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    White God
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    124 critiques spectateurs

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    MC4815162342
    MC4815162342

    402 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2015
    Voilà le genre de film qui me donne envie de cracher mon venin sur l'humain, déjà qu'en temps normal je trouve l'humain honteux, pitoyable, menteur, fourbe, sans cœur et bien d'autres mots méchants mais tellement vrais, mais alors quand je vois un film comme celui ci, je serais près à n'importe quoi.
    Film que j'ai eu un peu de mal à voir d'ailleurs, c'est très rare voir jamais arrivé que j'ai du mal devant un film, car moi qui suis un amoureux des animaux, je serais près à voir mourir n'importe quel homme, femme ou enfant du moment qu'on laisse les animaux en paix, ils n'ont rien fait et rien demandé, alors pourquoi les maltraiter, les enrager, les frapper, les tuer ? Pourquoi, pour l'argent, pour manger, pour le plaisir ? Ce qui est triste c'est de ne rien pouvoir faire face à ça....

    Quoiqu'il en soit et faisant abstraction de la haine que j'ai ressenti pendant deux heures, White God et non Dog comme il serait facile de croire, était un film que j'attendais vraiment, je suis adepte des films où quelque chose en particulier attaque les autres, zombies, chiens ou même oiseaux.
    Et oui les oiseaux, comme la critique sur l'affiche l'indique et comme on pouvait le ressentir via la bande annonce, ce film rappelle fortement les fameux oiseaux de tonton Hitchcock, au final la ressemblance ne sera que dans l'attaque des animaux, car le fond n'est pas vraiment pareil, les oiseaux attaquaient sans raison, alors qu'ici ce n'est pas une question de rage, mais de vengeance.

    Mystique ou rare, cet événement pourrait-il se réaliser un jour en vrai ? Je ne sais pas et je ne pense pas, la planète des chiens ? Mouais, ils n'ont pas ça en eux, malheureusement, car je ne demanderais que ça que les animaux prennent le contrôle sur les humains, qu'ils leurs donnent de la pâté, les traînent en laisse et les enferment dans des cages.
    Kornél Mundruczó.... le genre de nom qu'il vaut mieux écrire que dire, même si à l'écrit le copié collé est le plus efficace, livre ici un film étrange qu'on pourrait qualifier d'ovni, la mise en scène est maîtrisée, la réalisation soignée, le casting juste et la bande son plutôt bonne. Pour ce qui est du scénario, il n'est pas mauvais, mais ayant eu du mal avec la maltraitance des chiens, je n'ai pas pu adorer, et je ne sais pas si j'aurais adoré tout court, c'est une histoire intéressante qui prend son temps, l'animal qui prend sa revanche est une base bien choisie, construite de façon plus intimiste et minimaliste qu'un "la planète des singes", mais de là à être incroyable, je ne sais pas.

    En bref, White God s'éloigne de ce à quoi je m'attendais, il s'en éloigne pas mal d'ailleurs, mais ça reste une oeuvre plutôt unique et intéressante portée par un casting de chiens impressionnants, j'imagine le boulot de dressages derrière.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 décembre 2014
    excellent film. Au début j'ai eu peur d'assister à une série de clichés éculés des méchants humains qui maltraitent de gentil animaux. Mais en fait c'est plus fort que ça, on peut y voir une métaphore sur le racisme avec cette idée de "race pure". Le suspense est très bien géré, c'est surprenant, bien filmé, bien écrit et plein de références. Les 10 dernières minutes sont les plus incroyables. A découvrir!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 décembre 2014
    Si White God a remporté le prix Un certain regard en 2014, c'est que c'est un bon film me direz-vous, et vous auriez totalement raison. Pour moi, une des principale qualité du film est de voir à quelle point le scénario du film est riche : on a tout d'abord une métaphore de la Shoah pendant environ 45 minutes, puis une critique de la supériorité de l'homme blanc sur les autres (d'où le titre) avec une métaphore de l'esclavage et enfin une révolte et une fin rappelant Les oiseaux d'Hitchcock mais avec des chiens et comment retrouver son humanité (vous ne rêvez pas, je parle bien de l'humanité du chien) après avoir vécu les pires événements possibles et inimaginables, avec en fil rouge l'amitié entre une jeune adolescente et un chien. On a l'impression que Mundruczò veut montrer que l'on peut aborder un nombre assez incroyable de sujets avec comme point de départ une jeune fille qui perd son chien.

