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flemar
27 abonnés
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3,5
Publiée le 30 décembre 2015
Le dernier Lelouch, toujours aussi bien filmé ... La photographie est sublime ... Lelouch fait du Lelouch, rien d étonnant même à presque 80 ans ! Il nous parle comme il sait si bien le faire des femmes et des hommes et de l'amour, du couple ... De cette quête de l'autre , assène quelques vérités sur le couple ...Cette fois nous voilà parti en Inde dans cette quête de l'amour ...les couleurs sont superbes, comme à chaque fois que quelqu'un un filme ce pays me direz vous, encore plus quand c est Lelouch qui filme. Une quête de l'amour qui croise la spiritualité de l'Inde .... On ne sait plus très bien si on suit ce couple dans un film ou dans un documentaire ... Les regards sont beaux, la séduction habite ce couple, joué par Jean Dujardin et par Elsa zylberstein ( parfait les deux ) qui nous emmène dans ce voyage ...se trouveront ils ...
Lelouch laissera au cinéma son style si personnel. C'est vraiment rare de pouvoir dire en visionnent 10 minutes d'un film : ça c'est un Lelouch ! Mais c'est pour notre plus grand plaisir : des performances d'acteurs qui surprennent dans des registres qu'on ne leur connait pas, des moments légers qui rendent heureux car il nous touchent au plus ...profond et l'art du contre-pied dans la narration. Mention spéciale à Elsa Zylberstein qui illumine le film.
J'avais une appréhension avant d'aller voir le film. L'appréhension d'un néophyte, qui connait mal le cinéma de Claude Lelouch, réduit, appauvri, à n'entendre que ce que l'on voulait bien m'en dire... J'ai pris une claque. J'en ai mal de bonheur et de satisfaction. Quel film ! QUEL - BEAU - FILM ! Les dialogues sont savoureux. La mise en scène éblouissante. Car il y a de la lumière dans ce film, celle du talent, de la ténacité, d'un réalisateur hors pair qui a réussi la rencontre de deux acteurs confirmés. CETTE histoire d'amour dans UNE histoire d'amour est à voir, et revoir, et revoir... Merci Monsieur Lelouch. PEQ
Anna. Antoine. Elle est professeur de philosophie orientale. Il est compositeur de musiques de films. Elle croit au karma et aux énergies. Il incarne un pur pragmatisme. Elle paraît fragile, sensible, à fleur de peau. Il semble intouchable, infroissable, au-dessus de tout. Elle est femme d'ambassadeur et cherche à enfanter. Il est avec une pianiste qui vient de le demander en mariage. Ils se rencontrent en Inde à un âge charnière de leur vie.
Un Une marque une nouvelle occasion pour le réalisateur d'Un homme et une femme de filmer la figure du couple. Mais les années 1960 sont belles et bien terminées. Cela, le cinéaste ne l'a pas forcément assimilé. Un scénario sans véritable consistance et qui fait toc. Un univers aseptisé renvoyant à des poncifs métaphysiques sur l'Inde. Deux touristes agaçants et hypocrites sachant chacun ce qui va finir par arriver. Deux acteurs tout aussi perdus que leurs personnages. Une mise en scène lassante et d'éternels champs contre-champs sur des dialogues peu inspirés. Un dénouement aussi prévisible que pathétique.
Face à ces nombreuses maladresses et au-delà d'un ensemble qui sonne faux, le film renferme quelques bons éléments. Comme la présence de Christophe Lambert, impérial. Ses rares apparitions à l'écran font de son personnage l'individu le plus sincère et captivant (adjectifs que les deux principaux protagonistes ont omis) du récit.
Autour de lui, l'histoire d'amour qui se construit autour de Zylberstein et Dujardin paraît surfaite et en dehors de toute réalité. Claude Lelouch nous pose une addition qu'il ne peut lui-même résoudre. L'envers du décor (Antoine compose la musique d'une œuvre nommée Juliette et Roméo), superficiel au possible, fausse le spectateur et rend l'identification à cette relation impossible. Par ce symptôme, il serait absurde de répondre à ce calcul, tronqué et abscons.
