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Deborah G
9 abonnés
49 critiques
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4,5
Publiée le 1 novembre 2016
Qu'est ce que ça fait du bien de voir Mel Gibson. Après toutes ces années il n'a que vieilli le reste est toujours au top. La petite est magnifique et joue très j'en, ils forment un duo magique. Ce n'est pas qu'un bon film d'action, il y a aussi beaucoup d'humour, de complicité.....
Pas vraiment une surprise tant le scénario est déjà vu. Mais bon, Mel Gibson tient bien sa partition, on a l'impression qu'il ne vieillit pas. A voir aussi pour des paysages sortis de Paris Texas. Bonne petite série B.
le grand retour de mel gibson ils disaient et ben c'est totalement raté , un film d'action sans action avec des longueurs interminables pour masquer l'absence de scénario, le film est super lent à démarrer et la fin sans surprise , un gros navet sans intêret
pour un retour de Mel Gibson c'est plutôt bon le film est riche en action en plein désert éloigner des villes le genre de film qui me plait la durée de film n'est pas longue la fin est bonne le scénario est bien aussi en bref un retour gagnant
Notre équipe a vu ce film: -- -- Ce film mérite un 6/10 pour MAXIMUS : entre drame et road-movie crépusculaire, le réalisateur français, Jean-françois Richet s'offre une des gueules les plus légendaires d'Hollywood et nous rappelle que Gibson est une "bête" de cinéma même dans un film à petit budget sans prétention... -- -- GEOKER donne un 5.5/10 : retour discret mais plutôt réussi de Mel Gibson devant la caméra (en attendant celui derrière) mais pour un film quelconque et dispensable. -- Retrouvez notre "turbo-critique" sur notre page Facebook !
Film d'action lénifiant et sans surprise, Blood Father se révèle bien médiocre à tous les niveaux, que ce soit dans les ressorts dramatiques ou dans les rares et fades scènes d'action.
Débarqué dans quelques salles obscures de l’hexagone ce mercredi 31 aôut, Blood Father marque deux retours : celui de Jean-François Richet au cinéma de genre, et surtout, celui de Mel « Mad Max » Gibson sur grand écran dans un premier rôle personnel et rédempteur.
Deux et trois ans après ses seconds rôles de vilain très vilain dans Expandables 3 et Machete Kills, quatre ans après son sympathique premier rôle dans Get the Gringo, et cinq ans après sa formidable prestation d’un père de famille en dépression, séparé et dans un état schizophrénique dans Le Complexe du Castor, Mel Gibson est enfin de retour dans un rôle et devant une caméra aptes à supporter toute sa démesure. Richet, après son Moment d’égarement est lui aussi bien de retour, exposant à nouveau tout son talent dans le film de genre, et une habilité que peu de réalisateurs ont pu avoir et possèdent, celui de savoir capter et composer avec Mel Gibson.
Gibson joue le porte-flingues dans un long-métrage aussi idiot que poussif, qui dépasse les limites de la série B pour rejoindre celles du rang Z. Voilà, tout est dit ou presque de ce film d'action aussi banal que mal construit. L'histoire d'une jeune femme de dix-sept ans bien maquillée durant tout le film malgré le nombre d'horreurs qu'elle verra de ses propres yeux, d'une très violente agression à plusieurs meurtres à la suite. L'environnement désertique et sauvage justifie le mieux une photographie de qualité, la musique n'est pas assez marquante pour remplir les périodes d'action. Alors bon, tentons de nous contenter de la mise en scène, avec cette caméra extrêmement rapprochée des personnages qu'elle filme (surtout de Mel Gibson, avec lequel la caméra semble être en plein émoi sentimental). L'oeuvre visuelle débute par un travelling et se termine par un travelling, vers l'arrière puis vers l'avant. C'est plutôt bien vu. Mais alors que la mise en scène tente de faire le café, le scénario part dans l'autre sens. Il est tatoueur, mauvais père et alcoolique. Le personnage de Gibson empile les caricatures, tandis que "l'actrice", qui interprète sa fille, passe son temps à chialer et à sous-jouer. Pire encore, les répliques lancées tout le long du film semblent être écrites sous acide et sur le trône des chiottes. Le film ne devient intéressant que lorsque Michael Parks (excellent dans "Tusk", moins bon ici) fait son apparition en commerçant véreux, à dicter des morales "vitales" bien pensées mais malheureusement trop facilement oubliées car le personnage est bien trop mal exploité. Mais, enfin, on arrive à une scène bien réfléchie, astucieuse et juste : Gibson parle du suicide dans une chambre d'hôtel, en enseignant à sa fille la possible idiotie de ce système. C'est la meilleure scène du film. Celle-ci berce dans ses bras numériques une miette d'émotion. Navrant qu'elle se sente si seule.
Franchement pas mal. Cool de voir Mel Gibson à l'écran ! C'est vrai que tout est plus ou moins attendu dans ce film mais bon c'est divertissant. Le doublage en français a un peu gâché le visionnage par contre. Adepte du VO, cela aurait servi au film car les voix doublées des personnages hispaniques c'est ignoble.
Une série B réalisé par Jean-François Richet qui sent un peu le déja vu mais qui se regarde !! On n'avait plus de nouvelle du cinéaste depuis les deux volets de "Mesrine" datant de 2008 que j'avais bien aimé, il avait réalisé en 2015 un film de commande Français qui s'appelle "Un moment d'égarement", remake du long métrage de Claude Berri et puis il réalise ce film d'action ou une adolescente tire accidentellement sur son petit copain et revient chez son père, un ex alcoolique et drogué qui vit dans une caravane auquel ils ne se sont pas revu depuis longtemps. Le paternel tend la main à sa fille et une poignée de vilains garçons en veulent à cette dernière. Le principal atout de "Blood Father", c'est Mel Gibson qui possède toujours la mème énergie qu'avant avec l'age et la barbe qui est excellent comme souvent. Mis à part la fin qui est spectaculaire, on sent le travail propre à la réalisation de Jean-François Richet avec un scénario sans surprise. La jeune Erin Moriarty en fait un peu des tonnes dans son jeu d'actrice mais par contre, ça fait plaisir de revoir au cinéma Diego Luna et William H. Macy.