    Ensuite on peut souligner le travail absolument monstrueux fait auprès des chiens. Mundruczò a donné un coté humain aux chiens de manière assez exceptionnelle et fait passer un très grand nombre d'émotions à travers eux et Hagen en particulier. Ensuite, lors de la révolte nous avons un TRÈS grand nombre de chiens à l'écran et il y a carrément une scène où les chiens courent, se font tirer dessus puis rebroussent chemin, ce qui veut dire que les chiens courent dans un sens, rebroussent chemin et certains doivent rester au sol. Autrement dit, c'est un travail monumental.
    Mais White God présente aussi et surtout une image absolument magnifique. La mise en scène est exceptionnelle, avec des plans d'ensemble très froids avec un cadre millimétré, mais aussi une lumière superbe et très parlante sur les personnages : quand les chiens tuent l'homme qui esclavagisait Hagen, Hagen est dans le noir, on ne dicerne qu'une forme, quand il retrouve son humanité, il est en pleine lumière.

    Pour conclure, on peut dire que White God a un scénario extrêmement bien fourni et une image magnifique, ce qui en fait un très bon film qui a vraiment mérité son prix Un certain regard.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    600 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 décembre 2014
    Comment Gregg Araki peux t'il bâcler à ce point une mise en scène alors qu'il a le sens de l'espace. L'entrée est superbe et les ralentis bien justifiés s'ils annoncent soit un cauchemar soit l'arrivée du générique, ce qui est le cas. Ensuite ce n'est plus ''regardable'', de plus en plus laid sauf lorsque la meute des chiens se déplace. Ce n'est plus une caméra, c'est un oeil au bout de la trompe d'un éléphant. Aussi mal filmé cela existe. mais c'est rare, inutile d'entrer dans les détails. Le scénario astucieux n'avait pourtant aucune chance de se réaliser sans images de synthèse, certes fausses mais plus ''vraies'' à l'écran. Quand on connait les chiens, c'est insupportable de voir en permanence le changement du ''héros'' par différents autres chiens et tous les regards tendres des autres toutous censés être des mangeurs d'hommes (les chiens ne sont pas des loups). En plus,il n'y a aucun gentil dans ce film, la mode du cinéma actuel est éprouvante. Tout est noir, les rapports père/fille sont cruels, la police ne sait que tuer, seules quelques larmes égoïstes sont versées.La vraie vie est suffisamment dénué de tendresse sans en rajouter au cinéma censé nous faire passe des moments agréable. White God n'est en fait qu'un film horrible qui nous est faussement présenté dans la lignée des ''Oiseaux '' d'Hitchcock. Est-ce une tromperie voulue ou une incompétence absolue? Vu autrement, présenté autrement et filmé autrement, il y avait de bonnes idées à exploiter. Dans tous les cas dédier ce film à Miklos Jancso est surement gentil mais bien imprudent.
    pierre72
    pierre72

    142 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 décembre 2014
    Partant pour trois mois en Australie, une femme laisse sa préado de fille et son chien chez son père. Les rapports filiaux sont assez tendus surtout que le père (et son voisinage) ne tolère guère la présence d'Hagen, le fidèle compagnon à 4 pattes. Il finira par l'abandonner au bord d'une route. L'adolescente recherchera son chien. Le chien vivra, perdu dans la ville, de multiples aventures...
    Raconté comme cela, vous penserez que nous sommes dans un remake de " Lassie, chien fidèle". Mais nous sommes à Budapest, capitale abritant en ce moment un régime franchement conservateur, et les chiens qui ne sont pas de pures races, sont taxés ou envoyés en fourrière pour être vendus ou carrément supprimés. La métaphore est évidente et irrigue le film. Il est évident que marteler un discours contre la xénophobie actuelle est toujours bon à prendre, même si parfois asséné de façon un peu lourde. Cependant "White god" (j'allais écrire dog ) ne se résume pas qu'à cela. Si la première partie mixe le film animalier larmoyant façon Disney avec une chronique sur le passage à l'adolescence et les rapports tumultueux avec le père, il prend, dans sa seconde partie, un virage horrifique. Là aussi, le film hésite entre le film d'horreur de série B et le conte fantastique ( avec un clin d'oeil façon "Joueur de flûte d'Hamelin" ). Force est de reconnaître, que malgré un scénario à grosses ficelles (oui, je sais, c'est un conte quelque part) et une dénouement un peu gnangan, cette dernière partie est prenante. Les plans de la meute de chiens assoiffés de vengeance sont particulièrement convaincants et sont, à eux seuls, une excellente raison d'aller voir le film.
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    WutheringHeights
    WutheringHeights

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 décembre 2014
    Loin de l'anthropomorphisme des productions Disney, Kornel Mundruczo nous entraîne dans une révolte canine d'une violence extrême. Des chiens abandonnés et maltraités vont fomenter une vengeance implacable envers les hommes responsables de leur sort. (...) Kornel Mundruczo filme cette rage (c'est le cas de le dire) comme un flot révolutionnaire qui emporte tout sur son passage, dépassant allègrement le point de non-retour. Le suspense et la catharsis sont à leur comble et le film atteint une intensité rare. (...) Assurément un grand film enragé.

