Mon compte
    The Last Face
    Note moyenne
    2,1
    553 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Last Face ?

    83 critiques spectateurs

    5
    9 critiques
    4
    18 critiques
    3
    19 critiques
    2
    10 critiques
    1
    19 critiques
    0
    8 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    After D
    After D

    7 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 janvier 2017
    C'aurait pu être un bon film, mais la narration n'est pas maîtrisée, on reste extérieur aux sentiments des protagonistes; de plus c'est assez mal filmé, beaucoup trop de plans serrés! Sans compter les dialogues, creux et pollués par les messages un peu boy-scout sur les méchants occidentaux indifférents, qui paressent sortir de nulle part dans les échanges entre deux personnes prises dans une passion amoureuse. Le sujet est raté. Je mets la moyenne pour la performance de Charlyse Theron, toujours aussi douée...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 janvier 2017
    Je n'avais pas l'intention de déposer une critique de ce film, mais en découvrant le torrent de haine venant des médias français et le rejet qu'il a suscité parmi la petite élite prétentiarde du Festival de Cannes, je me dois de prendre sa défense.
    Notez que je ne suis pas une groupie de Sean Penn à la base. Au niveau de ses engagements, j'ai tendance à penser l'inverse de ce qu'il pense. Je ne vais pas en dire davantage pour éviter la censure. Donc, je ne suis pas le genre à défendre Sean Penn au premier abord. Mais en voyant la réaction des gens de la haute, je tombe des nues. Je pige pas.
    C'est un film qui a certes des défauts, notamment une ultra-violence indicible, indescriptible, il y a des scènes particulièrement insoutenables, difficilement conceptualisables tant c'est une violence qui sort du réel tangible. En un mot : c'est aussi dérangeant que certains films célèbres sur l'holocauste.
    L'action se déroule au Libéria, pays anglophone d'Afrique de l'Ouest, traversé par des violences ethniques. Disons des ultra-violences. Ce n'est même plus de la guerre ce qui est montré. Dans une guerre, il y a des règles. Là, il y a un conflit qui utilise des méthodes qui sortent de ce qui est acceptable même si on est une personne à la méchanceté avancée.
    Honnêtement, j'ai décidé d'aller voir ce film pour le couple Bardem-Theron. J'aime beaucoup ces deux acteurs. Charlize Theron, la Ingrid Bergman de notre temps. Javier Bardem, une sacrée gueule, assez venturesque. Les deux personnages se parlent en anglais et travaillent pour une ONG française, alors que leurs langues maternelles sont l'afrikaner pour Theron et l'espagnol pour Bardem. C'est un film sur la mondialisation en soi.
    C'est pour moi intéressant de lier un personnage d'Afrique du Sud avec un d'Espagne, car ces deux pays ont en commun d'être sortis d'une dictature très violente par une méthode de réconciliation particulière.
    Dans l'ensemble le film est réussi, mais est-ce nécessaire d'aller aussi loin dans l'exhibition de la violence ? Sean Penn veut nous choquer sur ce qui se passe, mais en cinéma il y a la suggestion, il y a la substitution de l'image par les mots via les répliques, là Sean Penn nous montre des scènes que je ne peux pas décrire par les mots tellement ce que font les criminels de guerre au Libéria est du registre du psychotique, du sadique au carré.
    Je ne sais pas à quoi jouent les journalistes et les "cannois-festivaliens" en dézinguant ce film qui prend la peine de dénoncer un conflit gravissime. Et oui, je l'avoue, maintenant je suis au courant de ces violences parce-que l'association de Bardem et Theron dans un film m'a attiré, et alors ? Pour 12 Years a Slave, ça a été un peu pareil (même si évidemment je savais intellectuellement pour l'esclavage). J'ai été le voir avec des copains car le casting nous attirait. La première fois que j'ai vu Le Pianiste, c'était pour compléter ma connaissance de Roman Polanski avant tout, bien plus que pour compléter le cours d'histoire sur la déportation.
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2017
    S'il y a beaucoup de films qui peuvent se targuer d'avoir subi une déconvenue au festival de Cannes, peu d'entre eux ont subi un accueil critique aussi impitoyable que "The Last Face", cinquième long-métrage de Sean Penn : aucun bon mot n'a été prononcé pour le film qui s'est vu qualifié de "pitoyable" ou encore de "grotesque". Il est vrai que comparer la violence de l'amour à celui de la guerre en Afrique en ouverture de film est un manque total de délicatesse et de bon sens. Sean Penn semble d'ailleurs se vautrer dans le manque de bon sens, aveuglé par ses nobles intentions humanitaires en racontant cette histoire d'amour entre la directrice d'une ONG et un médecin humanitaire avec la guerre civile de la Sierra Leone en toile de fond. Certes, il veut dénoncer la violence et mettre en valeur le travail humanitaire effectué chaque jour par des types qui risquent leurs vies pour en sauver d'autres. Mais tout son film est plombé par ces élans d'humanité que l'on a connu plus subtils chez le cinéaste : les dialogues sont ridicules, la mise en scène abuse de ralentis foireux et de plans flous sur les côtés, les seconds rôles sont clairement ridicules (pauvres Adèle Exarchopoulos et Jean Reno, filmés n'importe comment) et le traitement de tout ce conflit interpelle tant Penn semble seulement se ranger d'un côté en montrant gratuitement la barbarie sans jamais en développer le pourquoi du comment. Cela dit, "The Last Face" n'est pas le film irregardable qu'on a bien voulu le dire. Il est traversé par quelques belles scènes laissant deviner que le réalisateur de "Crossing Guard" et "The Pledge" est là quelque part. L'émotion, sincère, parvient rarement à poindre sous les excès de mièvrerie de la réalisation mais on la pressent. Il faut dire qu'on peut saluer les présences salutaires de Charlize Theron (toujours aussi sublime) et Javier Bardem (toujours aussi charismatique) pour venir tirer le film de sa torpeur. Leurs interprétations passionnées, bien que s'inscrivant dans un film maladroit, viennent tout de même donner un peu d'épaisseur à ce film d'amour et de violence qui ne sait pas du tout jongler sur l'équilibre qu'il met en place.
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    46 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2017
    Une belle histoire d'amour pour deux médecins confrontés à l'horreur de la guerre au Nigeria .Leur amour ou la passion de leur métier lesquel des deux va gagner?C'est extrêmement difficile de voir et de comprendre pourquoi une guerre fait de tel ravage dans des populations défavorisés à voir absolument.
    Cinéphilion
    Cinéphilion

