Pour protéger ses filles de la société et de ses vices, du délabrement et de la corruption, Wolfgang décide de vivre en autarcie. Privilégiant un rapport direct à la nature, la famille produit du miel avec l’aide d’une amie, Coco (Sabine Timoteo). Comme dans le film de Lanthimos, au fur et à mesure que les enfants grandissent, leur attirance pour l’ailleurs se fait plus intense, véritable fascination qui va se matérialiser en la personne de Martin (Luis Huilca Logroño). Cet enfant délinquant que la famille accepte d’héberger pour le rééduquer représente ce monde extérieur, un monde dont Gelsomina rêve de percevoir, de découvrir et de comprendre. Par le biais de Martin elle y discerne, avec déception, une réalité bien froide (d’où l’incapacité de communiquer?) lui faisant regretter la vie chez son père. Le plan final avec Gelsomina et Martin dans la grotte étant assez explicite pour que le spectateur établisse un rapprochement entre l’allégorie de la caverne de Platon et le choix décisif de Gelsomina.

    La suite ici:
    Le Blog Du Cinéma
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    106 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mai 2014
    « Un film plutôt bien fichu, mais inintéressant. » Georgeslechameau - 6,2/10
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