Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Paris Match
par Yannick Vely
Bluffant dans sa mise en scène garantie sans effet numérique, maîtrisé de bout en bout et avec en prime un plan final qui vous hérissera le poil, "White God" est la confirmation que l'on tient en Kornel Mundruczo un grand cinéaste, six ans après le sublime "Delta".
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
20 Minutes
par Caroline Vié
Le dynamisme du film surprend constamment en faisant aboyer de plaisir un spectateur bientôt gagné à la cause de Hagen (...).
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Au moins vingt minutes finales exceptionnelles, à l’échelle de ce seul film, à celle d’une œuvre, et d’un art comme d’une époque de plus en plus envahis par une mollesse plombée, chargée d’agressivité poisseuse – dont ce film renvoie aussi un écho un peu désolant, pour mieux bouleverser ensuite.
Gala
par Jean-Christian Hay
(...) le réalisateur hongrois nous tient en haleine jusqu’au bout et réussit à faire basculer le spectateur du côté des animaux. Un film au poil.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Il faut reconnaître au réalisateur la réussite de la photographie et de la mise en scène, nous montrant une Hongrie hors du temps et loin des clichés que véhicule l'Europe de l'Est.
L'Obs
par Romain Faisant
(...) "White God" est un drame acéré et réflexif avec de vrais partis pris visuels et narratifs qui maintiennent constamment le spectateur dans une sorte de cauchemar grandissant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un surprenant conte horrifique, où les pulsions primitives se déchaînent.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Sa mise en scène efficace sert une intrigue à surprises et finit en apothéose, grâce à l’impressionnant travail fourni auprès des 250 héros à quatre pattes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Hubert Lizé
Ce film (est) bourré de sensibilité mais effrayant par certains aspects.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Métaphore sociétale lourde de premier degré autant que conte fantastique naïf, “White God” ne laissera pas indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Danièle Heymann
Peu importe, la mordante allégorie canine de Mundruczo prend un relief puissant, militant, vaillant, venant d'un pays, le sien, la Hongrie, ou le parti néonazi Jobbick ne cesse de progresser, tous crocs dehors.
Metro
par Mehdi Omaïs
Admirablement mis en scène, le résultat déroute par sa singularité, rompant avec le tout-venant. Et ce, malgré ses références assumées.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Des images spectaculaires avec des hordes d'animaux redevenus sauvages.
Positif
par Michel Cieutat
Le cinquième long métrage de l'auteur de l'auteur de "Johanna" (...) se présente comme un conte visionnaire (...). Un appel à une révolte légitime, parfaitement cinématographiée par un cinéaste qui sait s'imposer, de film et film, des genres différents et leur appliquer la forme appropriée. (...) Un film pour tous les publics, des admirateurs de Miklós Jancsó aux mangeurs de pop-corn.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le comportement imprévisible de ses acteurs à quatre pattes a obligé cet héritier des grands esthètes hongrois (...) à dynamiser sa mise en scène : son cinéma, au formalisme parfois pesant, y a trouvé un nouveau souffle salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Un drame poignant, dont les puissantes mâchoires serrent le spectateur à la gorge pour ne plus le lâcher jusqu’au générique de fin.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Œuvre peu sympathique, mais virtuose et prenante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Cette fable moderne très habile – mais parfois assez éprouvante pour le spectateur (...)– joue avec les genres du cinéma en échappant aux catégories attendues.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Franck Nouchi
La démonstration est parfois lourde. Reste quelques moments de cinéma incroyables - mention spéciale aux dresseurs de chiens !
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Dans sa deuxième partie, le film prend un virage saisissant. Les chiens se révoltent et s’échappent du chenil. La meute hurlante déferle sur la ville.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Cédric Delelée
Un film singulier qui tient à la fois de la love story et de l'épouvante canine.
Première
par Christophe Narbonne
L’équilibre entre les deux histoires parallèles (...) n’est pas toujours atteint par Kornél Mundruczó, davantage intéressé par le challenge que représente l’anthropomorphisme réaliste et gore qu’il imprime au film. De ce point de vue, "White God" est une incontestable réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
C'est un peu court, bizarrement bâclé, et pas à la hauteur de ce que ce film original et inattendu avait sous le capot.
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Une bien maigre substance, pour un film à l’ambition visuelle si prononcée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Kornel Mundruczó aimerait glaner la palme de la singularité avec cette fable mixant allégorie politique, horreur sociale, mélo toutou pour enfants. Mais la longue liste d'intentions limite paradoxalement la portée de l'ensemble qui, à force de vouloir explorer tous les genres, n'en développe aucun.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Paris Match
Bluffant dans sa mise en scène garantie sans effet numérique, maîtrisé de bout en bout et avec en prime un plan final qui vous hérissera le poil, "White God" est la confirmation que l'on tient en Kornel Mundruczo un grand cinéaste, six ans après le sublime "Delta".
