Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Libération
par Didier Péron
Le film nous semble si précieux qu’on voudrait l’avoir dans la poche comme un objet porte-bonheur pour affronter sans peur les nombreux «pourquoi ?» qui attendent encore aux détours des chemins.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Libération
par Julien Gester
Une coproduction franco-japonaise, qui se révèle sans doute le plus beau film de la cinéaste depuis Shara, onze ans déjà. Et un éminent candidat à rallier la "Leçon de piano" de Jane Campion au sein du club, pour l’heure restreint à un unique membre, des films palmés réalisés par une femme (biologique).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Ne manquez pas le chef d'oeuvre de Naomi Kawase, film zen et ample, qui vous laisse apaiser comme après une séance de méditation.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Splendeur visuelle, ce poème cinématographique est la plus belle réussite de Naomi Kawase et l’un des chocs esthétiques du Festival de Cannes 2014.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Sandra Benedetti
Voir le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Film onirique et contemplatif à la sensualité à fleur de peau, les effluves de volubilis déploient autour de ces trois itinéraires de vie un voile protecteur.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film élégiaque de Naomi Kawase, sélectionné au Festival de Cannes, tourné sur une île du Japon, prend les allures d’un beau poème philosophique sur l’amour et la mort.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Naomi Kawase ou l’art de filmer avec une extrême délicatesse ce que les êtres partagent au quotidien, ce qui leur est familier et naturel : moments fugitifs, changements imperceptibles, bruissement d’herbes folles, mugissement des flots, nature en colère, climats sonores, textures de voix.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un chant d’amour inspiré pour la nature, porté par une pensée animiste et par une recherche formelle traduisant la beauté de l’univers.
Le Journal du Dimanche
par Danièle Attali
(...) "Still the Water" fait l'effet d'une piqûre de rappel pour dire le temps qui passe et la vie qui, malgré tout, continue. Mais cette piqûre se révèle envoûtante, d'une force incomparable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un vibrant hymne à la vie dans tous ses états.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gaël Golhen
(...) la cinéaste embrasse les existences de ses personnages avec une infinie douceur, filme la mort comme un voyage magnifique (...). Surtout, elle capte comme personne l’averse, la vague qui se brise sur un rocher ou le souffle de la montagne, échos d’un temps enfui qui peuvent faire renaître l’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Naomi Kawase met en scène ce récit d’initiation d’un geste sûr, plein de délicatesse et de grâce.
Franceinfo Culture
par Jacky Boirnet
Naomi Kawase résout une alchimie subtile, avec son art contemplatif, propre à l'Asie et au Japon en particulier. Elle participe d'un art, au croisement de l'ancestralité, de la nature et du contemporain qui élève son œuvre, de film en film, au rang de poésie filmique, en traitant de la métamorphose, paradigme de l'immortalité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Délaissant ses spéculations ésotériques lancinantes, Naomi Kawase retrouve ici une grande fluidité, dans sa mise en scène autant que dans son propos, et livre une chronique initiatique énergisante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Metro
par Mehdi Omaïs
Au final, ce long métrage, loin de démériter, ne s’apprécie réellement qu’à la condition sine qua none de percer sa bulle. Nul doute que l’expérience sensorielle doit clairement en valoir le détour pour ceux qui sont parvenus à nager sur le sillage des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un cinéma sensible et délicat, qui s'enferme parfois dans ses symboles et ses références.
Positif
par Ariane Allard
C'est beau, oui, mais c'est démonstratif. Du coup, tandis que la réalisatrice en appelle au retour à la nature - donc à la simplicité -, on se demande si ce n'est pas, précisément, cette humilité qui fait le plus défaut à son film.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
(...) s'il est plastiquement somptueux, le film semble moins caressé par la grâce, comme écrasé par une lourdeur théorique.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Samuel Douhaire
Place de la mort dans nos vies, transmission entre les générations : "Still the water" brasse avec douceur les thèmes fétiches d'une cinéaste plus que jamais en communion avec la nature. Mais la réalisatrice a cru bon, hélas, de souligner son propos panthéiste dans une dernière demi-heure interminable (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Fabie Reyre
La réalisatrice japonaise déroule sagement la même pelote formelle (...) dans une fausse économie de geste qui confine à la pose.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Si Naomi Kawase pousse un peu trop son plaisir de la contemplation, rien n'empêche pourtant une ou deux fulgurance de surgir de l'ennui (...).
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Sous l’apologie d’une liberté, y compris sexuelle, que les adolescents pourraient acquérir au contact de la nature, se cache un regard inquisiteur sur leurs peurs et leurs désirs. On est loin de la délicatesse de Shara.
Positif
par Pierre Eisenreich
La durée d'un plan, dont la composition visuelle et sonore ne varie pas, ne fait rien naître, si ce n'est le temps qui passe. Pour conjurer l'ennui qui point, le spectateur, mais aussi l'artiste, vont y plaquer une interprétation narcissique, idéaliste, voire conceptuelle qui ne comble pas un vide, incapable de prendre en compte le réel filmé.
