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    The Last Face
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    2,1
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    83 critiques spectateurs

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    Anne Lise S.
    Anne Lise S.

    24 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mai 2016
    Film magnifique, très bel hommage aux Médecins sans frontières qui prennent des risques pour sauver des vies au péril de leur propre vie
    Cinéphilion
    Cinéphilion

    62 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 janvier 2017
    Nommé à Cannes et très attendu, « The Last Face » est sans conteste un gros échec.
    Au sein d’une guerre entre les rebelles qui massacrent le pays et ses citoyens, le film reste bien ficelé quant à la dénonciation du quotidien des médecins humanitaires. Choquant, gore, même si ce n’est pas toujours agréable à voir, les clichés sont malheureusement frappés par un réalisme insoutenable : La difficulté de pratiquer la médecine dans des conditions précaires, brûler et débarrasser les corps en masse malgré l’odeur, le choix d’euthanasier un patient irréversible, le risque d’attraper le sida. Un sujet d’actualité dont nous parlons peu et très bien exposé. Malheureusement, ce sont ces rares moments que nous savourons d’un point de vue instructif.
    Nombreux sont les films nous faisant revivre un événement historique autour d’une histoire d’amour, comme « Pearl Harbor », « Australia » ou « Colonia ». Sean Penn tente de faire de même mais il plonge à pied joint dans un désordre non-organisé ne parvenant plus à distinguer le point historique et la romance entre nos deux protagonistes.
    C’est ainsi que le récit s’efface dans une incompréhension presque indécente. L’aspect dramaturge prend fortement le dessus au point qu’une fois les premières larmes tirées, la compassion voulue en devient caricatural et l’empathie, lassante. Plutôt en colère face à un tel gâchis, il faut avouer que l’idée était franchement belle, bien amenée et en plus, avec un casting franco-américain assez brillant. Grosse déception.
    Bilan : « The Last Face » ou l’art de faire d’une oeuvre, la victime d’elle-même.
    Fabien D
    Fabien D

    182 abonnés 1 139 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    The last face, le film de Sean Penn tant décrié à Cannes souffre, il est vrai, d'immenses défauts. La mise en scène est d'un goût douteux avec ses plans dignes d'un calendrier pour l'UNICEF, ses ralentis ridicules, ces gros plans à foisons et ses filtres de couleurs assez laids, certains dialogues sont niais et maladroits et les seconds rôles français aussi ridicules qu'inutiles. Pourtant l'ambition du film de lier le romanesques pur au documentaire n'était pas si riducule que ça et certains segments fonctionnent même assez bien. Penn montre l'horreur sans détour, interroge le rôle politique des associations caritatives et, tel l'humaniste qu'il est, cherche à faire réfléchir. Une belle ambition pour un film raté car pétri d'ambitions paradoxales, qui ne sait pas vraiment où il va et enchaîne les clichés à la pelle. Le couple formé par Bardem et Therln fonctionne cependant plutôt bien même si leur romance aurait mérité un traitement plus fin. Bref boursouflé et parfois à côté de la plaque mais pas déshonorant.
    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    J'apprécie Sean Penn comme réalisateur ainsi que les acteurs principaux de ce film.
    Aussi j'aime beaucoup de genres, beaucoup de styles de films.
    Et c'était logique que j'aille voir celui-là, malgré les critiques très mauvaises de la presse et du mauvais accueil à Cannes.
    Et bien je suis étonnée car c'est un film tout à fait honorable, intéressant, bien réalisé et interprété.
    Ce n'est en aucun cas une daube !
    Par ailleurs, il faut savoir qu'il y a des scènes très dures.
    Ce film mérite tout à fait la note de 4/5.
    tony-76
    tony-76

