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Jipéhel
39 abonnés
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4,0
Publiée le 20 avril 2022
De mieux en mieux
David Yates est un grand habitué des adaptations des romans de J.K.Rowling. Après avoir réalisé 4 des films de la saga Harry Potter, il rempile ici en dirigeant le 3ème volet des Animaux Fantastiques, après les 2 premiers. C’est vous dire s’il est à l’aise dans cet univers d’aventures fantastiques. Le professeur Albus Dumbledore sait que le puissant mage noir Gellert Grindelwald cherche à prendre le contrôle du monde des sorciers. Incapable de l’empêcher d’agir seul, il sollicite le magizoologiste Norbert Dragonneau pour qu’il réunisse des sorciers, des sorcières et un boulanger moldu au sein d’une équipe intrépide. Leur mission des plus périlleuses les amènera à affronter des animaux, anciens et nouveaux, et les disciples de plus en plus nombreux de Grindelwald. Pourtant, dès lors, que les enjeux sont aussi élevés, Dumbledore pourra-t-il encore rester longtemps dans l’ombre ? Ces nouvelles 142 minutes ne dépareront pas la qualité de son palmarès. Brillant, efficace et mise en scène virtuose. Du CINEMA ! Le plus à craindre dans ce genre de séance, c’est la marée de pop-corn qui envahit la salle. Mais très vite, les mastications frénétiques s’arrêtent devant le rythme effréné des aventures des héros de Madame Rowling. C’est un festival. Il ne se passe pas 20 secondes sans une invention visuelle ou une trouvaille scénaristique. A couper le souffle. Les effets spéciaux sont ahurissants… du grand art. Par contre les farfouillis et les bruits de mâchoires reprennent dès que les dialogues prennent le dessus. Souvent introspectif, quasi philosophique, le propos s’assombrit – à l’image des décors et des lumières – quand on parle des tréfonds de l’âme humaine et que la parabole sur la montée du nazisme se concrétise. Ce film s’adresse à tous les âges et se révèle sans doute comme le plus brillant des 3 volets. Pas un bouton de guêtre ne manque à l’univers des moldus et des sorciers. Il faut dire qu’on retrouve la même équipe technique, scénaristes, décorateur, costumière, monteur, superviseur des effets visuels, et le même musicien, James Newton Howard… Pour les fans, c’est un régal, ils se retrouvent dans le monde d’Harry Potter qu’ils ont tant aimé, et pour les novices, on a fait en sorte que le scénario soit suffisamment clair pour comprendre une histoire pourtant sacrément complexe. Une complète réussite. Côté casting, c’est là aussi du nanan. Eddie Redmayne, qui s’affirme de film en film, Jude Law et Mads Mikkelsen, les meilleurs ennemis, parfaits dans des rôles plus que complexes, et bien sûr Ezra Miller, Dan Fogler, et une pléiade d’actrices et d’acteurs au top font de ce film, je le répète, une complète réussite. Du vrai divertissement avec une toile de fond politico-psychologique plutôt bien imaginée. Certains vont sûrement ergoter. Mais, si on veut bien être honnête, tout cela reste très largement au-dessus de tout ce qu’on peut voir dans le style depuis deux décennies – le 1er volet Harry Potter à l’école des sorciers date de 2001 -. Et franchement, il n’y a jamais de mal à se faire du bien.
James Newton Howard nous enchante une fois encore avec sa partition qui constitue la seule grâce d’une production nulle et dépourvue de cinéma. L’ouverture saisissante du deuxième opus, l’enquête urbaine du premier dans laquelle mystère et magie cohabitaient, tout cela a disparu au profit d’une suite d’anecdotes relatives au bien et au mal, à l’engagement amoureux ou à l’amour blessé.
