Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
L'Humanité
par Sophie Joubert
Tout s’emboîte et fait sens, inscrivant Paterson dans la filmographie de Jim Jarmusch comme la pièce manquante du puzzle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Une merveille absolue !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Une collection de rituels, d’instantanés, de vignettes impressionnistes, d’haïkus trempés dans une solution chimique répondant à toutes nos attentes en matière d'esprit, d’humour, d’originalité et de grâce. La beauté à l’état pur ! Un halo de paix.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Jim Jarmush, touché par la grâce, signe un film d'une délicatesse bienveillante, un petit miracle de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Julien Gester
Résolument radieux, délié et anti-spectaculaire, "Paterson" opère à son allure singulière, empreinte d’autant d’indolente tendreté que de délicatesses, et se rêve en précis de zen américain, attaché à parcourir les sourdes ondes de félicité recouvertes par le fracas du monde plutôt qu’à en sonder les failles ou les grands tremblements.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Jim Jarmusch signe, sans nul doute, le film le plus poétique de l'année.
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
POUR : C'est un grand film sur un petit sujet.
Transfuge
par Damien Aubel
(...) le film le plus épuré de Jarmusch (...). Jarmusch propose rien moins qu'un petit traité d'esthétique, avec cette suprême élégance, celle du dandy, qui consiste à ne jamais asséner de leçon.
Télérama
par Jacques Morice
Étranger aux modes, presque démodé, ce poète sans portable et sans oeuvre avance, confiant dans la vie. À son image, le film a la valeur d'un vade-mecum. Qui ne prône ni méthode ni discipline pour trouver le bonheur ou la santé - Jarmusch ne vend pas de ces choses. Il vante seulement un certain art de vivre et de voir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Jo Fishley
Jim Jarmusch fait circuler une poésie des petits riens, de tous les jours, une poésie de la vie lumineuse et enchantée, à la beauté dépouillée, très simple, très ordinaire. Un chauffeur de bus roule, et cela suffit à nos transports. Paterson nous emmène, si loin, si proche.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La Rédaction
Avec "Paterson", Jim Jarmusch souffle un vent de poésie sur les sorties cinéma de cette semaine.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
La vraie gageure d’écriture de Paterson, c’est de faire advenir, dans sa propre forme, les conditions d’émergence de la poésie. Plutôt que de raconter, de montrer ou d’évoquer, le film crée sa propre assise de tranquillité et d’attention pour faire de la poésie une compagne de notre routine.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une exaltation de l'ordinaire décalée, douce et bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Il y a une manière jarmuschienne de raconter ou d’énoncer, de mettre en scène, de filmer, qui fait de cette nouvelle œuvre un enchantement (...) "Paterson" restera comme l’un des meilleurs films du cinéaste, à placer aux côtés de "Stranger Than Paradise", "Down By Law", "Ghost Dog" ou "Dead Man".
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Laissez-vous embarquer par ce petit bijou insolite, superbe et lancinant.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Express
par Eric Libiot
"Paterson" gagen à être vu sans rien attendre de lui. Il ne s'ouvre que si l'on s'en sert. Il sent les fleurs cachées sous une dalle mouillée, caresse les conversations, de tout et de rien, cherche le bonheur derrière les mots et les trouve dans les images d'une vie qui avance sans faire de bruit.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Jim Jarmusch, dans un film haïku, revient au minimalisme tendre et amusé de ses débuts, faisant souffler sur le calme plat de la banalité la légèreté de la poésie.
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Jim Jarmusch magnifie le quotidien d’un couple. Il aurait mérité une palme d’or à Cannes où il a été présenté cette année.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Jim Jarmusch fait rimer simplicité, humanité et générosité dans cette tranche de vie portée par une poésie et une cocasserie réjouissantes.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce que filme ici admirablement Jarmusch, c’est non seulement le « travail » afférent à la poésie, mais plus largement la façon dont le monde alentour se dépose en nous, et se met à résonner au prix d’une longue et lente imprégnation – imprégnation qui serait, en retour, le véritable ferment poétique de l’existence.
Le Parisien
par Catherine Balle
Il ne se passe pas grand-chose dans ce beau film de Jim Jarmusch. Mais en mettant en scène ces personnages qui s'aiment comme dans un conte de fées, il nous incite à croire que toute vie peut être un poème.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Jim Jarmusch livre une chronique à l’infinie modestie, qui agit comme un antidote à l’agitation du cinéma américain contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
"Paterson" est un film de survie poétique. Jarmusch étudie la manière dont les citoyens modèles d'Amérique échappent à la dictature matérialiste de leur vie. Ainsi, ceux qui restaient invisibles dans "Only Lovers Left Alive" méritaient finalement qu'on les regarde et qu'on leur consacre un film.