    1 082 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mai 2017
    Dès sa projection au Festival de Cannes, The Last Face a reçu beaucoup de critiques négatives en le qualifiant de « obscénité », de « nanar à la nullité profonde » ou encore de « film dégueulasse ». Même les spectateurs auraient rigolé à la première phrase d'introduction en parlant de la violence de la guerre en Afrique qui n'est pas comparable aux Occidentaux qu'à la brutalité des rapports entre un homme et une femme qui s'aiment d'un amour impossible... Il est vrai que de rapprocher l'amour à la violence de la guerre s'avère culotté ! C'est gênant et maladroit de la part de Sean Penn... Celui-ci est à la réalisation en nous présentant une directrice ONG qui rencontre un médecin humanitaire en pleine guerre civile au Liberia. Montrer la violence, le travail humanitaire de ces médecins de frontière qui risquent leurs vies pour sauver des gens dans la souffrance et dans le besoin en est une chose mais, mêler une histoire d'amour en forme d'adolescence est tout bonnement risible au plus au point ! C'est tellement cliché ! Les dialogues sont mollassons tout comme la voix OFF insupportable, la mise en scène est mal branlé avec des plans flous sur les côtés (cela gâche les décors) et les personnages secondaires ne servent strictement à rien ! Adèle Exarchopoulos fait peine à voir avec son doublage horrible, Jared Harris et Jean Reno sont là pour réciter les lignes de leur texte, ils sont clairement des figurants... Seul le couple Javier Bardem et Charlize Theron apporte (un peu) de conviction et font le minimum pour sauver The Last Face du naufrage complet. La bande originale du compositeur de Interstellar (Hans Zimmer), ne vient pas pour arranger les choses. Cependant, le réalisateur donne une reconstitution sur les moments de guerres intéressants et donne un côté très crue et consciencieux sur le plan technique. En exposant de la violence gratuite, il ne développe pas la raison du conflit : le pourquoi du comment. Les scènes d'émotion sont d'une mièvrerie désolante et ne parvient rarement à nous convaincre que c'est tellement pathos, cela s'étire inutilement. Donc, The Last Face a énormément de défauts - écriture lourde, clichés embarrassants, musique agaçante, acteurs peu crédibles. Sean Penn a du mal à placer une équilibre entre l'amour et la violence... La plus grosse insulte de l'histoire du cinéma est un peu exagéré à mon sens, c'est simplement un mauvais film.
    cylon86
    cylon86

    2 544 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2017
    S'il y a beaucoup de films qui peuvent se targuer d'avoir subi une déconvenue au festival de Cannes, peu d'entre eux ont subi un accueil critique aussi impitoyable que "The Last Face", cinquième long-métrage de Sean Penn : aucun bon mot n'a été prononcé pour le film qui s'est vu qualifié de "pitoyable" ou encore de "grotesque". Il est vrai que comparer la violence de l'amour à celui de la guerre en Afrique en ouverture de film est un manque total de délicatesse et de bon sens. Sean Penn semble d'ailleurs se vautrer dans le manque de bon sens, aveuglé par ses nobles intentions humanitaires en racontant cette histoire d'amour entre la directrice d'une ONG et un médecin humanitaire avec la guerre civile de la Sierra Leone en toile de fond. Certes, il veut dénoncer la violence et mettre en valeur le travail humanitaire effectué chaque jour par des types qui risquent leurs vies pour en sauver d'autres. Mais tout son film est plombé par ces élans d'humanité que l'on a connu plus subtils chez le cinéaste : les dialogues sont ridicules, la mise en scène abuse de ralentis foireux et de plans flous sur les côtés, les seconds rôles sont clairement ridicules (pauvres Adèle Exarchopoulos et Jean Reno, filmés n'importe comment) et le traitement de tout ce conflit interpelle tant Penn semble seulement se ranger d'un côté en montrant gratuitement la barbarie sans jamais en développer le pourquoi du comment. Cela dit, "The Last Face" n'est pas le film irregardable qu'on a bien voulu le dire. Il est traversé par quelques belles scènes laissant deviner que le réalisateur de "Crossing Guard" et "The Pledge" est là quelque part. L'émotion, sincère, parvient rarement à poindre sous les excès de mièvrerie de la réalisation mais on la pressent. Il faut dire qu'on peut saluer les présences salutaires de Charlize Theron (toujours aussi sublime) et Javier Bardem (toujours aussi charismatique) pour venir tirer le film de sa torpeur. Leurs interprétations passionnées, bien que s'inscrivant dans un film maladroit, viennent tout de même donner un peu d'épaisseur à ce film d'amour et de violence qui ne sait pas du tout jongler sur l'équilibre qu'il met en place.
    Nathalie C.
    Nathalie C.