    57 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 janvier 2017
    Nommé à Cannes et très attendu, « The Last Face » est sans conteste un gros échec.
    Au sein d’une guerre entre les rebelles qui massacrent le pays et ses citoyens, le film reste bien ficelé quant à la dénonciation du quotidien des médecins humanitaires. Choquant, gore, même si ce n’est pas toujours agréable à voir, les clichés sont malheureusement frappés par un réalisme insoutenable : La difficulté de pratiquer la médecine dans des conditions précaires, brûler et débarrasser les corps en masse malgré l’odeur, le choix d’euthanasier un patient irréversible, le risque d’attraper le sida. Un sujet d’actualité dont nous parlons peu et très bien exposé. Malheureusement, ce sont ces rares moments que nous savourons d’un point de vue instructif.
    Nombreux sont les films nous faisant revivre un événement historique autour d’une histoire d’amour, comme « Pearl Harbor », « Australia » ou « Colonia ». Sean Penn tente de faire de même mais il plonge à pied joint dans un désordre non-organisé ne parvenant plus à distinguer le point historique et la romance entre nos deux protagonistes.
    C’est ainsi que le récit s’efface dans une incompréhension presque indécente. L’aspect dramaturge prend fortement le dessus au point qu’une fois les premières larmes tirées, la compassion voulue en devient caricatural et l’empathie, lassante. Plutôt en colère face à un tel gâchis, il faut avouer que l’idée était franchement belle, bien amenée et en plus, avec un casting franco-américain assez brillant. Grosse déception.
    Bilan : « The Last Face » ou l’art de faire d’une oeuvre, la victime d’elle-même.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 janvier 2017
    j'avoue avoir du mal à comprendre pourquoi ce film a eu autant de critiques négatives.Ce film nous confronte à une réalité cruelle certes avec des images très dur et avec des personnages bouleversant j'ai beaucoup aimé Charlize Theron et Jean Reno dans ce film
    mat niro
    mat niro

