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    Les Merveilles
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    3,0
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    69 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 mars 2015
    A l'image de sa photo, délicatesse et humanité sont les maîtres mots ici. Purifiant, autant d'intelligence le temps d'un film en choquerait plus d'un en cette société peu cultivée.
    BeatJunky
    BeatJunky

    150 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 avril 2015
    Pour gagner le Grand Prix à Cannes, une seule explication: le jury s'est endormi comme moi! Minable! Un e honte de filer un prix à un déchet pareil! Je cherche encore ce que certains ont pu en tirer, où est ce que se trouve la magie du truc??? Je n'ai rien apprécié: ni le scénario (bien brouillon) ni la mise en scène (fade) ni le jeu des acteurs (ennuyeux) ... Après avoir gaspillé 1h30, pas envie d'encore perdre du temps à écrire dessus donc un seul conseil: Fuyez!
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2015
    Un joli film, d'une sensibilité originale qui s'exprime entre naturalisme et mystère poétique, presque fantastique à la fin. On songe à un autre film italien, Respiro, dont le réalisme finissait par tutoyer une dimension légendaire. Deux façons de transcender en douceur une réalité plutôt insatisfaisante : le quotidien galère d'une femme de pêcheur dans Respiro ; le quotidien d'une fillette menée à la dure par un père irascible et impulsif dans Les Merveilles. Dans ce dernier film, la réalisatrice Alice Rohrwacher prend le temps de décrire les travaux et les jours d'une drôle de famille à la campagne, avec son multilinguisme (italien, allemand, français), ses joies, ses problèmes. Une chronique paysanne marquée par la singularité d'un homme qui impose son ordre au groupe tout en proclamant la liberté de chacun, ancien militant pour on ne sait quelle cause, dormeur à la belle étoile, et capable d'autant de furie que de tendresse à l'égard des siens. Une tendresse farfelue qui peut se manifester par l'achat improbable d'un chameau... Face à ce père aimé et craint, qui maintient son monde dans une bulle, le personnage de Gelsomina va poursuivre un rêve, chercher une échappatoire en même temps qu'une forme de reconnaissance sociale pour elle et sa famille, via la participation à un jeu TV, grand moment de kitscherie entre carnaval étrusque et foire à la saucisse. Grand moment d'imaginaire factice qui contraste avec de "vrais" éléments merveilleux : les abeilles qui sortent de la bouche de Gelsomina, le sifflement étrange de Martin, le garçon recueilli. On peut être dérouté et charmé par cette étrangeté diffuse et volatile. En suivant cette famille qui apparaît à la fois plongée dans une réalité concrète et hors du monde, on avance sur un terrain délicatement mouvant et émouvant, nimbé d'un onirisme qui a sa drôlerie et sa mélancolie, celles des souvenirs réinvestis par l'imagination. Souvenirs personnels de la réalisatrice, qui disent, dans une troublante ellipse finale, le passage du temps, le passage des rêves. Souvenirs qui disent aussi la belle capacité du cinéma à tout réinventer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 mars 2015
    Wow, il est pas facile à commenter, ce film! Bon, l'histoire, un famille d'apiculteurs écolos qui vivent en Ombrie et parlent italien, allemand et français, qui essaie de s'en sortir, et c'est pas facile...Là-dedans arrive un ado visiblement en difficulté (autisme?) et une émission de télé qui peut sauver l'entreprise...Mais bon, l'intérêt du film, ce n'est pas tellement l'histoire, mais surtout les rapports entre tous les membres de la famille, notamment le père et la fille aînée, et ce garçon souffrant d'incommunicabilité...personne n'est contre personne, mais tous souffrent d'une situation socialement difficile, et pas toujours voulue...ajoutez à cela la vision documentaire sur l'apiculture, ça fait un film agréable, prenant surtout dans la deuxième moitié, plus curieusement dynamique.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    155 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2024
    Un long métrage simple et poétique, de bric et de broc, typique du cinéma d'Alice Rohrwacher, à la fois naturaliste et onirique. Alice Rohrwacher est une véritable héritière de Federico Fellini (ce n'est pas un hasard si l'héroïne principale porte le prénom de Gelsomina, l'héroïne de la Strada de Fellini). Non pas une cinéaste baroque et pompière, façon Paolo Sorrentino. Mais elle a quelque chose de Fellini dans ces personnages imparfaits, cabossés. Et dans ce goût pour l'humour décalé et absurde, mais toujours avec un regard quasi sociologique.

