Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
C’est dans [la] beauté [de ces jeunes gens] que la dureté de la vision de Rosales prend corps : si l’on a plus besoin d’ouvriers, on a plus que jamais besoin d’images. La violence de l’usine fait place à la violence du devenir-image du corps.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une oeuvre à la pertinence remarquable, un coup de foudre !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Ce nouveau film long du cinéaste Jaime Rosales confirme sa place prépondérante dans le cinéma espagnol d'aujourd'hui.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il ne fait enfin aucun doute qu'on tient avec "La Belle jeunesse" un des meilleurs films sur la crise actuelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Sensible et poignant.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un beau film de plus pour Rosales.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Bernard Achour
Ce survival économique et sentimental prend le pouls de l’époque, entre dérive criminelle et recours au porno amateur pour ne pas crever, jusqu’à un final en forme d’estocade.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
par Caroline Vié
Malgré un aspect poseur un peu irritant, "La Belle Jeunesse" recèle assez d’énergie et de sincérité pour emporter l’adhésion.
Culturopoing.com
par William Lurson
Jaime Rosales poursuit ses expérimentations dans un cadre quasi-documentaire avec des acteurs, professionnels et amateurs, très authentiques.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Cela ne laisse pas indifférent, mais convainc moins que les films précédents du réalisateur.
Le Parisien
par Hubert Lizé
(...) Le choix du réalisateur d’insérer dans le film des séquences capturées sur les réseaux sociaux ou les écrans de jeux vidéo s’avère assez perturbant.
Positif
par Michel Cieutat
Un film loin d'être inabouti, mais quelque peu incertain.
Télérama
par Cécile Mury
Cette « belle jeunesse » moderne - adultes tout neufs mais déjà vieillis par la crise, la dèche, le chômage - semble flotter dans un vide à la fois angoissant et doux, que Jaime Rosales souligne par des plans superbement composés (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Didier Péron
Quelque chose de déplaisant passe dans cette fiction de gauche, notamment dans sa façon de montrer que la sexualité est à la fois la cause des difficultés du couple et leur seule planche de salut économique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Avec son sujet sociétal, le réalisateur Jaime Rosales assène quelques moments forts sur l'époque et la jeunesse sacrifiée mais son film pèse trois tonnes, cédant à des coquetteries visuelles clinquantes enfermant, et condamnant incidemment, ses deux personnages dans l'impasse d'une époque sans pitié.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
Cette exploration de la mise en scène de soi, qui aurait pu donner au film un semblant d’actualité, reste trop décorative pour détourner le récit de son trajet sans surprise.
Critikat.com
C’est dans [la] beauté [de ces jeunes gens] que la dureté de la vision de Rosales prend corps : si l’on a plus besoin d’ouvriers, on a plus que jamais besoin d’images. La violence de l’usine fait place à la violence du devenir-image du corps.
aVoir-aLire.com
Une oeuvre à la pertinence remarquable, un coup de foudre !
L'Humanité
Ce nouveau film long du cinéaste Jaime Rosales confirme sa place prépondérante dans le cinéma espagnol d'aujourd'hui.
Le Monde
Il ne fait enfin aucun doute qu'on tient avec "La Belle jeunesse" un des meilleurs films sur la crise actuelle.
Les Fiches du Cinéma
Sensible et poignant.
Les Inrockuptibles
Un beau film de plus pour Rosales.
Première
Ce survival économique et sentimental prend le pouls de l’époque, entre dérive criminelle et recours au porno amateur pour ne pas crever, jusqu’à un final en forme d’estocade.
20 Minutes
Malgré un aspect poseur un peu irritant, "La Belle Jeunesse" recèle assez d’énergie et de sincérité pour emporter l’adhésion.
Culturopoing.com
Jaime Rosales poursuit ses expérimentations dans un cadre quasi-documentaire avec des acteurs, professionnels et amateurs, très authentiques.
L'Obs
Cela ne laisse pas indifférent, mais convainc moins que les films précédents du réalisateur.
Le Parisien
(...) Le choix du réalisateur d’insérer dans le film des séquences capturées sur les réseaux sociaux ou les écrans de jeux vidéo s’avère assez perturbant.
Positif
Un film loin d'être inabouti, mais quelque peu incertain.
Télérama
Cette « belle jeunesse » moderne - adultes tout neufs mais déjà vieillis par la crise, la dèche, le chômage - semble flotter dans un vide à la fois angoissant et doux, que Jaime Rosales souligne par des plans superbement composés (...).
Libération
Quelque chose de déplaisant passe dans cette fiction de gauche, notamment dans sa façon de montrer que la sexualité est à la fois la cause des difficultés du couple et leur seule planche de salut économique.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Avec son sujet sociétal, le réalisateur Jaime Rosales assène quelques moments forts sur l'époque et la jeunesse sacrifiée mais son film pèse trois tonnes, cédant à des coquetteries visuelles clinquantes enfermant, et condamnant incidemment, ses deux personnages dans l'impasse d'une époque sans pitié.
Cahiers du Cinéma
Cette exploration de la mise en scène de soi, qui aurait pu donner au film un semblant d’actualité, reste trop décorative pour détourner le récit de son trajet sans surprise.