    LA SUITE :
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 août 2015
    Projeté à Cannes en 2014 dans la catégorie « Un certain Regard », « White God » de Kornel Mundruczo jouit depuis d’une réputation flatteuse. Réflexion sur le totalitarisme mais aussi hommage aux « Oiseaux » d’Alfred Hitchcock, le film ne laisse pas d’intriguer. Des chiens qui prennent possession des rues de Budapest comme autrefois des oiseaux envahissaient Bodega Bay petite station balnéaire au nord de San Francisco, cela interroge forcément, notamment sur les conditions de tournage. Pas d’effets spéciaux, s’est rapidement empressée de faire savoir l’équipe du film. Intrigant certes, mais un peu décevant à l’arrivée. Le propos politique mis en avant dans la promotion du film ne sert en réalité que de sous-texte à une intrigue essentiellement basée sur la traditionnelle relation contrariée entre un enfant et un animal. Mundruczo qui a écrit le scénario semble constamment hésiter entre les deux voies possibles qui s’offrent à lui, finissant par livrer une sorte de mélange entre le très engagé et radical « Dressé pour tuer » de Samuel Fuller (1982) et le très larmoyant et anthropomorphique « Hatchi » de Lasse Hallström (2009). Pourtant, le Budapest et le régime hongrois que nous présente Mundruczo n’ont rien de réjouissant, participant à dénoncer assez clairement les penchants totalitaires du premier ministre actuel Viktor Orbàn. Les chiens ont ici remplacé les diabétiques à qui le gouvernement d’Orbàn impose des contrôles sévères sur leur régime alimentaire, susceptibles d’entrainer la suspension du remboursement de leurs médicaments. Les dérives du régime politique hongrois ne sont donc pas mises sous l’éteignoir mais elles n’en sont pas pour autant exploitées comme ressort principal de l’action, Mundruczo se laissant entrainer dans le piège facile de l’anthropomorphisme qui fonctionne à tout coup pour nous faire nous indigner du triste sort réservé aux chiens bâtards (renvoi à l’eugénisme pratiqué par le régime nazi ?) coincés entre l’abattage en fourrière et l’exploitation cruelle par des aigrefins pour alimenter des paris autours de combats clandestins. Le suspense orchestré autour de la séparation du chien Hagen et de sa jeune maîtresse Lili (Zsofia Potta qui rappelle curieusement Natalie Portman enfant) fonctionne plutôt bien, mais en transformant Hagen en justicier menant la révolte tel Spartacus, Mundruczo donne une tonalité toute autre à son film au détriment de sa promesse apocalyptique et fantastique initiale. Sans doute un peu trop opportuniste, Mundruczo emprunte à tous les poncifs du film animalier, d’où la relative déception.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 décembre 2014
    Impressionnant. Un film qui se déroule en deux parties, la première heure, qui se concentre sur le mélodrame, et la deuxième heure, où la partie apocalyptique de l'histoire fait son œuvre. Di la première partie se laisse regarder avec plaisir mais sans trop d'originalité, la mise en scène et la puissance émotionnelle de la seconde partie est absolument incroyable. Une belle, très belle surprise.
    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 décembre 2014
    Ce film m'a complètement retournée et bouleversée.
    Ce dimanche la salle était remplie aux 3/4 et une fois le film terminé, cela a été dur pour nous spectateurs de sortir de la salle tant le film est assez terrifiant et bouleversant.
    Il a eu un prix à Cannes et c'est amplement mérité.
    Attention, des scènes sont très dures, on n'est pas là pour se détendre mais pour réfléchir.
    Film remarquable quoiqu'un peu trop dur par moments.
    cyclo86
    cyclo86

    15 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 décembre 2014
    Un sacré suspense... Une sorte de parabole sur le totalitarisme (la famille, où les enfants sont dominés par les parents, le boulot, où un prof se retrouve à travailler aux abattoirs, l'orchestre, où le chef domine les musiciens, les chiens, dominés par les humains), ça pourrait être une sorte de "Demain les chiens" (le beau roman SF de Simak), croisé avec "Spartacus" (roman de Fast et film de Kubrick)... Un suspense diabolique. Et où l'aperçoit que la musique adoucit les moeurs, même canines.
    Bravo aux chiens, qui mériteraient un prix d'interprétation. mais les acteurs sont tous parfaits dans cet OFNI qui nous vient de Hongrie !
    Jack K.
    Jack K.