    Également dans ce recul qu'elle a sur l'Italie actuelle, où le beau côtoie le vulgaire et le laid. Et où la télévision et le spectacle (décérébré), et même l'argent si on va au bout des choses, ont tout envahi et gangrené dans ce si beau mais fragile pays...

    C'est le troisième film que je vois d'Alice Rohrwacher, et je pense que la meilleure porte d'entrée pour son cinéma est La Chimère. Car Les Merveilles risque de décontenancer le néophyte : tout y est bancal et quelque peu maladroit. Mais c'est aussi ce qui fait le charme de l'art de la réalisatrice italienne, qui comporte également beaucoup de malice, et un humour bienvenu, comme je le disais, qui apporte une appréciable mais relative légèreté.

    Je n'ai pas souvenir de la sélection à Cannes en 2014, mais avoir reçu le Grand Prix du Jury est écrasant pour les frêles épaules d'Alice Rohrwacher et de ce film, il y avait certainement de meilleurs films la même année. En revanche, le jury ne s'est pas trompé en récompensant une talentueuse cinéaste, qui fera encore mieux par la suite.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    130 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 avril 2022
    Lune de miel. J'ai gouter au nectar italien. Réaction allergique. La piqure qui gonfle, qui gratte, qui démange et qui me dérange. Vite une compresse.
    Cineseba
    Cineseba

    43 abonnés 623 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 février 2015
    "Le film "Les merveilles" est une belle histoire d'une famille marginale, vivant recluse dans une ferme délabrée au Sud de l'Italie, sous l'emprise d'un père tyrannique, très opposé à la société de consommation, qui réclame toujours l'aide des quatre enfants à produire du miel, leur principal revenu ... Ce film montre la confrontation entre le père au caractère bien trempé et la jeune fille adolescente Gelsomina qui rêve s'ouvrir au monde extérieur, qui veut faire participer sa famille au jeu de télé-réalité ... mais qui n'ose pas imposer son père. Le début du film est un peu long et on découvre avec intérêt le portrait de la famille écologique travaillant dans l'apiculture : le père très sévère, protège à tout prix leurs enfants pour qu'ils ne soient pas attirés par la société de consommation, la mère à la fois excédée par la personnalité de son mari. Les quatre enfants n'osent pas à parler à son père. L'ainée Gelsomina, endurcie, se défoule sur sa soeur cadette. Dans le film, il y a aussi implicitement le thème de la maltraitance malgré l'amour disproportionné du père. L'arrivée d'un jeune garçon délinquant pour entamer le projet de la réinsertion, va déstabiliser le regard de la jeune fille ainée Gelsomina ... Beau film qui nous permet de découvrir l'univers de l'apiculture. D'ailleurs, la scène montrant une jeune fille boire une lueur de la lumière dans une grange sombre, est sublime ... Le film "Les merveilles " est poétique et profondément sincère mais je pense qu'il ne mérite pas vraiment le grand prix du Festival de Cannes car il y a quand même quelques longueurs. "
    velocio
    velocio

    1 303 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2015
    Il y a 4 ans, Alice Rohrwacher avait réalisé "Corpo Celeste", un premier film très prometteur tourné dans le sud de l'Italie et présenté à la Quinzaine des Réalisateurs. Son deuxième film, "Les merveilles", elle l'a tourné en Toscane et il s'est retrouvé en compétition à Cannes 2014. A la surprise quasi générale des cinéphiles, il s'est vu attribuer le Grand Prix du Jury, c'est-à-dire la récompense qui vient juste après la Palme d'Or. Quand on pense que des films comme "Sils Maria", "Timbuktu" ou "Les Nouveaux sauvages" sont repartis bredouilles et que, honnêtement, "Les merveilles" se situe un cran en dessous de "Corpo Celeste", il y a franchement de quoi être surpris. Non pas que "Les merveilles" soit un mauvais film, loin de là. Il aurait peut-être même eu sa place au palmarès de l'édition 2013 du Festival, mais pas en 2014, le meilleur cru de ces 10 dernières années. Nous voici donc au sein d'une famille d'apiculteurs qui vit près de Grosseto. Ils parlent l'italien et l'allemand, et, en plus, les parents se parlent entre eux en français lorsqu'ils souhaitent que leurs 4 enfants ne comprennent pas. Il est question d'un jeu de téléréalité qui pourrait permettre à la famille de gagner l'argent qui permettrait de mettre l'installation de fabrique de miel aux normes. La fille ainée est pour qu'ils s'inscrivent à ce jeu, le père est contre. Il est question d'un jeune allemand délinquant placé chez eux pour se réhabiliter. On sent dans ce film l'intérêt de la réalisatrice pour la cause écologique et le besoin qu'elle a de se pencher avec nostalgie sur une Italie qui, petit à petit, perd ses valeurs paysannes pour se transformer en parc pour touristes. On regrette que les scènes documentaires sur la confection du miel soient un peu longues. Si on retrouve à l'affiche Monica Bellucci (tout petit rôle) et Alba Rohrwacher, la sœur de la réalisatrice, les rôles principaux sont ceux de Gelsomina, la fille aînée, jouée par Maria Alexandra Lungu et dont c'est le premier rôle, et de son père, interprété par le comédien belge Sam Louwyck.
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juin 2014
    Ce joli film séduit par une nouvelle variante de néoréalisme, et un récit attachant, à mi-chemin entre le conte et la chronique sociale.
    cinono1
    cinono1