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Un film bouleversant , qui nous montres et nous fait prendre conscience du travail impressionnant
    des médecins du monde , leurs travail au quotidien ainsi que leurs prise de risque pour sauver des vies, mais aussi l'horreur de la guerre civile en Afrique .
    Apres le visionnage du film 3 questions:
    Dans quel monde vivons nous ? Quel monde allons-nous laisser à nos enfants ? Sommes nous impuissant face à la misère ?
    Pour en revenir au film ;
    Une Bande Son Sublime , des scènes et des images choquantes , beaucoup de sang et de violence.
    Jean Reno est inexistant , Adele Exarchopoulos (hormis son anglais approximatif ) son jeux d'actrice est tres médiocre , heureusement la Beauté de Charlize Theron nous captive tout au long du film.
    Nyns
    Nyns

    219 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 janvier 2017
    J'ai hésité longtemps avant de mettre cette petite étoile vu déjà le lynchage que prend ce film mais non c'est une véritable déception sans flamme. Les paysages africains et la brutalité des scènes de guerres civiles ne suffisent pas à donner de la consistance au dernier Sean Penn qui semble s'efforcer de rendre sa démarche altruiste et humaine, mais ne fait que sombrer dans une démagogie racoleuse. The Last Face n'est pas grand chose face aux grands films humanitaires dénonçant la barbarie sur le sol africain, je pense notamment à The Constant Gardener ou le Dernier roi d’Écosse, mais là ou Sean Penn s'est complétement planté c'est en voulant mettre en lumière une idylle, entre l'éblouissante Theron (qui agace il faut le dire, elle est pourtant au centre de la caméra...) et le merveilleux Bardem, comme faire valoir de son roman photo mais ça ne fonctionne tout simplement pas. La sauce ne prend pas. Et pourtant j'ai envie de dire c'est essentiel quand on a comme décors des scènes sanguinolentes et une intrigue peu consistance. La violence s'acquiert même de façon systématique sans intérêt pour le combat et sans intérêt pour la réalisation qui se calque du coup sur bien d'autre avant elle. Bref c'est dommage parce ce type de film engagé est toujours la bienvenu mais quand la démarche est si maladroite on se doute que l'expérience va être vite reléguée aux oubliettes.
    Romain J.
    Romain J.

    64 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 janvier 2017
    Il est difficile de défendre un film aussi ridicule dans sa forme et scandaleux dans le fond. THE LAST FACE est un triste naufrage...

