AlloCiné
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Votre avis sur Alliés ?
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Le film est bien, il est un peu long a certain moment, Marion Cotillard et Brad Pitt jouent très bien et sinon l'histoire est bien construite !
Bon film...
Marion Cotillard et Brad Pitt forment un bon duo.
Quelques longueurs mais cela reste très sympa.
Marion Cotillard et Brad Pitt forment un bon duo.
Quelques longueurs mais cela reste très sympa.
Du déjà vu , rien d exceptionnel. Je m'attendais peut être à un film d'espionnage. Marion Cotillard , belle prestation . Brad Pitt moyen .
Film sans enjeu mais reste acceptable. Le suspens ne tien pas plus que ça, mais les acteurs jouent beaucoup plus sur leur notoriété. Je serai curieux de voir le meme film avec des acteurs prometteurs et inconnus du grand public...
ultra émouvant et je comprend pas pourquoi il a de si mauvaise critiques! Je vous le conseil fortement
Ce film manque cruellement t'intérêt et peine à décoller même avec un escellent casting.
Je regrette la fin et le début trop long.
Et l'histoire de l'accent de Brad Pitt est sans intérêt.
Je regrette la fin et le début trop long.
Et l'histoire de l'accent de Brad Pitt est sans intérêt.
On ne peut pas dire que Robert Zemeckis fasse des étincelles avec un long métrage relativement vain qui ne choisit finalement pas vraiment les bons axes dans son scénario et se trouve tout du long sur un tempo assez étrange. Ca se laisse regarder car ce n’est pas si déplaisant à voir, mais c’est tout de même très largement oubliable.
Agréablement surpris par ce film, que j'avais hésité à aller voir! Une belle histoire, sans temps mort, une belle photographie, et une intrigue qui nous fait douter jusqu'au bout...Marion Cotillard est sublime, Brad Pitt nettement moins; c'est peut-être là la seule faiblesse du film. Mais vraiment très bien!
Yves G.
J’ai lu et entendu tant de mal de « Alliés » que j’ai bien failli me laisser décourager d’aller le voir. Sans doute si on le compare à l’incomparable « Casablanca » – avec lequel il a la maladresse de vouloir se frotter – sera-t-on nécessairement déçu. Mais si on le prend pour ce qu’il est, soit un honnête film à grand spectacle hollywoodien, pourra-t-on le goûter sans déplaisir.
L’histoire de « Alliés » est bizarrement coupée en deux. À une époque où les réalisateurs rythment leur scénario à coup de flash back et de flash forward au risque d’y égarer le spectateur (voir récemment « La Fille du train » ou « Premier contact »), Robert Zemeckis suit son bonhomme de chemin gentiment chronologique.
La première partie du film se déroule à Casablanca. Deux espions, un Canadien (Brad Pitt) et une Française (Marion Cotillard), se font passer pour un couple marié afin d’infiltrer la Kommandantur et d’assassiner l’ambassadeur allemand. On se croirait dans un « Indiana Jones » mâtiné de « Patient anglais » : décors de cartons pâtes, toilettes somptueuses, amours romantiques, fusillades et héros victorieux.
Tout change dans la seconde partie. Elle se déroule à Londres, sous la pluie, pendant le Blitz. Les deux espions ont si bien joué leur rôle qu’ils se sont épris l’un de l’autre, se sont mariés, ont eu un enfant… jusqu’au jour où le contre-espionnage britannique annonce au beau Canadien que son épouse travaille peut-être pour l’ennemi.
Cette seconde partie est plus faiblarde que la première. Parce que Robert Zemeckis n’est pas John Le Carré et « Alliés » n’a pas la complexité de « La Taupe ». Le scénario s’appauvrit dans un dilemme binaire : Marianne Beauséjour pourra-t-elle être purgée par son époux aimant des soupçons qui pèsent contre elle ? Le dénouement donne la réponse, trop simple, à cette question. L’épilogue qui prolonge cette fin téléphonée n’en est pas moins très émouvant.
L’histoire de « Alliés » est bizarrement coupée en deux. À une époque où les réalisateurs rythment leur scénario à coup de flash back et de flash forward au risque d’y égarer le spectateur (voir récemment « La Fille du train » ou « Premier contact »), Robert Zemeckis suit son bonhomme de chemin gentiment chronologique.