    301 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2019
    Il faut se laisser porter par le souffle de ce petit film italien, ca ne plaira pas à tous, c'est souvent maladroit mais les qualités sont supérieurs. Une sensibilité, un attachement immédiat à ce monde austère et beau, cet environnement géographique et familial, cette rudesse et cette joliesse, cette onirisme et ce kitch qui rivalise avec le réalisme. Le scénario soutient plus le film qu'on pourrait le croire. Finalement son prix à Cannes n'est pas immérité.
    Fritz L
    Fritz L

    182 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2015
    Il y a quelque chose de suranné dans « Les merveilles »… Peut-être est-ce simplement à cause des personnages, qui semblent tout droit sortis d’une Italie qui n’est plus, celle qui résonne encore des grandes heures du régime d’il calaviere Berlusconi, (famille très pauvre stigmatisée par la précarité, une Ondine défraichie et pailletée en présentatrice toute droit sortie de 5, un maire prêt à tout pour être corrompu, le pouvoir de l’argent…). On comprend aisément la démarche d’Alice Rohrwacher de vouloir en dénoncer les dérives et d’opposer cette famille qui vit en état de nature à cette société qui dévore le sens des traditions, le poids de l’histoire et les âmes pures.… En ce sens, le personnage très parabolique de Gelsomina, adolescente qui rêve de ville, de garçons et de confort, est très bien cerné et posé. Elle fait le liant non seulement dans le récit (elle se voit affublée du rôle de chef de famille) mais également entre ces deux mondes (préservant l’un coute que coute tout en lorgnant avec envie sur l’autre). La satire, même si elle est un iota caricatural, se tient. Et il aurait fallu s’en tenir là. Car la où le film perd de sa force, c’est bien dans la complexité des rapports qui unissent la mère, le père, leurs filles et la tante. Rohwarcher esquisse une série de portraits, sans jamais s’y atteler vraiment et l’on finit par se perdre dans l’anecdotique. Là où la famille devait se faire le faire de lance d’une idéologie, d’un combat pour la défense du terroir, elle n’apparaît que marginale et ne peut être prise au sérieux. Reste toutefois quelques belles scènes peine de charme et de poésie et la magnificence des paysages de l’Ombrie (ex territoire des Etrusques) pour nous faire passer un doux moment.
    pierre72
    pierre72