L’écriture sérielle tente également de mêler la candeur du film originel Harry Potter (Chris Columbus, 2001) à la noirceur esthétique et tonale chère à David Yates : quatre-vingt-dix minutes se sont péniblement écoulées, et voici Poudlard qui apparaît, au tout-numérique repoussant, fort de la pâle reprise du thème mémorable de John Williams et d’un goût pour l’insouciance et la naïveté malvenu. L’hybridation ne convainc jamais et le long métrage pâtit d’une carence identitaire terrible, quoique les transitions entre les mondes s’avèrent réussies ; il n’a rien à raconter, rien à montrer non plus puisque les éléments un tant soit peu nouveaux sont empruntés au Tournoi des trois sorciers ou à la seconde partie des Reliques de la mort (2011), lors de l’affrontement entre professeur et sorcier noir etc.
Le discours animaliste balourd achève de plomber un produit de consommation destiné à rassasier des fans peu regardants et similaire au pop-corn : ça s’engloutit, ça occupe et ça ankylose. Une galvanisation ratée de la saga Harry Potter qui prouve que l’adage défendu par le film, selon lequel « là où il y avait un avant, il y a désormais un après », n’est en rien un signe de qualité.
Très mauvais, le pire de la série. Seul les acteurs relèvent le niveau. Le scénario fait de la peine, on y apprend que Dumbledore aime jouer avec la baguette de Grindelwald. Passionnant! Le film est long, on s'ennuie beaucoup. Seule la scène dans la prison est amusante mais elle n'a strictement aucune utilité dans le scénario.
Le retour dans la magie est bien là ! Peros je le trouve plus construit que le 2 et aussi bien que le 1 et si il y a pas de 4 c'est pas grave... cette trilogie sera parfaite
Comme l'impression d'avoir vu un épisode filler de la saison 7 d'une série un peu nulle (coûtant 200 M$). Rien ne mène à rien; en terme d'écriture, c'es le néant. Il doit exister sur le net une fan fiction érotique entres Ron et Dobby avec un meilleur scénario. Clairement le produit d'un naufrage interne rempli avec du fan service et des gags pour récupérer les derniers billets possibles. PS: Veuillez vous abstenir d'intégrer des acteurs comme Mads Mikkelsen dans de telles bouses svp.
Le meilleur des trois. Très peu de temps mort, et ce qu'on pourra considérer comme temps mort est utile. De l'humour de temps en temps, mais qui ne tombe jamais à plat. Jude Law au top. Mikkelsen meilleur que Depp dans le rôle de Grindelwald. Vraiment, tout sonne juste dans ce 3e opus. Vu la semaine dernière en VO (tellement mieux), et je pense me faire le petit plaisir de le revoir une 2e fois au cinéma (n'attendez pas qu'il n'y soit plus si vous aimez cet univers, ce serait du gâchis). Franchement, j'avais aimé les deux premier sans être transporté, mais la montée en puissance de la saga est indéniable. Mon seul point d'interrogation concerne la suite. spoiler: En effet, tous les bouts de ficelles des pelotes des 2 premiers épisodes ont été tirés, et on repart à zéro niveau intrigue. Le 4e représentera donc un défi niveau scénaristique.
Après un deuxième opus en demi teinte, le troisième volet est époustouflant ! A la fois nostalgique, émouvant, drôle à certains moments, et plein de suspense ! Mikkelsen reprend le rôle de Depp à la perfection, les nouveaux arrivants sont plein de fraîcheur !
Plutôt déçu beaucoup de Longueurs j'ai failli m'endormir Les plans les tons bistres n apportent rien pas beaucoup d'action les effets spéciaux sont pas mal mais plutôt rare pas un bon film
il y des secrets qui devraient rester secret ... LES ANIMAUX FANTASTIQUES : LES SECRETS DE DUMBLEDORE ,
J'ai regardé deux fois pour être sure que c'était le meme réalisateur qui avait fait les 2 premiers car franchement on a l'impression qu'il a relu le resumé des précédents sur Wikipedia ...
pas de rythme, des longueurs, des batailles, pardon petit combat à l'arrache, intrigue M6, Animaux fantastiques Heu...... 5 donc 3 connus des secrets moyennement secrets
Comme dirait Gandalf Fuyez ! Pauvres fous ! Fuyez !