    352 abonnés 1 815 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Voilà ce qui pourrait être l'un des plus gros flop de l'année! Cette histoire d'amour entre Charlize Theron et Javier Bardem sur fond de guerre civile en Afrique noire frôle le ridicule. Sean Penn, déjà hué lors de la projection du film à Cannes, nous sert un mélo affligeant par l'indigence des dialogues de ce couple d'humanitaires. De plus, on a le sentiment que ces images de guerre ne sont pas que pour cautionner le rapprochement de nos deux tourtereaux. Un navet indigne du réalisateur.
    ffred
    ffred

    1 691 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    Incroyable que ce metteur en scène, autrefois talentueux (The pledge, The Indian Runner, Crossing guard), ce soit confondu dans quelque chose d’aussi mauvais goût. Une histoire d’amour sur des images horribles, des scènes insoutenables, les ravages de la guerre civile au Liberia, filmée comme un spot de pub pour une ONG ou pire, comme une pub pour parfum tournée par Terrence Malick (à qui on pense très souvent). A chaque instant, on s’attend à voir sortir Charlize Theron (qui fait ce qu’elle peut avec Javier Bardem) de sa tente et nous balancer « J’adore Dior » ! Flous artistiques, ralentis sur belle musique (très envahissante de Hans Zimmer), dialogues improbables, voix off horripilante, acteurs français très mauvais (Adèle Exarchopoulos, Jean Reno), mise en scène pompeuse et racoleuse, clichés à n’en plus finir… Bref, ce film est un véritable calvaire. Un véritable affront aux africains et à leurs souffrances. On n’ose penser à ce que cela aurait donné dans d’autres mains. Le plus mauvais film de Sean Penn et sans doute le plus mauvais de cette année qui pourtant vient juste de commencer. A fuir !
    K.T.
    K.T.

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    Un film à la fois magnifique et bouleversant. Des images à la fois belles et terriblement dures...Une histoire d'Amour unique. Vraiment marquée par ce film. Mais en effet, âmes sensibles s'abstenir.
    Nathalie C.
    Nathalie C.

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Un film bouleversant , qui nous montres et nous fait prendre conscience du travail impressionnant
    des médecins du monde , leurs travail au quotidien ainsi que leurs prise de risque pour sauver des vies, mais aussi l'horreur de la guerre civile en Afrique .
    Apres le visionnage du film 3 questions:
    Dans quel monde vivons nous ? Quel monde allons-nous laisser à nos enfants ? Sommes nous impuissant face à la misère ?
    Pour en revenir au film ;
    Une Bande Son Sublime , des scènes et des images choquantes , beaucoup de sang et de violence.
    Jean Reno est inexistant , Adele Exarchopoulos (hormis son anglais approximatif ) son jeux d'actrice est tres médiocre , heureusement la Beauté de Charlize Theron nous captive tout au long du film.
    Miltiade
    Miltiade

    37 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 janvier 2017
    Quel cinéaste aurait été assez fou pour croire en ce projet (raconter une histoire d’amour entre médecins dans un camp de réfugiés, dans un contexte de misère extrême et d’urgence humanitaire) ? Sean Penn y a cru et y croit encore. Ce n’est pas qu’il est fou, mais il est convaincu de la nécessité de son propos : faire le portrait, héroïque mais réaliste, des humanitaires.
    Cette conviction est sensible dans l’absence totale de second degré de son film. Il n’y a pas une once d’ironie dans « The last face ». Et ce, alors même que le ridicule est présent presque tout le temps.
    Aveuglé semble-t-il par la force de son engagement humanitaire, Sean Penn multiplie les offenses au bon goût et, plus grave, à la morale, car il n’y a évidemment rien de comparable entre un massacre de guerre et une histoire d’amour hollywoodienne.
    dominique P.
    dominique P.