les deux étoiles sont pour le jeu d'acteur de Jean dujardin et les pointes d'humour très bien faites. en revanche rôle(scenario) jeu de son homologues très quelconque. bien que joli univers
Fan de Lelouch, je ne pouvais manquer cette sortie de fin d'année. Bien m'en a pris : Jean Dujardin et Elsa Zylberstein composent un couple parfait à l'écran, transportés qu'ils sont tous deux, dans une quête de spiritualité emplie de couleurs et de parfums. Les clins d’œil à "Hommes Femmes, mode d'emploi" sont nombreux, quelques dialogues sont même un pur copier-coller et Claude Lelouch filme toujours les couples avec la même virtuosité. Les seconds rôles (Alice Pol et Christophe Lambert) sont peut-être moins convaincants mais cela renforce la présence du duo magique ! L'alternance de dialogues (riches) et de musique (signée Francis Lai) est toujours présente dans ce cinéma, riche et capiteux. L'image est sublime. L'émotion à chaque plan... Un vrai bonheur
Lelouch a su une nouvelle fois nous conquérir avec "Un Une". L'histoire de deux personnages aux antipodes de leur caractère et qui se rencontrent en Inde au cours d'un voyage professionnel. Antoine un compositeur de renommé, passionné par son métier, pragmatique et arrogant, il se rend en Inde pour composer une nouvelle musique de film. Il rencontre Anna, une femme d'ambassadeur pour le moins spirituelle et amoureuse totalement dévouée à son mari. Ce qui devait être une histoire banale va prendre une tournure inattendue. Sur le long chemin de la fertilité, c'est l'histoire de deux personnes fragilisées par la vie qui vont se retrouver et apprendre à se connaître. Un film au casting exceptionnel avec Jean Dujardin, Elsa Zylberstein ou encore la jeune Alice Pol; Lelouch a su trouver la bonne combinaison. Le jeu des acteurs est d'une minutie telle, qu'il révèle chaque sentiment, chaque émotion avec une extrême sincérité parfois même déconcertante à la fois dans les regards et les temps de pause. On n'est plongé au cœur du pays de la spiritualité, Lelouch a su exploiter les stéréotypes et la trépidante culture de l'art de vivre en Inde pour en révéler sa splendeur et ses couleurs. Ce film atteint son paroxysme avec la bande son composée par Francis Lai. Une mélodie harmonieuse, un magma d'émotions ou encore une enveloppe soyeuse recouvrant la douceur des sentiments. Mais une enveloppe de papier de soie fragilisée par les interdits et l'infidélité. Les tourterelles batifolent comme des amoureux insouciants jusqu'à ce qu'ils franchissent la frontière de l'amour... sans le vouloir. Mais la réalité gagnera les cœurs, cette passion est aussi un dialogue de déchirements face à la réincarnation offert par le chemin de la fertilité. Mais parfois la vie réserve des choses inattendues. Bref c'est un des meilleurs films de Lelouch à découvrir.
Ouille !! voila un film pourtant bien tourné - atmosphère indienne bien reproduite et transcrite - qui se transforme par le jeux des acteurs en un cauchemar total de niaiseries souvent vulgaires. Comment peut on être aussi peu crédibles dans ce jeu d acteurs dans un paysage aussi riche humainement qu émotionnellement. Les dialogues et les rebondissements à étages ne sauvent rien d un long documentaire type connaissance du monde revisité par "un homme et une femme" ou la scène finale des "parapluies de Cherbourg" ou "l aventure c est l aventure..." Une vraie soupe cinématographique où Claude Lelouche est bien le seul a s être surement amusé dans cette composition.... où l on ne compte plus les placements de produits !
Au début, l'impression, franchement agréable - parce que complètement inattendue - d'assister à quelque-chose de grand. Et puis, ensuite, la déception de voir le film s'essouffler un peu. Avec notamment une fin bien trop longue et ratée. Mais, ceci étant dit, à froid, une impression pas si mauvaise que cela. Car ce Lelouch distille quelques scènes d'anthologie. Comme celle du dîner de l'ambassadeur. Cinq bonnes minutes de pu régal. Rien que pour ça : à voir !!
De manière général quant on va voir un film quel qu'il soit on sait pourquoi, et la surprise la plus part des gens qui on l'on vu le critique et se demandent pourquoi ils ont été le voir j'avoue c'est bizarre Donc pour en revenir à celui-ci Lelouch fait du Lelouch tout ce que je n'aime pas , les retours en arrière les histoires un brin compliquées ,Dujardin fait du Dujardin cabotinant à souhaits en se croyant irrésistible . Pourtant le charme à opéré de suite , c'est joliement filmé dépaysement garanti on se laisse envoûter et transporter en Inde ce pourquoi aussi je voulais voir le film et la musique ajoute au charme de celui-ci bref j'ai passé un moment qui à passé trop vite même si la fin me laisse un peu sur ma faim
C'est du pur Lelouch.belles images belle histoire la musique est un des personnage.Elsa est très touchante et son jeu d'actrice est parfaitement maîtrisé.Jean Dujardin est tout fait crédible malgré mes craintes à ce sujet.Ce film ne laisse pas insensible beaucoup de belles émotions et de l'humour en plus.:)
J'ai beaucoup aimé ce film. Lelouch nous livre des personnages qui sonnent très juste pour moi. Il ose temoigner de notre imperfection, de notre difficulté à parler, de notre emprisonnement dans des fuites de qui nous sommes . On peut etre bourré de talent, être riche, drôle et pourtant fuir devant la différence; Dans ce film tres beau , tres vrai , rien n'est blanc ou noir , chacun est respectable. Les acteurs qui semblent improviser parfois transmettent ce que côute la parole entre un homme et une femme, le risque qu'il faut prendre; Ils sont prodigieux de vérité . Lelouch à partir des fossés de culture, de pauvreté,de sexe, nous transmet notre nécéssité de parler à partir de qui nous sommes, avec les valises qui sont les nôtres. pour cela il se sert de l'humanité de chacun de ses acteurs pour en faire des personnages non moins humains . le monde est ce qu'il est mais être humain qu'est ce que c'est ? Une étreinte que chacun interpretera de son désir?
Comme d'habitude, Lelouch prend sa caméra à l'épaule et filme. Pas de scénario, pas de dialogue, des acteurs médiocres pas doués pour l'impro, pas de direction d'acteurs, pas de mise en scène. Bref, la carrière de Dujardin va en prendre un coup avec un tel navet, quant aux autres, rien à signaler. Très, très mauvais, mieux qu'un somnifère.