    15 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 septembre 2014
    Des plans académiques annonciateurs d’un final plutôt réussi, et deux intriques parallèles, une canine et une rapport père-fille, voici à quoi nous conviait Kornél Mundruczó dans le cadre du festival du film fantastique. Cela ne suffit pas hélas pour faire un bon film. Le travail de dressage de 250 chiens est certes louable mais un chien ne fait pas forcément un bon acteur, contrairement aux comédiens humains qui sont tous excellents, avec mention spéciale à la petite Lili. Enfin, pour nous rendre cette révolte canine intelligible et convaincante, le réalisateur a choisi la caméra sautillante et le cadrage épileptique, tout deux très fatiguant pour le pauvre spectateur.
    Moyen sans plus.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 décembre 2014
    40% de Lassy
    10% de film pour enfants
    40% de la Guerre des singes
    5% de Brigitte Bardot
    5% de végétarisme = film décevant, à la bande annonce trompeuse. Rien de métaphorique ou de métaphysique dans ce film. Juste un film pour enfant sur une gamine qui ne veut pas abandonner son chien dans une (méchante) société qui maltraite les animaux et qui mange de la viande.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 septembre 2014
    White God (2014), que nous pourrions aisément confondre avec le titre du film de Samuel Fuller "White Dog" (1982) parle d'un chien et de son épopée dans une ville Hongroise.
    Ce parallèle n'est toutefois pas le seul lien avec le film de Fuller puisque il est également question ici d'un dressage aux méthodes radicales.
    L'introduction à l'imagerie apocalyptique et l'apparition de cette meute est un joyaux du 7ème art.
    Puis le film débute et celui-ci se concentre dans un premier temps sur Lili, une jeune fille qui se retrouve seule avec son père pendant plusieurs mois.
    A part Lili, la haine décrite ici de l'homme pour l'animal est terrifiant. Considérait comme un nuisible, un objet de marchandage ou une machine à tuer, le réalisateur écorche l'humanité de façon irrévocable.
    Mais l'animal ne servirait-il pas de prétexte pour offrir à l'auteur le moyen de décrire les heures sombres de notre histoire ?
    Hommage non dissimulée au cinéma de genre, cette histoire vengeresse accroche définitivement le spectateur malgré sa durée de 119 minutes.
    Tantôt sur le chien et son incroyable destin, tantôt sur cette adolescente rebelle qui s'ouvre à la vie, la narration nous mène vers un final qui n'atteindra pas le sublime auquel je m'attendais.
    Mais peu importe mon avis sur ce dernier point car il est très facile de reconnaître les qualité indéniables de cette oeuvre dénonciatrice.
    Félix P
    Félix P

    8 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 novembre 2014
    un "conte"métaphorique sociétal singulier... savamment inspiré,très inventif et créatif au service d'une mise en scène percutante. Ce,pouvant concilier des moments d'émotion,de suspens et de violence,contre balancés par une musique des plus harmonieuses.Une belle réussite,avec mention spéciale aux 2 dresseurs de cette meute de 280 chiens!! Une belle réussite.
    Nos amis les bêtes,nos amis les hommes? C.Q.F.D...
    nikolazh
    nikolazh

    63 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 décembre 2014
    Malgré un pitch plutôt original et quelques scènes réussies, le film s'enlise dans une morale ridicule et des références au nazisme aussi surprenantes que déplacées et incompréhensibles. On a au final plus l'impression de voir un Disney dégénéré (avec sa vision en noir et blanc du monde), où les chiens au lieu de parler entre eux pour sauver le bébé dans la maison en flamme parleraient entre eux pour y foutre le feu, à la maison, et se venger des méchants humains qui y vivent. En résulte un décalage énorme entre les intentions, réalistes, et le rendu du film, qui sombre parfois dans le ridicule et manque vraiment de crédibilité. Une sorte de planète des singes canins, mais avec le fond en moins, et le talent ! (le réalisateur se contentant de secouer sa caméra dans tous les sens pendant une bonne partie du film pour faire plus "vrai"). Bref, c'est très très long, bancal, ça manque de finesse d'écriture, d'un bon réalisateur, et d'un scénario aboutit !
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