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    The Last Face
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    2,1
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    83 critiques spectateurs

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    Padami N.
    Padami N.

    61 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 janvier 2017
    quelques effets visuels ne sauvent pas une narration insipide avec trop de pathos sur la guerre et des désastres des le départ comparer les douleurs et brutalité de la guerre a l amour impossible. .....îiqie le genre de discours du film
    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    45 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2017
    Je trouve les critiques bien dures. Certes, les scènes romantiques sont un peu gnangnan, certes les dialogues sont souvent fort creux, certes le message "l'Occident pourrait tout solutionner si seulement il le voulait" est aussi simpliste que naïf, certes la phrase d'introduction qui met au même niveau l'horreur de la guerre et un amour impossible est limite indécente, mais ceci mis à part le film est assez réussi, entre scènes de terrain bien menées et scènes de calme à l'Occidental qui jouent de façon assez juste sur le contraste entre l'horreur des uns et le confort des autres.

    Il faut aussi bien voir ce à quoi on a affaire avec ce film: ceux qui lui reprochent son message moralisateur ou de mêler les genres se trompent de cible car c'est avant tout un film romantique, même si ancré dans un contexte historique, ici les horreurs de la guerre. Impossible de ne pas penser à Casablanca en le voyant.
    Claudine G
    Claudine G

    202 abonnés 493 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 janvier 2017
    Très décevant. Certes Charlize Théron a un joli visage, mais de là à ce que la caméra soit fixée en quasi-permanence sur son regard, ce n'est pas ce que j'attendais du film. Cette histoire d'amour à côté du thème abordé n'aurait pas dû prendre autant de place. Médecins du Monde est une association extraordinaire qui manquant de moyens aussi bien sur le plan médical, moyens financiers s'efforce de faire du mieux possible, en temps de guerre, sur le terrain, pour aider aussi bien les malades que les habitants. Or, à part quelques scènes où l'on voit la violence mais également les conditions de travail indescriptibles auxquelles ils font face, on n'arrive pas réellement à juger de l'ampleur de tout le travail qu'ils font. C'est bien dommage, car c'est un film très long mais qui aurait pu l'être sans que l'on s'y ennuie. Ce qui a été mon cas ou j'en attendais trop....
    David_787
    David_787

    22 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2017
    Last Face, le pavé dénonciateur de Sean Penn, fait le pari risqué de mettre en parallèle le conflit au Libéria et une histoire d’amour entre un médecin humanitaire et une directrice d’ONG. La structure du film est basée sur l’impact factuel et métaphorique de leurs missions humanitaire, directement sur leur vie de couple...
    Voir la suite de la critique :
    traversay1
    traversay1

    3 554 abonnés 4 847 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 janvier 2017
    Après l'éreintement en règle de son film à Cannes, au milieu des innombrables sorties de janvier, y a t-il lieu de sauver le soldat Sean Penn ? Hélas, non, même si faire de The last Face le plus mauvais film de tous les temps est tellement exagéré (parfois les critiques racontent des bêtises, non ?). Les qualificatifs d'obscène et d'indécent ont également été écrits et, là encore, il est nécessaire de relativiser, ce n'est que du cinéma et la grande maladresse (naïveté ?) de Penn n'en fait pas pour autant un sombre imbécile ni d'ailleurs une nullité en tant que réalisateur comme il l'a démontré auparavant. Au demeurant, raconter une histoire d'amour avec une guerre horrible en toile de fond est loin d'être inédit pour le cinéma américain y compris lors des grandes années hollywoodiennes, au milieu du siècle dernier. Simplement, ici, d'une part la romance ne fonctionne pas, dommage pour Theron et Bardem, qu'on a vus meilleurs mais qui ne sont pas catastrophiques, et surtout leurs divergences quant à leur rôle d'humanitaires sont platement montrées et ne constituent pas le ressort dramatique qu'espérait sans doute le réalisateur. En passant, soulignons le désastre des seconds rôles avec deux français particulièrement impactés : Jean Reno, lequel prononce la réplique la plus ridicule du film, et Adèle Exarchopoulos, dont la prestation est purement affligeante. Mais évidemment, le pire est cette espèce de pensée préfabriquée concernant les guerres en Afrique, doublée d'un ton moralisateur voire néo-colonialiste qui fait frémir. Ajoutez-y une complaisance douteuse pour des images gore et la barque est suffisamment remplie. Stars and Tripes, merci bien ! Peut-être y aura t-il des films plus mauvais cette année mais ce n'est pas "gagné;" si l'on ose dire (tristement).
    Serial Lecteur Nyctalope
    Serial Lecteur Nyctalope