Libération
Le film nous semble si précieux qu’on voudrait l’avoir dans la poche comme un objet porte-bonheur pour affronter sans peur les nombreux «pourquoi ?» qui attendent encore aux détours des chemins.
Libération
Une coproduction franco-japonaise, qui se révèle sans doute le plus beau film de la cinéaste depuis Shara, onze ans déjà. Et un éminent candidat à rallier la "Leçon de piano" de Jane Campion au sein du club, pour l’heure restreint à un unique membre, des films palmés réalisés par une femme (biologique).
Paris Match
Ne manquez pas le chef d'oeuvre de Naomi Kawase, film zen et ample, qui vous laisse apaiser comme après une séance de méditation.
aVoir-aLire.com
Splendeur visuelle, ce poème cinématographique est la plus belle réussite de Naomi Kawase et l’un des chocs esthétiques du Festival de Cannes 2014.
L'Express
Voir le site de l'Express.
L'Humanité
Film onirique et contemplatif à la sensualité à fleur de peau, les effluves de volubilis déploient autour de ces trois itinéraires de vie un voile protecteur.
La Croix
Ce film élégiaque de Naomi Kawase, sélectionné au Festival de Cannes, tourné sur une île du Japon, prend les allures d’un beau poème philosophique sur l’amour et la mort.
La Voix du Nord
Naomi Kawase ou l’art de filmer avec une extrême délicatesse ce que les êtres partagent au quotidien, ce qui leur est familier et naturel : moments fugitifs, changements imperceptibles, bruissement d’herbes folles, mugissement des flots, nature en colère, climats sonores, textures de voix.
Le Dauphiné Libéré
Un chant d’amour inspiré pour la nature, porté par une pensée animiste et par une recherche formelle traduisant la beauté de l’univers.
Le Journal du Dimanche
(...) "Still the Water" fait l'effet d'une piqûre de rappel pour dire le temps qui passe et la vie qui, malgré tout, continue. Mais cette piqûre se révèle envoûtante, d'une force incomparable.
Les Inrockuptibles
Un vibrant hymne à la vie dans tous ses états.
Première
(...) la cinéaste embrasse les existences de ses personnages avec une infinie douceur, filme la mort comme un voyage magnifique (...). Surtout, elle capte comme personne l’averse, la vague qui se brise sur un rocher ou le souffle de la montagne, échos d’un temps enfui qui peuvent faire renaître l’espoir.
Sud Ouest
Naomi Kawase met en scène ce récit d’initiation d’un geste sûr, plein de délicatesse et de grâce.
Franceinfo Culture
Naomi Kawase résout une alchimie subtile, avec son art contemplatif, propre à l'Asie et au Japon en particulier. Elle participe d'un art, au croisement de l'ancestralité, de la nature et du contemporain qui élève son œuvre, de film en film, au rang de poésie filmique, en traitant de la métamorphose, paradigme de l'immortalité.
Les Fiches du Cinéma
Délaissant ses spéculations ésotériques lancinantes, Naomi Kawase retrouve ici une grande fluidité, dans sa mise en scène autant que dans son propos, et livre une chronique initiatique énergisante.
Metro
Au final, ce long métrage, loin de démériter, ne s’apprécie réellement qu’à la condition sine qua none de percer sa bulle. Nul doute que l’expérience sensorielle doit clairement en valoir le détour pour ceux qui sont parvenus à nager sur le sillage des personnages.
Ouest France
Un cinéma sensible et délicat, qui s'enferme parfois dans ses symboles et ses références.
Positif
C'est beau, oui, mais c'est démonstratif. Du coup, tandis que la réalisatrice en appelle au retour à la nature - donc à la simplicité -, on se demande si ce n'est pas, précisément, cette humilité qui fait le plus défaut à son film.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
(...) s'il est plastiquement somptueux, le film semble moins caressé par la grâce, comme écrasé par une lourdeur théorique.
Télérama
Place de la mort dans nos vies, transmission entre les générations : "Still the water" brasse avec douceur les thèmes fétiches d'une cinéaste plus que jamais en communion avec la nature. Mais la réalisatrice a cru bon, hélas, de souligner son propos panthéiste dans une dernière demi-heure interminable (...).
Critikat.com
La réalisatrice japonaise déroule sagement la même pelote formelle (...) dans une fausse économie de geste qui confine à la pose.
TéléCinéObs
Si Naomi Kawase pousse un peu trop son plaisir de la contemplation, rien n'empêche pourtant une ou deux fulgurance de surgir de l'ennui (...).
Cahiers du Cinéma
Sous l’apologie d’une liberté, y compris sexuelle, que les adolescents pourraient acquérir au contact de la nature, se cache un regard inquisiteur sur leurs peurs et leurs désirs. On est loin de la délicatesse de Shara.
Positif
La durée d'un plan, dont la composition visuelle et sonore ne varie pas, ne fait rien naître, si ce n'est le temps qui passe. Pour conjurer l'ennui qui point, le spectateur, mais aussi l'artiste, vont y plaquer une interprétation narcissique, idéaliste, voire conceptuelle qui ne comble pas un vide, incapable de prendre en compte le réel filmé.