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    Blood Father
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    253 critiques spectateurs

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    Chaill
    Chaill

    19 abonnés 397 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 novembre 2016
    Ou est passé le JF Richet de "Assaut" et "Mesrine"? Ce film d'action sans action repose uniquement sur la présence et le charisme de Mel Gibson, tout est est creux, on attend patiemment qu'il se passe quelque chose, les scènes d'action sont des fusillades de trente secondes chrono, nos deux antihéros sont poursuivis par des cruels braqueurs et par la police, mais la seule scène de poursuite du métrage dure une minute montre en main... Une arnaque.
    pierrre s.
    pierrre s.

    444 abonnés 3 313 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 octobre 2017
    A trop vouloir s'éloigner des codes du film d'action afin j'imagine de conserver un film original, le réalisateur se met dans un entre-deux. Si bien que Blood Father, n'est ni une série B violente comme on pouvait s'y attendre ni un drame comme l'esperait peut-être Richet. Au final peu d'action, beaucoup de bavardage et un rythme pas toujours soutenu.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    217 abonnés 2 871 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 décembre 2016
    C'est exactement le genre de film... qu'on fait entre deux films. Sans enjeux ni gloire, sauf celle de son acteur. Ok, moi aussi je l'aime bien Gibson, mais est-ce que je le dérange pendant sa retraite? Vraiment regrettable...
    Alexendr Clavel
    Alexendr Clavel

    18 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 septembre 2016
    Ça ressemble à du teken mais ce n'est pas du teken. Un film insipide. Nous nous sommes ennuyés. Beaucoup de bla bla, de dialogues inutiles. Une vrai déception.
    mat niro
    mat niro

    361 abonnés 1 840 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 septembre 2016
    John Link (Mel Gibson), ex-taulard et ex-alcoolique, survit au fond de sa caravane en faisant des tatouages aux bikers du coin. Mais soudain, sa fille disparue, Erin Moriarty, refait surface poursuivie par des dealers. C'est le cinéaste français, Jean-François Richet, qui est aux manettes et qui dirige Mel Gibson. Malheureusement, le scénario est bancal et la psychologie du personnage de John Link à deux sous. Je me suis vraiment ennuyé pendant cette projection malgré un bon duo d'acteurs, le film manquant de rythme et d'intensité. spoiler: Et que dire de la scène finale et de sa morale discutable!
    titicaca120
    titicaca120

    391 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 septembre 2016
    un petit film court 1h28 sans véritable scénario ni action hormis deux scènes.
    la seule intrigue est de voir Mel Gibson avec et sans barbe.
    passons vite à autre chose.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 juillet 2016
    Après le drame sociétal « Ma 6-T va crack-er », le polar musclé « Mesrine » et le film d’été sensuel « Un moment d’égarement », le cinéaste français Jean-François Richet change à nouveau de registre et s’attaque cette fois au cinéma d’action. Et plus précisément au cinéma de genre des années 70/80. Encore une fois, le bonhomme sait y faire et nous embarque dans un déluge de séquences coup de poing parfaitement orchestré.
    cimoifil
    cimoifil

    11 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2016
    le film cruellement de fond ... apres c'est pas un navet mais disons qu'on a l'impression de ''vide''

    on retrouve l'esprit de mel gibson dans l'arme fatal une dose d'action et une dose d'humour

    mais le scénario assez creux n'aide vraiment pas à rendre se film ne serait que ''bon''
    ketzaldev
    ketzaldev

    10 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2017
    Ça fait du bien de retrouver Mel Gibson dans un film d'action. Il n'a pas perdu de son charisme. Malgré cela, Blood Father reste le bon divertissement du dimanche soir, rien d'exceptionnel...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 août 2016
    Un film qui lorgne sur Taken coté rapport père fille mais là le gentil papa a mal tourné et a des regrets.
    C'est long on n'y croit pas un instant à cette histoire de neveu de gangster qui tombe amoureux d'une fille de 14 ans, son père tatoueur en conditionnel. Bref si vous n'êtes pas obligé d'aller le voir, vous ne ratez rien...
    dougray
    dougray