    16 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 janvier 2017
    Beaucoup de mal à comprendre les critiques. Le réalisateur n'a pas du tout voulu mettre sur un pied d'égalité les massacres et l'histoire d'amour. Je crois que la personnalité de Sean Penn est en cause une fois de plus et pas son film. Quand un écrivain est accusé d'horreurs bien après les faits son œuvre reste son œuvre il faut séparer l'auteur et l'œuvre. Ce film n'est pas passé loin d'être un très bon film mais malheureusement la qualité des doublages, la longueur du film, le manque d'éléments extérieurs en fait un film moyen
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 672 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 janvier 2017
    Oui, The last face est bien le pire film que j'ai vu dans mon existence de cinéphile.

    Certains films sont mauvais, d'autres ratés, ou énervants parce que prétentieux. The last face est tout cela à la fois, et bien plus encore : il est haïssable.

    Je ne sais pas trop par où commencer tellement le film multiplie les ignominies, alors je vais commencer par le début.

    Le carton introductif du film donne le ton (je cite de mémoire) : "pour un occidental, le meilleur moyen de suspendre les guerres est d'envisager l'impossible amour". OK, les habitants d'Alep apprécieront : quand Bardem batifole avec Charlize Theron, les horreurs sont moins horribles. Dégueulasse.

    La façon esthétisante qu'à Sean Penn de filmer les ravages de la guerre en Afrique est à vomir : c'est non seulement une insulte au continent noir, mais aussi à l'intelligence du spectateur. Respecter la souffrance des peuples impliquerait de poser sa caméra et de regarder, plutôt que de se regarder (le nombril) comme le fait ce film immonde.

    Un des sommets du ridicule est atteint quand sont envoyés dans les airs des dizaines de cylindres d'air chaud : on dirait une animation de GO du club Med dans un camp de réfugiés, c'est scandaleux.

    L'histoire d'amour est plaquée, mal jouée, dans un style basé sur les ralentis et les clins d'oeil extatiques qui ressemblent à du Malick de pub pour shampoing. Mais le pire du pire est peut-être l'ahurissante médiocrité des seconds rôles : Adèle Exarchopoulos est nulle, et Jean Reno s'offre deux répliques ridicules dont le public se gausse immanquablement.

    Je crois que c'est la première fois de ma vie que j'ai eu l'irrésistible envie de siffler le film pendant sa projection.

    On devrait rembourser les spectateurs qui ont vu The last face, et leur verser une prime pour préjudice d'anxiété : le film est à la fois une insulte au bon goût et à la morale.
    Flaw 70
    Flaw 70

    259 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 janvier 2017
    Intronisé navet de la compétition officielle du Festival de Cannes 2016, The Last Face est un film mort-né. Dès sa première projection, le verdict à été sans appel, un film honteux, répugnant et qui exploite la misère humaine au nom d'une vision suprématiste et ignorante hollywoodienne qui utilise la guerre pour emballer une niaise histoire d'amour. Une haine unanime qui attise cependant une curiosité maso de voir les l'étendue des dégâts. Surtout que le film est réalisé par Sean Penn qui n'avait pas connu de faux pas jusque là et qui a offert de très bons morceaux de cinéma comme The Indian Runner ou Into the Wild en passant par The Pledge. 4 films réalisés avant ça et 4 réussites donc qu'a-t-il pu se passer pour que The Last Face soit autant une catastrophe ?