La première partie du film se déroule à Casablanca. Deux espions, un Canadien (Brad Pitt) et une Française (Marion Cotillard), se font passer pour un couple marié afin d’infiltrer la Kommandantur et d’assassiner l’ambassadeur allemand. On se croirait dans un « Indiana Jones » mâtiné de « Patient anglais » : décors de cartons pâtes, toilettes somptueuses, amours romantiques, fusillades et héros victorieux.
Tout change dans la seconde partie. Elle se déroule à Londres, sous la pluie, pendant le Blitz. Les deux espions ont si bien joué leur rôle qu’ils se sont épris l’un de l’autre, se sont mariés, ont eu un enfant… jusqu’au jour où le contre-espionnage britannique annonce au beau Canadien que son épouse travaille peut-être pour l’ennemi.
Cette seconde partie est plus faiblarde que la première. Parce que Robert Zemeckis n’est pas John Le Carré et « Alliés » n’a pas la complexité de « La Taupe ». Le scénario s’appauvrit dans un dilemme binaire : Marianne Beauséjour pourra-t-elle être purgée par son époux aimant des soupçons qui pèsent contre elle ? Le dénouement donne la réponse, trop simple, à cette question. L’épilogue qui prolonge cette fin téléphonée n’en est pas moins très émouvant.
Tout le monde le connait à travers son patrimoine : la trilogie « Retour vers le futur », « Forrest Gump », « Seul au monde », ect… Robert Zemeckis revient avec « Alliés ». Une belle affiche, des clichés prometteurs, un casting étincelant… Sur un jolie papier glacé, le film promet. Le long-métrage débute avec une certaine lenteur qui pose malgré tout le contexte. Dans cette monotonie, quelques notes d’actions dynamiques se font rares mais se distingue, notamment la fameuse scène de l’attaque terroriste lors du bal nazi, passage symbolique du film. Ce manque de punch qui frôle de basculer dans la lassitude rattrape d’un coup le spectateur ! En effet, l’absence de rythme devient significatif lorsque que Max apprend que sa femme a une double identité. Commence alors une traque psychologique qui nous maintient sur notre fauteuil faisant appel à nos instincts les plus paranoïaques. Ainsi, « Alliés » ne s’arrête pas seulement au stade de thriller cinématographique mais choisit avec perversité de s’appuyer sur une pression afin d’exploser la chute finale. Aussi, l’oeuvre est un enchaînement de tableaux dépaysants à voir avec admiration. En effet, ce retour à la Seconde Guerre Mondiale débute à Casablanca, se poursuit à Londres… Des images de guerre éblouissantes avec un duo Marion Cotillard et Brad Pitt au summum du glamour. Quelques apparitions surprises tout aussi agréable, Camille Cottin se révèle comme une véritable comédienne malgré un bref passage et Thierry Frémont dépasse l’entendement dans un jeu d’acteur court et pourtant clé à l’avancement du biopic.
Bilan : « Alliés » ne fera pas l’unanimité. Cependant, ce thriller dérangeant reste inhabituel au grand écran et par conséquent, un excellente surprise.
Bilan : « Alliés » ne fera pas l’unanimité. Cependant, ce thriller dérangeant reste inhabituel au grand écran et par conséquent, un excellente surprise.
Un film long et lourd... pas captivant, des temps-mort anime le film, scénario léger, des effets spéciaux Digne des années 90.
Vanessa L
Je dois dire que j’avais hâte de le voir même si j’avais entendu au premier abord que Brad Pitt n’était pas super dans ce film. Finalement, j’ai beaucoup aimé et j’ai trouvé que le duo était parfait ! Alliés c’est avant tout une histoire d’amour, Max arrive à Casablanca pour une mission et il rencontre Marianne qui est censé être sa femme. Ils jouent tout les deux leur rôle pour arriver à remplir leur mission. C’est pendant celle-ci que Max demande à Marianne de venir avec lui à Londres et de l’épouser. L’histoire aurait pu très bien continuer comme cela mais bien entendu un énorme rebondissement arrive, on dit à Max que Marianne est suspectée d’être une espionne allemande et qu’il le saura au bout de 72h après un test qu’on lui fait passer. On ne peut pas dire qu’il y ait énormément d’action pendant le film mais il y en a quelques scènes quand même qui sont plutôt efficaces et qui tournent bien autour de la guerre qui entoure toute l’histoire. J’aime beaucoup l’esthétique du film, on ressent vraiment l’envie de donner un très bon esthétisme aussi bien au niveau des décors que des costumes. Il y a des passages assez poignant comme la fin mais également le passage où Marianne accouche pendant les bombardements c’est assez fort je trouve. C’est une belle histoire d’amour entre eux, on les sent très proches tous les deux et on a du mal à croire que Marianne a pu trahir Max.