    137 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 février 2015
    Une ferme délabrée, plantée dans un décor sinistre de Toscane (oui ça existe !) abrite tout une famille d'apiculteurs. Le père utopiste et donc un peu tyrannique, gère vaille que vaille l'exploitation en compagnie de sa femme, de ses quatre filles et de Coco, ouvrière accrochée à eux parce que surement sans autre possibilité de survie. Nous sommes vraisemblablement dans les années 90 si l'on en croit les quelques objets du décor, le tube qui passe à la radio ou le grain de l'image loin du clinquant du numérique actuel. C'est l'époque où les normes européennes draconiennes, empreintes de libéralisme, commencent à rendre la vie difficile aux petits exploitants. C'est aussi le déferlement des émissions de télé-réalité que déverse à jet continu une télévision de plus en plus bêtifiante. Gelsomina, la fille aînée, jeune adolescente prenant la place d'un garçon qui n'a jamais vu le jour, commence à s'ouvrir au monde et se met en tête, au travers de la venue d'une émission minable de télévision que le vie peut être meilleure que la galère quotidienne qu'elle connaît...
    "Les merveilles" est un film sincère, brut de décoffrage, humaniste. On ne peut le lui enlever. On est charmé par ce joyeux mélange de naturalisme, de sensualité, de poésie, de militantisme aussi. Filmé comme une nouvelle cuvée d'un néoréalisme désormais patrimonial, le film n'est pas, à mon avis, tout à fait à la hauteur du prix qu'il a reçu à Cannes (d'autres non récompensés, le méritaient bien plus). Il pêche parfois par une mise en scène un peu foutraque voire totalement à côté de la plaque. Ainsi, un des scènes clés du film, le face à face entre Gelsomina et la sculpturale présentatrice sensée montrer le retour à la réalité de la jeune fille, perd tout son sens, peut être à cause de Monica Bellucci qui l'interprète. Quand elle est à l'antenne, Monica ressemble à une sorte de déesse improbable un mix entre Cléopâtre et une sirène de mauvais goût. Elle affublée d'une perruque de tresses blanches qui fait penser à un poulpe défraîchi. L'émission terminée, alors que toute l"équipe est sur le bateau du retour, la présentatrice, en civil mais ayant gardé son calamar sur le crâne (!), retrouve Gelsomina, fascinée par cette apparition, un rêve pour une jeune fille élevée loin de tout. Ce qui est sensé représenter le dur retour à la réalité, montrer que la présentatrice n'est en fait qu'une femme quelconque, se révèle ratée à l'écran, car, la perruque ôtée, apparaît, non pas une ménagère de 50 ans lambda, mais Monica Bellucci toujours aussi belle ! Certes je n'ai pas les yeux fascinés d'une adolescente de 14 ans, mais tout de même...
    Un peu plus sur le blog
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 septembre 2015
    On peut comprendre ce qui a séduit Jane Campion présidant le jury cannois pour avoir récompensé ce film : le portrait de jeunes filles marginales malgré elles, mais le film de la cinéaste italienne ne décolle vraiment jamais, manquant de tout, manquant de poésie, manquant d'humour. Les acteurs manquent incroyablement de charisme. Ni l'arrivée du jeune délinquant , ni le passage du tournage télévisé, ne soulèveront ce film qui n'offre qu'une chose aux spectateurs, l'ennui.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2018
    Arrivé en salle avec un préjugé favorable: un grand prix à Cannes, des critiques dithyrambiques sur France-Inter, une belle région d’Italie comme lieu d’action, je suis resté sur ma faim et reparti interrogatif.

    On sent de bonnes intentions, mais on se demande pour quoi faire. Un récit d’inspiration autobiographique pourquoi pas, le mélange de marginaux germano-italien revenus à la terre dans les années 70, on est prêt à découvrir ce que cela donne! Mais il ne suffit d’apporter un anachronique chameau dans le décor ou d’intégrer Monica Belluci dans le casting pour qualifier le film de merveilleux!

    Très velléitaire dans le développement des bonnes pistes qui ont été ouvertes- revenir à la terre ou en arrière, confusion des rôles parents-enfants, confrontation avec les voisins, irruption des jeux télévisés et de la « vraie vie », intégration d’un asocial parmi les marginaux- A. Rohrwacher nous emmène nulle part. La caméra nous impose des images sans intérêt, sauf peut-être pour se confronter à ses propres souvenirs? Elle ne tire pas parti des paysages splendides de l’Ombrie, c’est un choix, mais l’approche intello sans poésie montre vite ses limites. La jeune fille qui joue Gelsomina est touchante, mais quelle impertinence d’avoir repris ce prénom mythique de La Strada.

    Dommage, c’est beau le métier d’apiculteur et le sauvetage des abeilles. Les critiques parisiens ne doivent pas bien connaitre, est-ce pour cela qu’ils se sont esbaudis? Mystère. GE - fevrier 2015
    Dominique V.
    Dominique V.

    16 abonnés 221 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 février 2015
    Personnages peu attachants, paysages lunaires, pellicule à gros grain, motivations des personnages obscures, péripéties rocambolesques, jeu des acteurs inégal, empilement de saynètes, fin ouverte et absence de réflexion sur le monde paysan d’aujourd’hui, l’intérêt de mener une vie plus frugale, la fragilité de la planète ou l’abêtissement des jeux télévisés... Que ce fillm est laid, inutile et long !
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