    Critique complète ici.
    Amaury F
    Amaury F

    27 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 janvier 2017
    N'y allons pas par quatre chemins, The Last Face est haïssable à tous les niveaux. Partant d'un postulat de base extrêmement casse-gueule mêlant film de guerre et romance mielleuse, Sean Penn accumule les ignominies avec une telle maladresse que son message humaniste initial disparaît au profit d'une indécence dégueulasse, présente d'emblée dans un texte introductif qui provoqua rires et consternations dans la salle : « Pour les occidentaux, la violence de la guerre en Afrique n'est comparable qu'à la brutalité des rapports entre un homme et une femme qui s'aiment d'un amour impossible ». Sympa pour les réfugiés et les médecins humanitaires ! Les personnages ont beau rabâcher cent fois que « la guerre est épouvantable » et que « l’indifférence du monde vis-à-vis des africains est honteuse », le long-métrage s’inscrit parfaitement dans la lignée de sa phrase d'ouverture : sans jamais être contextualisés ou même un tant soit peu expliqués, la situation géopolitique du Liberia et tous les massacres qui y sont commis apparaissent comme une petite toile de fond, un faire-valoir mettant en avant le dévouement des blancs et « l’alchimie » du couple que forment Jarvier Bardem et Charlize Theron. Par ailleurs, ce conflit sert également de prétexte à Sean Penn pour livrer un spectacle gore des plus obscènes, en s’attardant de manière suspecte sur des corps déchiquetés, amputés, putréfiés ou encore sur des intestins déroulés sur plusieurs mètres... Horrible. En plus de cela, la réalisation rajoute une grosse dose de grotesque et de clichés en tous genres. Mi-Terrence Malick du pauvre, mi-spot publicitaire, le film multiplie les fautes de goût : travellings et zooms aléatoires, ralentis et flous artistiques abusifs, philtres et cadrages insignifiants, utilisations grossières de la musique... C'est laid. C'est idiot. C'est carrément déplacé dans sa volonté d'esthétiser l’atrocité des guerres civiles et certains passages sont tellement nanardesques qu'ils en deviennent potentiellement cultes. On pense notamment à une séquence hystérique de dispute conjugale qui, en plus d'être affreusement mal jouée, réunit absolument tous les effets grandiloquents cités ci-dessus (on aurait également pu citer la scène du brossage de dents, la scène du pied de Charlize Theron ou bien celle de l'hélicoptère, mais bon, tout cela sera sans doute magnifiquement décrypté sur Nanarland un de ces quatre). Enfin, la cerise sur le gâteau avarié, ce sont bien évidemment les dialogues, qui sont soit totalement abscons (la voix off entre autres), soit complètement crétins (« C'est incroyable, elle a des fuites urinaires, mais elle danse », « Me pénétrer, ce n’est pas me connaître »...). La palme du ridicule revient probablement à Jean Reno et son intéressante vision du mariage : « Ce n’est pas chopper, c’est aimer ». Merci Jean, aka Docteur Love (je n'invente rien, son personnage s'appelle réellement comme ça). Mais les dialogues des plus indigents arrivent lors d'un suspense improbable autour d'une possible contamination des deux héros par le personnage d'Adèle Exarchopoulos, qui annonce ici sa séropositivité à l'homme qu'elle aime : « J'aurais aimé que tu aies le VIH comme moi, parce que ça aurait été tellement romantique » (??!!). Au final, je ne saurais pas dire si on peut considérer The Last Face comme le plus mauvais film du monde, mais je vous assure que c'est bel et bien la pire daube jamais présentée en compétition à Cannes. À fuir !
    mat niro
    mat niro

    360 abonnés 1 838 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Voilà ce qui pourrait être l'un des plus gros flop de l'année! Cette histoire d'amour entre Charlize Theron et Javier Bardem sur fond de guerre civile en Afrique noire frôle le ridicule. Sean Penn, déjà hué lors de la projection du film à Cannes, nous sert un mélo affligeant par l'indigence des dialogues de ce couple d'humanitaires. De plus, on a le sentiment que ces images de guerre ne sont pas que pour cautionner le rapprochement de nos deux tourtereaux. Un navet indigne du réalisateur.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    637 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    J'ai vu les très mauvaises critiques et je me souviens de l’accueil très froid que "The Last Face" a reçu lors de sa diffusion en compétition officielle au Festival de Cannes, mais j'y suis allé sans voir la bande-annonce ni lire les raisons de cet échec unanime. On ne peut que laisser une chance à Sean Penn, réalisateur du magnifique "Into the Wild", et à ces deux superbes acteurs qui sont Charlize Theron et Javier Bardem. En effet, ils nous racontent une histoire d'amour impossible entre deux médecins humanitaires qui se rencontrent sur le terrain, à savoir au Libéria et au Soudan du Sud. Le montage est décousu, les passions sont à fleur de peau et les cruautés de la guerre sont non-censurées. Malgré le talent des acteurs, l'histoire se révèle sans surprises, parsemée de nombreux clichés dans une mise en scène grandiloquente. Mais ce n'est pas le plus choquant. Là où le film se plante, c'est dans sa volonté apparemment humaniste de dénoncer toutes les atrocités commises en Afrique ; entre les enfants soldats, les rebelles ultra-violents et les corps mutilés et empilés, on assiste à une vraie boucherie. Et c'est dans ce décor sanglant que naît l'histoire d'amour entre ce duo de stars qui n'ont peur de rien, tout ça pour prouver le dévouement des blancs. La guerre n'est qu'un faire-valoir, un décor qui passe au second plan. Le propos du film est totalement confus et nous perd. Le message du film est-il de nous montrer que l'amour est plus fort que la violence ? Une application premier degré de "Faites l'amour, pas la guerre", punchline qu'ils auraient du utiliser sur l'affiche ! Il faut avouer que pour des médecins, ils ne se montrent pas très efficaces : Bardem râle et Theron caresse la tête des mourants. Heureusement, le film s'achève sur cette dernière avouant que les réfugiés africains sont de vrais êtres humains... Sans ces mots, j'aurais cru que Sean Penn se la jouait néo-colonialisme ! Le propos est totalement gâché, vous l'aurez compris, par cette incohérence et cette indécence entre les blancs grands sauveurs qui font l'amour sous la tente et les africains qui s'entretuent. Les doublages self-made de Jean Reno et Adèle Exarchopoulos ne font qu'enfoncer le film dans la dépression et la bêtise. Je retiendrais une partition musicale et chorale belle à entendre...
    Claudine G
    Claudine G