    833 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    J'apprécie Sean Penn comme réalisateur ainsi que les acteurs principaux de ce film.
    Aussi j'aime beaucoup de genres, beaucoup de styles de films.
    Et c'était logique que j'aille voir celui-là, malgré les critiques très mauvaises de la presse et du mauvais accueil à Cannes.
    Et bien je suis étonnée car c'est un film tout à fait honorable, intéressant, bien réalisé et interprété.
    Ce n'est en aucun cas une daube !
    Par ailleurs, il faut savoir qu'il y a des scènes très dures.
    Ce film mérite tout à fait la note de 4/5.
    lionelb30
    lionelb30

    435 abonnés 2 590 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    Drole de melange entre une histoire d'amour contrarie et certaines scenes tres réalistes de différends conflits africain. Mise en scene également un peu atypique mais cela change et l'intention est louable.
    ferdinand75
    ferdinand75

    546 abonnés 3 856 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    Un film intéressant, ambitieux, très soigné d'un point de vue esthétique même si il comporte quelques incohérences et imperfections. L'idée de départ énoncée au générique était une gageure que beaucoup n'ont pas accepté comme on peut le voir dans les critiques très dures contre le film . Est-ce que l'on peut comparer la souffrance collective de peuples en guerre avec la souffrance individuelle de deux partenaires d'un couple qui se déchire. Et bien pourquoi pas ? D'abord Sean Penn le créateur, l'artiste, le réalisateur a bien le droit de démontrer ce qu'il veut , c'est sa liverté d'artiste. Ensuite le film réussit à bien illustrer ce théorème. En effet les deux médecins qui font de l'humanitaire le font pour deux raisons distinctes qui vont les opposer puis les séparer. Bardem le fait , issu d'un milieu modeste, dans le but de "to give back" ce qu'il a gagné par ses études. Il va à la base, et espère sauver quelques vies , c'est un homme de terrain .Theron le fait en voulant changer le monde dans les hautes spères , auquelles elle est habituée . Elle veut faire de la macro politique, parce qu'elle a un compte à solder avec son père , homme célèbre; Et cette différence d'approche va les séparer. Les deux acteurs sont formidables. Théron tient là son plus grand rôle , elle est formidable , tour à tour , tragique, émouvante , amoureuse, Quelle actrice !!! superbement filmée par Penn. Une toute grande. Bardem pour la 1ere fois aux USA joue un homme sensible, fragile, toute en délicatesse . On retrouve le Bardem de ses débuts en Espagne , dans les films de Bigas Luna , son mentor et découvreur . C'est le Bardem du chef d'oeuvre " Jamon , Jamon". Je ne comprend pas ce que l'on reproche aux seconds rôles : Jean Reno joure très bien son petit rôle de médecin introverti, il n'est pas en tête de l'affiche mais vient participer à ce projet ambitieux , c'est tout à fait louable , de même pour la jeune Adèle , qui tient bien son rang sur deux courtes apparitions. Il y a beaucoup de poèsie dans la réalisation et dans la qualité de l'image . Tout ce qui est montré sur les guerres ( entre autres au Libéria) est juste ,historiquement correct et déjà connu.La bande son est très soignée , mélgant rock country, alternatif et musiques ethniques, excellente . Le film pose de bonnes questions sur les OGN , sans être didactique ou lénifiant, et pas du tout naif, même si l'on connait les positions de Penn, il nous intérèsse tout en restant intérrogatif . Il réussi un excercice difficile à la fois sur le style et sur le fonds, Du cinéma généreux et ambitieux.
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 136 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    The last face, le film de Sean Penn tant décrié à Cannes souffre, il est vrai, d'immenses défauts. La mise en scène est d'un goût douteux avec ses plans dignes d'un calendrier pour l'UNICEF, ses ralentis ridicules, ces gros plans à foisons et ses filtres de couleurs assez laids, certains dialogues sont niais et maladroits et les seconds rôles français aussi ridicules qu'inutiles. Pourtant l'ambition du film de lier le romanesques pur au documentaire n'était pas si riducule que ça et certains segments fonctionnent même assez bien. Penn montre l'horreur sans détour, interroge le rôle politique des associations caritatives et, tel l'humaniste qu'il est, cherche à faire réfléchir. Une belle ambition pour un film raté car pétri d'ambitions paradoxales, qui ne sait pas vraiment où il va et enchaîne les clichés à la pelle. Le couple formé par Bardem et Therln fonctionne cependant plutôt bien même si leur romance aurait mérité un traitement plus fin. Bref boursouflé et parfois à côté de la plaque mais pas déshonorant.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top