    243 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2016
    "Blood father" est un des très bonnes surprises de l’année et, quoi qu’il en soit, le film qui, je l’espère, marquera, enfin, la fin de la traversée du désert de Mel Gibson à Hollywood. L’acteur confirme, s’il en était encore besoin, qu’il est un interprète de génie et que les années n’ont, en rien, altéré son charisme animal. Mais, surtout, il se montre, ici, sous une facette inédite en se livrant corps et âme aux spectateurs, tel un passage public au purgatoire. Sa première apparition à l’écran, spoiler: par le biais d’un gros plan sur un visage usé par les années et les épreuves, suivi d’un travelling arrière révélant qu’il témoigne dans une réunion d’alcooliques anonymes
    , est un véritable choc tant elle fait écho aux propres démons de Gibson lui-même. Hasard ou coïncidence, tout le film semble imprégné de cet écho méta à la vie et à la carrière de l’acteur, spoiler: des décors désertiques et autres duels sur route à la "Mad Max" à la caravane de Martin Riggs dans "L’arme Fatale", en passant par l’addiction à l’alcool et la violence du personnage (sans oublier l’évocation des nostalgiques du nazisme et les raccourcis sur les immigrés mexicains)
    . En poussant un peu la logique, on peut même constater qu’il tient le rôle d’un tatoueur… c’est-à-dire le rôle qu’il aurait dû tenir dans "Very Bad Trip 2" avant d’être éjecté par l’équipe du film du fait de ses "soucis". Cette lecture méta donne au film une substance inattendue et transcende son statut de "survival movie" auquel il aurait été promis avec un autre acteur que le grand Mel. Il serait intéressant de savoir dans quelle mesure le scénario a été adapté à l’acteur (ne serait-ce que pour s’assurer qu’on extrapole pas un peu tout ce côté "méta") mais, en l’état, "Blood Father" ne peut pas se voir autrement que comme un magnifique exutoire et, accessoirement, comme la renaissance artistique d’un des plus grands acteurs US de ces 40 dernières années. Il peut, ainsi, remercier le réalisateur français Jean-François Richet qui lui a confectionné un écrin de tout premier ordre. En effet, le film a beau reposer, en grande partie sur la prestation de Mel Gibson, il serait injuste d’oublier l’autre artisan de sa grande réussite artistique en la personne du metteur en scène qui, dès le première scène spoiler: (qui voit une ado de 17 ans pouvant acheter des munitions sans problèmes mais qui doit présenter sa carte d’identité pour acheter des cigarettes !)
    fait montre d’ambitions qui vont bien au-delà du simple "survival movie" annoncé. "Blood Father" raconte des choses sur son acteur star mais, aussi, sur l’Amérique actuelle et sur certaines valeurs. Le film peut, d’ailleurs, se targuer de traiter d’un sujet somme toute "classique" à Hollywood ("la famille c’est important") qu’il a su assécher des habituelles leçons de morale sans, pour autant, en altérer l’essence. Qui peut douter de l’amour criant de ce père, rongé par la culpabilité, envers sa fille paumée et de son jusqu’auboutisme ? Pourtant, Richet n’a pas eu besoin de multiplier les scènes de déclaration d’amour ou de sortir les violons… preuve qu’il est possible d’être clair sans être lourdingue. Le ton du film est, d’ailleurs, tout sauf misérabiliste et s’autorise même quelques saillies comiques ("Où vous l’avez dégoté ? - Dans la salle d’accouchement !"), qui ne viennent pas, pour autant, affaiblir la tension. Autre bon point à mettre au crédit du réalisateur : son sens de l’efficacité qui doit beaucoup à ses partis-pris payants tels qu’un refus des temps morts lancinants (même les moments plus calmes font avancer le récit), un sens aigu du détail et du mouvement (aucun plan n’est basique), une volonté de stylisation des personnages (le travail sur les looks, les plans iconiques comme spoiler: celui où ce vieux Link, chevauchant sa moto, fait face à ses assaillants, arme au poing)
    et une durée assez courte (1h28) qui convient parfaitement à ce genre d’intrigue. Quant à la qualité de l’interprétation, Richet confirme qu’il est un incroyable directeurs d’acteurs, tant il est parvenu à tirer le meilleur de ses seconds rôles, que ce soit Diego Luna aussi flippant que pathétique, Michael Parks en Prêcheur décati, William H. Macy en amusant parrain ou encore Thomas Mann en concierge sympa. Et ne parlons même pas de la formidable révélation du film, à savoir la jeune Erin Moriarty, qui tient la dragée haute au monstre Mel Gibson et qui devrait refaire parler d’elle prochainement. Non, décidemment, je ne vois rien à reprocher à ce "Blood Father", qui mérite vraiment le coup d’œil et assurera, je l’espère, le retour de Mel Gibson en haut de l’affiche.
    chrischambers86
    chrischambers86