    Dès le départ, le carton d'ouverture qui présente la guerre au Soudan et au Liberia, là où se déroule la majeure partie du film, se révèle problématique. Mettant sur un pied d'égalité la brutalité de la guerre à l'amour impossible entre un homme et une femme. Déjà que comparer la guerre et sa violence à l'amour est extrêmement déplacé mais pourquoi l'amour entre un homme et une femme ? L'amour de deux femmes ou de deux hommes n'est-il pas aussi légitime ? Tout les problèmes du film peuvent être résumé par ce simple carton d'ouverture, qui brille par sa naïveté. Car il ne cherche pas à être irrespectueux ou déplacé, il brille simplement par sa sincérité ignorante et c'est peut être pire car on est face à un film qui parle de choses qu'il ne comprend pas et ne cherche pas à comprendre. L'exploitation de la misère humaine, la dépossession de la souffrance des opprimés qui ne s'incarne ici que par le regard des riches occidentaux et etc. Tout ça n'est pas voulu par ce film, qui n'est pas machiavélique mais juste terriblement maladroit.

    Contrairement à ce que l'on a pu lire, le film n'est pas délibérément répulsif dans son portrait, il n'est pas volontaire dans son opportuniste, il s'appuie sur les meilleurs intentions du monde mais comme l'on dit sur les bonnes intentions, elle pavent le chemin qui mène à l'enfer. Car ici l'enjeu principal sera le couple formé par Javier Bardem et Charlize Theron, pas le conflit qui prend des milliers de vies dans le pays où se déroule le film. La souffrance ne s'incarne qu'à travers se couple, les rebondissements, le drame et etc ne passe qu'à travers eux au point de tomber dans un final empli de malaise tellement le message que véhicule le film est vicié mais que celui-ci ne semble pas s'en rendre compte. Et c'est comme cela sur beaucoup de passages du film qui vient réduire le malheur humain en toile de fond d'une amourette adolescente et mal écrite. Car même l'histoire d'amour que le film tente de dépeindre n'est pas convaincante. Les dialogues sont risibles de nullités et le tout s'impose par son extrême lourdeur mais c'est la psychologie déplorable des personnages qui choquent le plus. Il ne fait aucun doute que les médecins qui opèrent dans ce genre de conflits trouvent une idylle pour palier à la violence de leurs quotidiens, l'histoire de The Last Face a déjà du avoir des précédents mais c'est la manière de traiter l'histoire qui se révèle dérangeant notamment à travers ceux qui l'incarne. Montrer l'amour malgré la mort aurait pu avoir un certain intérêt si les personnages féminins n'étaient pas totalement réduites à ça. Les deux seuls personnages féminins à avoir un minimum de développement ne sont réduites qu'à des groupies du médecin charismatique qui peut tous ce permettre car il est irrésistible. Le film en devient très sexiste dans sa vision du couple avec l'homme quasiment irréprochable qui se sacrifie, lui et son amour, pour la cause à laquelle il croit alors que la femme n'est que l'amoureuse transie qui ne se définit que par lui, ou dans une moindre mesure à son père.

    Dès la première voix-off du film, elle parle de son père, s'identifie à lui, elle explique clairement qu'elle est son héritière et qu'elle est ce qu'elle est grâce à lui mais qu'elle tente de s'affirmer pour ne pas être la "fille de". Sauf qu'elle ne va s'affirmer qu'à travers l'homme qu'elle aime, disant bien : "Avant de le connaitre je n'étais que l'idée de moi-même, je n'existais pas". Ce rapport de la femme par rapport à l'homme est totalement gerbant et pour le coup voulu par le film car il lui donne souvent le rôle de la "méchante incompréhensive", notamment à travers la scène où le personnage de Bardem l'humilie gratuitement alors qu'elle avait tout les droits de lui en vouloir. Et ce constat n'est pas vraiment aidé par le casting, Charlize Theron jouant bien trop souvent son personnage comme l'amoureuse aveugle qui regarde son homme la bouche entrouverte et les yeux rêveurs. Même si elle arrive ici et là, à trouver la justesse et transcender l'écriture nauséeuse de son personnage. Par contre, Javier Bardem est très bon. Il transmet bien les nuances de son personnage et arrive à le rendre aussi attachant que détestable. D'une certaine manière il laisse plus entrevoir les défauts de son personnage par la justesse de son jeu que ce que l'écriture imposait. Le reste du casting par contre n'arrive pas à suivre la cadence, Adèle Exarchopoulos reste dans la prestation vénère qui la caractérise, elle ne fait pas évoluer à son jeu et n'est pas aidée par un personnage honteusement écrit. Mais la palme revient à la prestation totalement dépassée de Jean Reno qui ne sait pas ce qu'il fait là et qui récite ses lignes sans la moindre conviction.