Paris Match
par Alain Spira
Jarmusch possède la faculté de créer une atmosphère bluesy qui puise ses notes dans les détails et les personnages qui traversent, hors des clous, le quotidien. Avec lui, un bistrot de quartier prend l'allure d'un théâtre intime où les habitués mettent en pièces leurs existences pleines de douleurs et de bonheurs.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
La réussite du film réside dans la correspondance entre l'ambiance visuelle, le montage judicieux et la tonalité des vers.
Première
par Gérard Delorme
En s'interrogeant sur les mystères de l'inspiration et de l'écriture, Jim Jarmusch livre une oeuvre de maturité qui pourrait bien constituer son art poétique.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La fable a un extraordinaire pouvoir de séduction dont la simplicité n’est pas le moindre.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Le nouveau poème visuel de Jim Jarmusch emprunte autant à la littérature qu’à l’extravagante comédie qu’est notre quotidien. Que de volupté dans ces tours et détours à Paterson.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Intelligente, tendre et fine, la poésie quotidienne de Paterson séduit, mais ronronne un peu.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Arnaud Schwartz
Concédons-le, la dernière œuvre de Jim Jarmusch peut déconcerter, voire laisser de marbre. (...) Ses personnages ont alors tout loisir d’y déployer leur créativité et le cinéaste d’y laisser fleurir son humour pince-sans-rire. Attention : objet fragile flottant au gré des courants intérieurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
Chantre de l’anaphore, Jim Jarmusch fragmente les espaces et les corps en un habile jeu de poupées gigognes.
Critikat.com
par Josué Morel
S’il l’on gratte le vernis qui recouvre le film, l’apparente sophistication de la ritournelle révèle une vacuité familière.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
CONTRE : Jim Jarmusch (...) ne bouge pas. Ou si peu.
L'Humanité
Tout s’emboîte et fait sens, inscrivant Paterson dans la filmographie de Jim Jarmusch comme la pièce manquante du puzzle.
L'Obs
Une merveille absolue !
La Voix du Nord
Une collection de rituels, d’instantanés, de vignettes impressionnistes, d’haïkus trempés dans une solution chimique répondant à toutes nos attentes en matière d'esprit, d’humour, d’originalité et de grâce. La beauté à l’état pur ! Un halo de paix.
Le Figaro
Jim Jarmush, touché par la grâce, signe un film d'une délicatesse bienveillante, un petit miracle de poésie.
Libération
Résolument radieux, délié et anti-spectaculaire, "Paterson" opère à son allure singulière, empreinte d’autant d’indolente tendreté que de délicatesses, et se rêve en précis de zen américain, attaché à parcourir les sourdes ondes de félicité recouvertes par le fracas du monde plutôt qu’à en sonder les failles ou les grands tremblements.
Ouest France
Jim Jarmusch signe, sans nul doute, le film le plus poétique de l'année.
Studio Ciné Live
POUR : C'est un grand film sur un petit sujet.
Transfuge
(...) le film le plus épuré de Jarmusch (...). Jarmusch propose rien moins qu'un petit traité d'esthétique, avec cette suprême élégance, celle du dandy, qui consiste à ne jamais asséner de leçon.
Télérama
Étranger aux modes, presque démodé, ce poète sans portable et sans oeuvre avance, confiant dans la vie. À son image, le film a la valeur d'un vade-mecum. Qui ne prône ni méthode ni discipline pour trouver le bonheur ou la santé - Jarmusch ne vend pas de ces choses. Il vante seulement un certain art de vivre et de voir.
Bande à part
Jim Jarmusch fait circuler une poésie des petits riens, de tous les jours, une poésie de la vie lumineuse et enchantée, à la beauté dépouillée, très simple, très ordinaire. Un chauffeur de bus roule, et cela suffit à nos transports. Paterson nous emmène, si loin, si proche.
CNews
Avec "Paterson", Jim Jarmusch souffle un vent de poésie sur les sorties cinéma de cette semaine.
Cahiers du Cinéma
La vraie gageure d’écriture de Paterson, c’est de faire advenir, dans sa propre forme, les conditions d’émergence de la poésie. Plutôt que de raconter, de montrer ou d’évoquer, le film crée sa propre assise de tranquillité et d’attention pour faire de la poésie une compagne de notre routine.