    14 014 abonnés 12 481 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2019
    « Quand on doit la vie à une personne, il faut la vivre pleinement ! » Nullement ennuyeux, "Blood Father" est une sèrie B finalement sans surprise! En quelques mots, ce film ressemble à une production de Luc Besson mais surtout à une mètaphore de la vie de Mel Gibson avec tous les excès que l'on connait! D'un intèrêt superficiel, ce thriller teintè d'action et de violence n'a rien d'original et on s'attendait à tellement mieux de la part de Jean-François Richet! Certes, Mel Gibson a la gueule de l'emploi (un vrai bad guy, barbu et tatoueur) mais les clichès et les invraisemblances ne manquent pas! La faute en revient essentiellement au personnage d'Erin Moriarty qui ne fait pas preuve - malgrè un joli minois - d'un talent exceptionnel! C'est regrettable car l'acteur mythique de "Mad Max" et de "Lethal Weapon" marquait là son grand retour qui, suite à des propos antisèmites, avait ètè un peu proscrit des projets de Hollywood! Sans la prèsence de Gibson, ce faux Direct-to-DVD aurait ètè aussi ridicule que ses mafieux...
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 086 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2020
    Avec Blood Father, Mel Gibson devait revenir en trombe dans le cinéma des gros bras armés de la vengeance. Du moins c'est ce que tentait de nous faire croire sa promotion (à l'époque de sa sortie comme aujourd'hui), le métrage affichant des airs de film plus proche du testament artistique que de l'oeuvre bourrine et explosive qu'il s'annonçait être. Ainsi, ceux qui iront à sa rencontre s'en trouveront bien fortuits s'il ne s'attendent pas à voir un drame familial à échelle d'homme.

    Car il est question, dans Blood Father, d'un Mel Gibson vieilli par un style de mec bourru qui en a trop bavé; abandonné de tous, il retrouve sa fille pour une question d'argent. Les bases sont présentées comme telles : sans artifice ni romantisme, John Link est un ancien dur qui n'a plus rien, pas même le droit à l'amour de sa progéniture, et n'a de chance de rédemption qu'en donnant sa vie pour elle. Cela donne droit à du grand Mel, l'acteur recyclant une recette bien digérée qu'il maîtrise à la perfection.

    Ultra charismatique, crédible dans son rôle et parfois même touchant, il mêle avec brio la vulnérabilité de l'âge au tempérament ultraviolent de ce dur à cuire aux affiliations de biker. On venait pour Mel et on en a pour notre argent : l'oeuvre est érigée à son effigie, et offre une discrète mise en abîme, par le retour du tueur dans la course, au retour cinématographique d'un des acteurs les plus influents de son temps.

    Le français Jean-François Richet, chargé de mettre en images le come-back de Gibson, réussit à ce titre aussi bien les moments intimes que les séquences d'action, aussi rares que brutales et immersives : il oscille entre les deux registres, le drame et l'action, avec un sens aigu de la composition et du montage. A mi-chemin entre le film d'auteur sans budget et la série b d'action efficace, Blood Father opère donc la rencontre en l'aigri et l'espoir pour deux personnages qui se sont retrouvés et ne veulent plus se lâcher.

    Unis par les liens du sang, le père et la fille (excellente Erin Moriarty) se reconnaissent par leur désir de rédemption; violemment propulsée dans un monde qu'elle croyait connaître, elle chute de déception en déception puis vient à changer d'avis sur l'homme qu'est son père : son attachement à la figure parentale n'est permis que par la rupture brutale de sa relation amoureuse, expédiée en début de bobine d'une façon que Diego Luna (parfait dans le rôle de la petite frappe qui joue les gros durs) n'a pas du apprécier.

    Pour Mel Gibson, il s'agira de suivre la route de sa vie et de régler des affaires ancestrales qui méritaient justice : vous l'aurez compris, Blood Father prend rapidement l'allure d'un road-trip dramatique sur fond du film d'action brutal, encore qu'on pourra compter sur les doigts de la main lesdites séquences explosives que sa promotion nous vendait avec le supplément savoureux des flammes sur l'affiche.

    Le ton est donné, nous avons là un film intimiste loin des anciens films épiques ou spectaculaires de Gibson, pourtant monté sur des dialogues bourrins que n'auraient pas renié les actioners bien bourrins des années 90. Mais cette course à la punchline trouve un sens particulier dans la personnalité de tous ses protagonistes : le milieu étant viriliste et composé de personnages presque tous primaires, les répliques simplettes ne dérangent pas plus que cela.

    D'autant plus qu'elles appuient le pragmatisme et la brutalité de Blood Father, qui du haut de son heure vingt nous conduit sans nous prévenir dans une histoire de règlements de compte (mafieux et familiaux) et d'ouverture à l'autre sans jugement (l'importance des cercles de parole et du voisinage protecteur qui ne se soucie pas du passé des gens), et se conclue, au moment du générique de fin, dans un ultime message destiné au père du réalisateur qui change considérablement la donne.