    207 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 janvier 2017
    Très décevant. Certes Charlize Théron a un joli visage, mais de là à ce que la caméra soit fixée en quasi-permanence sur son regard, ce n'est pas ce que j'attendais du film. Cette histoire d'amour à côté du thème abordé n'aurait pas dû prendre autant de place. Médecins du Monde est une association extraordinaire qui manquant de moyens aussi bien sur le plan médical, moyens financiers s'efforce de faire du mieux possible, en temps de guerre, sur le terrain, pour aider aussi bien les malades que les habitants. Or, à part quelques scènes où l'on voit la violence mais également les conditions de travail indescriptibles auxquelles ils font face, on n'arrive pas réellement à juger de l'ampleur de tout le travail qu'ils font. C'est bien dommage, car c'est un film très long mais qui aurait pu l'être sans que l'on s'y ennuie. Ce qui a été mon cas ou j'en attendais trop....
    bsalvert
    bsalvert

    418 abonnés 3 596 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2018
    un grand réalisateur, de bons acteurs, une histoire noble et pourtant ça ne prend pas.
    PLV : à noter l'apparition de Jean Réno
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 novembre 2020
    The Last Face choque par sa nullité congénitale qui atteste à la fois la sortie de piste d’un réalisateur de qualité et acteur de talent, Sean Penn, et l’échec d’une production hollywoodienne sur laquelle a travaillé une équipe pourtant solide et compétente, puisque nous retrouvons le photographe de Paul Greengrass, Barry Ackroyd, et le compositeur Hans Zimmer. Le pire est certainement l’entrelacs d’une cause politique et d’un thème sentimental, la passion amoureuse apparaissant ici comme la métaphore occidentale des affrontements africains : la guerre est associée d’entrée de jeu, par carte et panneau explicatif interposés, à « la brutalité d’un amour impossible partagé entre un homme…et une femme ». Cette affirmation, gorgée d’une philosophie toute relative, annonce la couleur : tout, depuis son regard complaisant porté sur les sévices et la violence jusqu’à cette romance grandiloquente entre deux médecins filmée comme un soap opera, ennuie et dégoûte, et l’ambition humanitaire de Penn mute immédiatement en démonstration d’ethnocentrisme et de lyrisme dans ce qu’ils peuvent avoir de plus racoleur et bête. Le casting s’agite beaucoup mais n’émeut guère, filmé en gros plans et monté sur hachoir, ce qui n’est pas sans évoquer les boyaux piqués dans des barbelés sur lesquels s’attarde, longuement, la caméra. The Last Face est un naufrage complet qui rappelle qu’une métaphore, aussi forte puisse-t-elle paraître, doit avoir un sens avant de vouloir signifier à tout prix.
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