    Après tout n'est pas à jeter dans The Last Face. Visuellement le film se montre très abouti, en grande partie par la sublime photographie de Barry Ackroyd qui apporte un cachet indéniable à l'ensemble. Et par le passé, Sean Penn à déjà prouvé être un metteur en scène attentif et certaines scènes sont saisissantes par leurs sens du détail et du réalisme, la reconstitution des moments de guerres, des blessures et des opérations sont impeccables et donne un côté très crue et consciencieux sur le plan technique. Le film est très beau à regarder et fait preuve d'un savoir-faire dans la mise en scène, certains plans sont très travaillés, les mauvaises langues pourront dire que cela fait pub télévisé, mais c'est un style vers lequel Penn se tourne depuis Into the Wild. Il a une manière très esthétique et naturaliste de vouloir filmer ses pamphlets humanistes, se rapprochant du cinéma de Malick sans en atteindre la grâce mais bénéficiant d'une certaine maîtrise. Il y a aussi de bonnes idées ici et là, notamment dans certains passages quand il floute le décor pour que seuls les deux personnages apparaissent nette au milieu de la foule, symbolisant leur union ou encore avec certains plans très travaillés et qui marque la rétine. Dommage qu'il se contente de passer en boucle la même chanson des Red Hot Chili Peppers pour faire sa B.O., se qui se montre vite agaçant.

    The Last Face est sans aucun doute un mauvais film. Maladroit et involontairement déplorable sur le plan moral, le film n'est qu'une accumulation de moments gênants et de malaise qu'il ne contrôle pas. Le fait que ce ne soit pas voulu n'est pas excusable mais tant à nous rendre désolé face à autant d'ignorance et de complaisance dans cette vision que le film transmet. Pour autant, l'érigé comme la plus grosse insulte de l'histoire du cinéma est un peu exagéré, la maladresse est un défaut mais pas un des plus graves surtout que ceux qui ont été les plus virulents sur le film ne sont pas nécessairement les mieux placés pour s'imposer en objecteur de conscience, surtout qu'ils se retrouvent dans la même position qu'ils reprochent au film, parler de quelque chose qui ne les concernent pas et qu'ils ne comprennent pas. Donc pointer les défauts évidents du film est une chose, mais le faire correctement en est une autre car même si la démarche se fourvoie et devient ratée, elle reste sincère et loin d'être malfaisante. La seule chose de vraiment répugnante est la vision misogyne du couple, et pour le coup c'est bien trop appuyé par l'écriture lourde et souvent ridicule. Mais tout n'est pas à jeter, la réalisation reste maîtrisée et souvent très belles tandis que les deux acteurs principaux arrivent par moments à avoir leurs moments de grâce.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    Je ne comprends pas les critiques si négatives du film. Incompréhensible! Acteurs grandioses, sujet traité avec justesse et dignité. Belle histoire d'amour mais âmes sensibles s'abstenir.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    630 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    J'ai vu les très mauvaises critiques et je me souviens de l’accueil très froid que "The Last Face" a reçu lors de sa diffusion en compétition officielle au Festival de Cannes, mais j'y suis allé sans voir la bande-annonce ni lire les raisons de cet échec unanime. On ne peut que laisser une chance à Sean Penn, réalisateur du magnifique "Into the Wild", et à ces deux superbes acteurs qui sont Charlize Theron et Javier Bardem. En effet, ils nous racontent une histoire d'amour impossible entre deux médecins humanitaires qui se rencontrent sur le terrain, à savoir au Libéria et au Soudan du Sud. Le montage est décousu, les passions sont à fleur de peau et les cruautés de la guerre sont non-censurées. Malgré le talent des acteurs, l'histoire se révèle sans surprises, parsemée de nombreux clichés dans une mise en scène grandiloquente. Mais ce n'est pas le plus choquant. Là où le film se plante, c'est dans sa volonté apparemment humaniste de dénoncer toutes les atrocités commises en Afrique ; entre les enfants soldats, les rebelles ultra-violents et les corps mutilés et empilés, on assiste à une vraie boucherie. Et c'est dans ce décor sanglant que naît l'histoire d'amour entre ce duo de stars qui n'ont peur de rien, tout ça pour prouver le dévouement des blancs. La guerre n'est qu'un faire-valoir, un décor qui passe au second plan. Le propos du film est totalement confus et nous perd. Le message du film est-il de nous montrer que l'amour est plus fort que la violence ? Une application premier degré de "Faites l'amour, pas la guerre", punchline qu'ils auraient du utiliser sur l'affiche ! Il faut avouer que pour des médecins, ils ne se montrent pas très efficaces : Bardem râle et Theron caresse la tête des mourants. Heureusement, le film s'achève sur cette dernière avouant que les réfugiés africains sont de vrais êtres humains... Sans ces mots, j'aurais cru que Sean Penn se la jouait néo-colonialisme ! Le propos est totalement gâché, vous l'aurez compris, par cette incohérence et cette indécence entre les blancs grands sauveurs qui font l'amour sous la tente et les africains qui s'entretuent. Les doublages self-made de Jean Reno et Adèle Exarchopoulos ne font qu'enfoncer le film dans la dépression et la bêtise. Je retiendrais une partition musicale et chorale belle à entendre...
    Alix Jo C.
    Alix Jo C.