    On comprend alors que si Blood Father n'est pas exempt de tous défauts, s'il est un peu court et trop bourrin, il est surtout si touchant parce que Jean-François Richet l'a fait avec le coeur et seulement pour lui, pas pour le public ou les studios. Le considérer (certes à juste titre) comme un petit divertissement sans prétention, un poil inoffensif, c'est aussi passer complètement à côté de son aspect cathartique et libérateur qui se fit un jour un nom, et sait qu'il pourra le perdre le moment venu.

    Un peu comme Gibson qui signe son retour comme l'icône d'une génération de grands qui s'éteignent, et ne s'élèvent plus désormais qu'en jouant sur leur âge et leur maturité pour ne pas paraître trop obsolètes, ridicules en comparaison d'une nouvelle génération de gueules d'action bien peu trépidantes et charismatiques. Ce qui pousse à cette question : et si Mad Max Fury Road avait été tourné avec le Mel Gibson de Blood Father, et avait officié son vrai retour dans le genre du cinéma d'action qui lui donna ses lettres de grand nom ?

    On ne peut que rêver de la possibilité d'un ultime Mad Max où Gibson aurait cette gueule, cette maturité et cette puissance dans le jeu. Contentons-nous de suivre ses réalisations qui semblent s'améliorer d'année en année, et tirer autant d'inspiration de sa carrière que la quantité de scandales qu'il a connu durant de trop longues années.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 204 abonnés 4 191 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2017
    Curieuse carrière que celle de Jean-François Richet qui démarre avec trois films très percutants ("Etat des lieux" en 1994 , "Ma 6-T va crack-er"en 1996), décrivant de manière très réaliste l'univers des banlieues dont il est issu, se poursuit quatre ans plus tard par un remake du fameux "Assaut" de John Carpenter pour lequel il est adoubé par Carpenter lui-même, se crédibilise en France avec le César reçu pour le diptyque consacré à Jacques Mesrine puis se met en sommeil pendant sept ans avant un retour décevant pour une revisite inutile du film de Claude Berri, "Un moment d'égarement". Parcours sinueux, difficile à suivre qui en 2016 amène Richet à traverser une nouvelle fois l'Atlantique pour participer à la tentative de retour en grâce amorcée depuis six ans ("Hors de contrôle" de Martin Campbell en 2010) par Mel Gibson dont l'image publique s'est fortement dégradée depuis l'étalage public de ses frasques autant liées à ses prises de position radicales qu'à son addiction à l'alcool. Malgré le poids des ans et une certaine usure physique, le beau Mel sait parfaitement quel type de rôle est en mesure de lui redonner l'affection du public. En adaptant le roman éponyme de Peter Craig qui relate de manière musclée le parcours d'un ancien truand alcoolique en liberté conditionnelle, obligé de remettre les mains dans le cambouis pour sauver sa fille (Erin Moriarty) mal embarquée après avoir liquidé son petit ami (Diego Luna), trafiquant de drogue notoire, il met toutes les chances de son côté. Le héros présente le profil idéal pour Mel Gibson qui peut puiser sans forcer dans le registre du Sergent Martin Riggs de la saga "Arme fatale" un de ses personnages les plus emblématiques en lui apportant la patine des années de prison. Tout est bien sûr calibré pour favoriser l'empathie du spectateur avec John Link qui droit comme un i va se mettre les tripes à l'air mais aussi celles des gêneurs pour que sa petite Lydia qu'il a trop longtemps délaissée se trouve un autre avenir que le sien. Jean-François Richet respecte parfaitement le cahier des charges fait de furieuses fusillades et de poursuites poussiéreuses. C'est donc sans aucune fausse note mais aussi sans grande fantaisie qu'il trace la route pour le retour en force d'un Mel Gibson cabossé mais encore bien vivant. A voir seulement pour les fans de l'acteur mythique de "Mad Max" qui seront heureux qu'on leur ait rendu le héros de leur jeunesse.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    782 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2016
    Ex-alcoolique, ex-motard et ex-taulard, John Link va devoir gérer le retour de sa fille disparue depuis des années : sa vie va alors basculer dans le chaos !
    De l'excellent Mel Gibson, au charisme toujours au top, pour ce thriller dans le monde des cartels et des narcotrafiquants.
    Une réalisation efficace et aboutie, des situations réalistes entre une fille un peu paumée et son père à la vie compliquée.
    Le tempo est dynamique, on ne s'ennuie pas un instant avec ces personnages attachants.
    Un très bon moment ciné !
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