En résumé, Alliés est un très bon film où le suspens est bien soutenu tout du long. L’histoire est mise en place doucement et le doute est posé d’un coup et entretenu pendant tout le reste du film. On arrive à douter également et on se demande le fin mot de l’histoire. Le duo Cotillard/Pitt est vraiment très bon et colle parfaitement à l’histoire. J’espère les revoir tous les deux dans un prochain film. Je vous encourage à aller le voir tant qu’il est encore à l’affiche !
En résumé, Alliés est un très bon film où le suspens est bien soutenu tout du long. L’histoire est mise en place doucement et le doute est posé d’un coup et entretenu pendant tout le reste du film. On arrive à douter également et on se demande le fin mot de l’histoire. Le duo Cotillard/Pitt est vraiment très bon et colle parfaitement à l’histoire. J’espère les revoir tous les deux dans un prochain film. Je vous encourage à aller le voir tant qu’il est encore à l’affiche !
Je ne comprends pas comment on peut bouder son plaisir devant ce bijou hors du temps. Bien sûr, c'est aussi moderne que "Tant qu'il y aura des hommes" ou "Autant en emporte le Vent" ! Mais ça en a justement le souffle épique. C'est du grand cinoche hollywoodien, démodé, ringardisé par des décennies de zombies et de Guerres des Etoiles 242... Sauf que c'est magique parce que les acteurs sont glamour (et pourtant, c'était pas gagné d'avance pour moi pour Cotillard ou Pitt avec sa nouvelle tête !), parce que les décors sont somptueux, les plans à tomber et l'histoire riche et pleine de rebondissements, de bruit de fureur, de suspense et de passion. Que demander de plus ?
Alors, Casablanca est improbable ? Evidemment ! Mais quand c'est avec Bogart, on y croit plus, peut-être ? Et Paris, dans "Un Américain..." ? Oui, les conventions du grand cinéma hollywoodien sont toutes réunies et le savoir-faire moderne (et c'est à mes yeux la principale qualité de ce film) est totalement caché sous la beauté plastique de l'ensemble. Soyons sérieux, personne n'a vendu ce film comme une reconstitution !
C'est une aventure épique, somptueuse, doublée d'une belle histoire d'amour, de tendresse, de passion.
Alors, pourquoi, mais vraiment pourquoi bouder son plaisir ?
Alors, Casablanca est improbable ? Evidemment ! Mais quand c'est avec Bogart, on y croit plus, peut-être ? Et Paris, dans "Un Américain..." ? Oui, les conventions du grand cinéma hollywoodien sont toutes réunies et le savoir-faire moderne (et c'est à mes yeux la principale qualité de ce film) est totalement caché sous la beauté plastique de l'ensemble. Soyons sérieux, personne n'a vendu ce film comme une reconstitution !
C'est une aventure épique, somptueuse, doublée d'une belle histoire d'amour, de tendresse, de passion.
Alors, pourquoi, mais vraiment pourquoi bouder son plaisir ?
J'ai trouvé ce film génial. J'ai même fait couler une larme à la fin. Les acteurs sont géniaux la bande son excellente on a le suspens jusqu'au bout .
Sans doute le pire film que j'ai vu cette année. Il y a les films d'horreur et les films horribles. C'en est un. C'est long et pénible comme un jour de bombardement. C'est totalement invraisemblable et bourré d'anachronismes. En 1944, à Londres, on a une voiture avec de l'essence pour aller bosser. En 1944, à Londres, on fait la fête, on mange, on boit... En 1944, à Londres, on a le téléphone à la maison. En 1944, à Londres, on a une garde robe de prince et de princesse... Tout est juste ridicule. Le top revient à la frangine lesbienne et un peu exhibo. Rappelons qu'Alan Turing, mathématicien inventeur des principe de l'informatique qui décoda "Enigma" le système ultra-sophistiqué des nazis, génie absolu et artisan de la victoire, a fini condamné pour "perversion" parce qu'il préférait la banane à l'abricot.
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