Si le premier volet des “Animaux Fantastiques” suscitait l’intérêt, que le second épisode introduisait laborieusement de nouveaux personnages en promettant une troisième partie exceptionnelle, on attendra quatre ans pour voir finalement Johnny Depp chassé du tournage pour problèmes conjugaux. Si la présence de Mads Mikkelsen au casting ne fait absolument pas défaut à cette suite, c’est son intrigue de 2h22 qui plonge le spectateur dans un profond ennui. “Les Animaux Fantastiques 3 : les Secrets de Dumbledore” est très bavard et les scènes d’action sont trop rares. Où sont donc l’âme et la magie des Harry Potter ? Poudlard s’est éteint. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
difficile de voir le monde d'harry Potter a travers ce Dumbledore là.. cette franchise des animaux fantastiques le dérange.. les acteurs le collent pas a'la peau.. c'est étrange.. j'arrive pas à le familiariser avec eux .. et sa se ressent dans l'histoire.. on a du mal à s'attache à eux.. a les suivrent.. dommage car il y a du potentiel même mais où est l'élément accrocheur ?.. la caméra bouge peu la photographie n'est pas mémorable et le cadrage excelle pas ..le méchant impressionné guère et Azra Miller est dans les choux.. il se demande même ce qu'il fait la . au final les acteurs sont brouillon chiffon... autant se cacher dans une des malettes...
Jamais deux sans trois. Ni sans quatre d’ailleurs. Voire même sans cinq.
Maladie cinématographique de notre époque, le film sériel s’étale dans le temps et sur les écrans. Au risque de lasser. Au risque aussi de se répéter et même de se diluer. Voici donc le troisième volet des Animaux Fantastiques. Il fait directement suite au deuxième volet. C’est toujours le combo Rowling + Kloves + Yates qui est aux manettes.
Grindelwald est toujours en fuite mais pas pour longtemps puisqu’il a des prétentions politiques qui pourraient servir son grand projet de domination des moldus. Il s’agira donc de lui barrer la route du pouvoir et de contrer ses stratégies à plusieurs niveaux. Comme Dumbledore ne peut y aller, c’est encore à notre ami Norbert que tout ça est confié, aidé de ses fidèles compagnons et de quelques nouvelles bestioles.
Plus le temps passe et plus les enjeux sont clairs. Mais ne l’étaient-ils pas déjà à la fin de l’épisode deux ? Dans cette version magique de X-Men, on sait bien où on veut nous mener. Surtout que le point Godwin avait déjà été frôlé précédemment. Ici, on plonge dedans. Pourquoi est-ce un problème ? D’abord et surtout parce que, dès lors qu’on cite Hitler, le récit devient irrémédiablement manichéen. En conséquence, le méchant devient un grand méchant inexcusable et le gentil devient un peu tarte. Dommage, alors que jusqu’à présent, Norbert tenait une position à l’extérieur qui permettait de mêler les intrigues. Il est dorénavant exclusivement en lutte contre l’axe du mal. L’autre problème est qu’on sait du coup où tout ça nous mène et ce pastiche d’élections est très prévisible, autant que son résultat. Tout ça pour ça donc. Bref, on le voit, la sauce est cette fois un peu fade et grossière. Pour autant, tout n’est pas raté, loin de là. Certaines scènes sont très réussies (la danse avec les espèces d’écrevisses, les combats sympas) et l’interprétation est toujours autant dans le ton (vu en VF, pas fameux ce doublage d’ailleurs). On regrettera tout de même l’éviction de Johnny Depp car si Mads Mikkelsen n’est pas mauvais du tout, ce n’est tout simplement plus le même personnage et la version Depp était bien meilleure.
Pour résumer tout ça, on dira que ce n’est pas une franche réussite mais ce n’est pas désagréable non plus. Ça passe tout seul mais ça n’interpelle pas ou alors trop rarement. Qu’en sera-t-il de la suite ? J’ai quelques doutes sur la capacité de l’entreprise à tenir le cap de départ sur 5 épisodes.
Le film est l'un des meilleurs des trois ! Des effets visuels splendides, un jeu d'acteur très bon, une histoire intéressante... Il aurait été encore mieux avec Johnny Deep mais Mads Mikkelsen est très bien dans son rôle.