20 Minutes
Le dynamisme du film surprend constamment en faisant aboyer de plaisir un spectateur bientôt gagné à la cause de Hagen (...).
Cahiers du Cinéma
Au moins vingt minutes finales exceptionnelles, à l’échelle de ce seul film, à celle d’une œuvre, et d’un art comme d’une époque de plus en plus envahis par une mollesse plombée, chargée d’agressivité poisseuse – dont ce film renvoie aussi un écho un peu désolant, pour mieux bouleverser ensuite.
Gala
(...) le réalisateur hongrois nous tient en haleine jusqu’au bout et réussit à faire basculer le spectateur du côté des animaux. Un film au poil.
L'Ecran Fantastique
Il faut reconnaître au réalisateur la réussite de la photographie et de la mise en scène, nous montrant une Hongrie hors du temps et loin des clichés que véhicule l'Europe de l'Est.
L'Obs
(...) "White God" est un drame acéré et réflexif avec de vrais partis pris visuels et narratifs qui maintiennent constamment le spectateur dans une sorte de cauchemar grandissant.
Le Dauphiné Libéré
Un surprenant conte horrifique, où les pulsions primitives se déchaînent.
Le Journal du Dimanche
Sa mise en scène efficace sert une intrigue à surprises et finit en apothéose, grâce à l’impressionnant travail fourni auprès des 250 héros à quatre pattes.
Le Parisien
Ce film (est) bourré de sensibilité mais effrayant par certains aspects.
Les Fiches du Cinéma
Métaphore sociétale lourde de premier degré autant que conte fantastique naïf, “White God” ne laissera pas indifférent.
Marianne
Peu importe, la mordante allégorie canine de Mundruczo prend un relief puissant, militant, vaillant, venant d'un pays, le sien, la Hongrie, ou le parti néonazi Jobbick ne cesse de progresser, tous crocs dehors.
Metro
Admirablement mis en scène, le résultat déroute par sa singularité, rompant avec le tout-venant. Et ce, malgré ses références assumées.
Ouest France
Des images spectaculaires avec des hordes d'animaux redevenus sauvages.
Positif
Le cinquième long métrage de l'auteur de l'auteur de "Johanna" (...) se présente comme un conte visionnaire (...). Un appel à une révolte légitime, parfaitement cinématographiée par un cinéaste qui sait s'imposer, de film et film, des genres différents et leur appliquer la forme appropriée. (...) Un film pour tous les publics, des admirateurs de Miklós Jancsó aux mangeurs de pop-corn.
Télérama
Le comportement imprévisible de ses acteurs à quatre pattes a obligé cet héritier des grands esthètes hongrois (...) à dynamiser sa mise en scène : son cinéma, au formalisme parfois pesant, y a trouvé un nouveau souffle salutaire.
aVoir-aLire.com
Un drame poignant, dont les puissantes mâchoires serrent le spectateur à la gorge pour ne plus le lâcher jusqu’au générique de fin.
L'Humanité
Œuvre peu sympathique, mais virtuose et prenante.
La Croix
Cette fable moderne très habile – mais parfois assez éprouvante pour le spectateur (...)– joue avec les genres du cinéma en échappant aux catégories attendues.
Le Monde
La démonstration est parfois lourde. Reste quelques moments de cinéma incroyables - mention spéciale aux dresseurs de chiens !
Les Inrockuptibles
Dans sa deuxième partie, le film prend un virage saisissant. Les chiens se révoltent et s’échappent du chenil. La meute hurlante déferle sur la ville.
Mad Movies
Un film singulier qui tient à la fois de la love story et de l'épouvante canine.
Première
L’équilibre entre les deux histoires parallèles (...) n’est pas toujours atteint par Kornél Mundruczó, davantage intéressé par le challenge que représente l’anthropomorphisme réaliste et gore qu’il imprime au film. De ce point de vue, "White God" est une incontestable réussite.
Charlie Hebdo
C'est un peu court, bizarrement bâclé, et pas à la hauteur de ce que ce film original et inattendu avait sous le capot.
Critikat.com
Une bien maigre substance, pour un film à l’ambition visuelle si prononcée.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Kornel Mundruczó aimerait glaner la palme de la singularité avec cette fable mixant allégorie politique, horreur sociale, mélo toutou pour enfants. Mais la longue liste d'intentions limite paradoxalement la portée de l'ensemble qui, à force de vouloir explorer tous les genres, n'en développe aucun.