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    On retiendra avant tout l'action de ces médecins urgentistes qui, au péril de leur vie, n'ont qu'un but : sauver des vies humaines.
    Les images sont parfois assez dures mais il faut accepter ce que l'être humain est capable de réaliser dans sa folie meurtrière.
    Une histoire d'amour à rebondissements divinement bien interprètée par une Charlize Theron et un Javier Bardem sur fond de guérilla. À voir absolument...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    The Last Face est un excellent film, à voir les réactions de la presse je me rend compte que la France n'est pas prêt de traiter les guerres contemporaines au Moyen Orient et d'Afrique en tant que fiction. Ou alors c'est l'histoire d'amour qui ne passe pas !? Mais pourtant Sean Penn nous offre belle et bien une histoire d'amour avec un fond de guerre.
    L'histoire a serte deux, trois petites lacunes mais la réalisation ose, je pense à tous les plans contemplatifs sur des visages, des insectes, des mains... qui montrent bien que le film est centré sur l'Homme avec un grand H et non sur la guerre. D'ailleurs un des personnages justifie ce parti prit du réalisateur en disant que l'important c'est que les populations victimes de la guerre continuent de sourire, de danser, d'aimer et de vivre. Sean Pen nous offre une ode à l'humain et vous critiquez ça ? Oui le discours de Wren à la fin n'est peut être pas le meilleur, il est loin d'être aussi poignant que celui de Charlie Chaplin dans "The Dictator" mais l'importance de cette scène n'est pas le discours mais sa réaction face au confort et à la bourgeoisie.
    L'histoire d'amour n'a pas plu ? Mais pourtant elle est importante car sans elle ce film serait "un documentaire" et elle amenée de manière plus original que la plupart des productions Hollywoodienne.

    The Last Face n'est pas le film de l'année, ne marquera pas l'histoire du cinéma mais il n'est pas pour autant mauvais, il fait réfléchir et reste un très beau film.

    Alexandre
    Franck
    Franck

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    En voyant les notes, je suis obligé de faire un commentaire. Charlize Theron est grandiose et le film magnifique. Ame sensible d'abstenir. Pour moi et des meilleurs film de ce début d'année
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Sublime... j'évalue rarement LES films sur AlloCiné, mais je n'ai jamais ressentie autant d'émotions que dans ce film. Une Charlize Theron émouvante, UN scénario bouleversant autant par l'histoire d'amour que par ces atrocités de la guerre... CE film restera dans mon top 3 des meilleurs films que j'ai vu. SI vous hésitez...foncez :-)
    selenie
    selenie

    6 206 abonnés 6 177 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Si on ne doute pas de la sincérité de l'entreprise il faut bien avouer que ce film est le premier de Sean Penn où le réalisateur se prend les pieds dans le tapis. A force de vouloir forcer la main on tombe trop souvent dans l'esbrouffe et la caricature. Penn signe un film bancal qui veut à tout prix dénoncer quitte à devenir démonstratif jusqu'à en devenir moralisateur et démago. Si on pourrait laisser passer sur le fond (la sincérité du sujet aidant) on est pourtant otage d'une mise en scène boursoufflée parsemée d'effets de styles et/ ou visuels souvent laids et/ou inutiles. Grosse déception...
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