CinemaTeaser
Une exaltation de l'ordinaire décalée, douce et bouleversante.
Culturopoing.com
Il y a une manière jarmuschienne de raconter ou d’énoncer, de mettre en scène, de filmer, qui fait de cette nouvelle œuvre un enchantement (...) "Paterson" restera comme l’un des meilleurs films du cinéaste, à placer aux côtés de "Stranger Than Paradise", "Down By Law", "Ghost Dog" ou "Dead Man".
Femme Actuelle
Laissez-vous embarquer par ce petit bijou insolite, superbe et lancinant.
L'Express
"Paterson" gagen à être vu sans rien attendre de lui. Il ne s'ouvre que si l'on s'en sert. Il sent les fleurs cachées sous une dalle mouillée, caresse les conversations, de tout et de rien, cherche le bonheur derrière les mots et les trouve dans les images d'une vie qui avance sans faire de bruit.
Le Dauphiné Libéré
Jim Jarmusch, dans un film haïku, revient au minimalisme tendre et amusé de ses débuts, faisant souffler sur le calme plat de la banalité la légèreté de la poésie.
Le Figaroscope
Jim Jarmusch magnifie le quotidien d’un couple. Il aurait mérité une palme d’or à Cannes où il a été présenté cette année.
Le Journal du Dimanche
Jim Jarmusch fait rimer simplicité, humanité et générosité dans cette tranche de vie portée par une poésie et une cocasserie réjouissantes.
Le Monde
Ce que filme ici admirablement Jarmusch, c’est non seulement le « travail » afférent à la poésie, mais plus largement la façon dont le monde alentour se dépose en nous, et se met à résonner au prix d’une longue et lente imprégnation – imprégnation qui serait, en retour, le véritable ferment poétique de l’existence.
Le Parisien
Il ne se passe pas grand-chose dans ce beau film de Jim Jarmusch. Mais en mettant en scène ces personnages qui s'aiment comme dans un conte de fées, il nous incite à croire que toute vie peut être un poème.
Les Fiches du Cinéma
Jim Jarmusch livre une chronique à l’infinie modestie, qui agit comme un antidote à l’agitation du cinéma américain contemporain.
Les Inrockuptibles
"Paterson" est un film de survie poétique. Jarmusch étudie la manière dont les citoyens modèles d'Amérique échappent à la dictature matérialiste de leur vie. Ainsi, ceux qui restaient invisibles dans "Only Lovers Left Alive" méritaient finalement qu'on les regarde et qu'on leur consacre un film.
Paris Match
Jarmusch possède la faculté de créer une atmosphère bluesy qui puise ses notes dans les détails et les personnages qui traversent, hors des clous, le quotidien. Avec lui, un bistrot de quartier prend l'allure d'un théâtre intime où les habitués mettent en pièces leurs existences pleines de douleurs et de bonheurs.
Positif
La réussite du film réside dans la correspondance entre l'ambiance visuelle, le montage judicieux et la tonalité des vers.
Première
En s'interrogeant sur les mystères de l'inspiration et de l'écriture, Jim Jarmusch livre une oeuvre de maturité qui pourrait bien constituer son art poétique.
Sud Ouest
La fable a un extraordinaire pouvoir de séduction dont la simplicité n’est pas le moindre.
aVoir-aLire.com
Le nouveau poème visuel de Jim Jarmusch emprunte autant à la littérature qu’à l’extravagante comédie qu’est notre quotidien. Que de volupté dans ces tours et détours à Paterson.
Ecran Large
Intelligente, tendre et fine, la poésie quotidienne de Paterson séduit, mais ronronne un peu.
La Croix
Concédons-le, la dernière œuvre de Jim Jarmusch peut déconcerter, voire laisser de marbre. (...) Ses personnages ont alors tout loisir d’y déployer leur créativité et le cinéaste d’y laisser fleurir son humour pince-sans-rire. Attention : objet fragile flottant au gré des courants intérieurs.
La Septième Obsession
Chantre de l’anaphore, Jim Jarmusch fragmente les espaces et les corps en un habile jeu de poupées gigognes.
Critikat.com
S’il l’on gratte le vernis qui recouvre le film, l’apparente sophistication de la ritournelle révèle une vacuité familière.
Studio Ciné Live
CONTRE : Jim Jarmusch (...) ne bouge pas. Ou si peu.