Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Canalisant l’énergie de Gibson, Richet lui permet d’apparaître à la fois tendre et violent dans une composition où l’acteur semble avoir retrouvé ses moyens.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
La réalisation est nerveuse et Mel Gibson impeccable.
GQ
par Toma Clarac
Un scénario mince comme du papier à rouler que Richet ne gonfle pas artificiellement. Le réalisateur français suit son programme d'exploitation seventies jusqu'au bout pour 88 minutes de plaisir régressif, sinon franchement coupable.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le personnage doit donc reprendre du service, ce qui est exactement le cas de Mel Gibson, qui sort de sa propre retraite d’acteur dans un film en abyme, où le vrai sujet est Mel Gibson lui-même
Le Parisien
par Thierry Dague
Le visage buriné et mangé par une barbe touffue, Mel Gibson est impressionnant de justesse. Ce rôle d'ancien paria qui se rachète une conscience lui va comme un gant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Sylvestre Picard
"Blood father" sonne bien le grand retour de Gibson.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Après l'accident “Un moment d'égarement”, Jean-François Richet renoue avec le cinéma de genre. Si le scénario manque un peu de piquant, Mel Gibson y est impeccable.
Ouest France
par La Rédaction
Le nouveau film de Jean-François Richet raconte surtout la renaissance de Mel Gibson à travers les flammes de la violence, dans une performance aux dimensions mythologiques.
Paris Match
par Yannick Vely
L'Amérique que filme Jean-François Richet n'est pas conforme à l'image renvoyée par Hollywood. (...) Tout cela accentue la dimension crépusculaire de la rédemption de John Link, sauvé par l'amour qu'il porte à sa fille. Dommage que le récit s'emballe dans le dernier tiers pour offrir un dénouement trop attendu à la traque.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Eric Libiot
La chose est assez simple : 1. Mel Gibson est décidément un bon acteur (...) ; 2. Richet sait manier sa caméra, le récit avance, et certaines scènes valent le déplacement (...) ; 3. Une série B souffre toujours d'un scénario bancal, c'est le cas ici (...).
Voici
par Lola Sciamma
La réalisation de Richet et l'interprétation de Gibson, acérée et touchante, sauvent le film de l'effet "bourre-pif movie".
Critikat.com
par Benoît Smith
Comme si le film était voué dès le début à ne rien accrocher dans les mémoires, à ne faire que passer en rappelant le nom de Gibson.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Richet était beaucoup plus convaincant dans "Assaut sur le central 13". Là, il n'a pas grand-chose à filmer. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Retour de Mel Gibson dans un thriller sénile qui aimerait s’inviter à la table des Taken. C’est loupé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
LCI
par Mehdi Omaïs
Drapée dans ces filtres (invariablement) jaunâtres que nous ressortent tous les réalisateurs s'attelant aux cartels, cette série B à l’ancienne déroule, avec une paresse manifeste, son scénario faussement badass et cousu de fil blanc.
La critique complète est disponible sur le site LCI
20 Minutes
Canalisant l’énergie de Gibson, Richet lui permet d’apparaître à la fois tendre et violent dans une composition où l’acteur semble avoir retrouvé ses moyens.
CNews
La réalisation est nerveuse et Mel Gibson impeccable.
GQ
Un scénario mince comme du papier à rouler que Richet ne gonfle pas artificiellement. Le réalisateur français suit son programme d'exploitation seventies jusqu'au bout pour 88 minutes de plaisir régressif, sinon franchement coupable.
Le Dauphiné Libéré
Le personnage doit donc reprendre du service, ce qui est exactement le cas de Mel Gibson, qui sort de sa propre retraite d’acteur dans un film en abyme, où le vrai sujet est Mel Gibson lui-même
Le Parisien
Le visage buriné et mangé par une barbe touffue, Mel Gibson est impressionnant de justesse. Ce rôle d'ancien paria qui se rachète une conscience lui va comme un gant.
Première
"Blood father" sonne bien le grand retour de Gibson.
Les Fiches du Cinéma
Après l'accident “Un moment d'égarement”, Jean-François Richet renoue avec le cinéma de genre. Si le scénario manque un peu de piquant, Mel Gibson y est impeccable.
Ouest France
Le nouveau film de Jean-François Richet raconte surtout la renaissance de Mel Gibson à travers les flammes de la violence, dans une performance aux dimensions mythologiques.
Paris Match
L'Amérique que filme Jean-François Richet n'est pas conforme à l'image renvoyée par Hollywood. (...) Tout cela accentue la dimension crépusculaire de la rédemption de John Link, sauvé par l'amour qu'il porte à sa fille. Dommage que le récit s'emballe dans le dernier tiers pour offrir un dénouement trop attendu à la traque.
Studio Ciné Live
La chose est assez simple : 1. Mel Gibson est décidément un bon acteur (...) ; 2. Richet sait manier sa caméra, le récit avance, et certaines scènes valent le déplacement (...) ; 3. Une série B souffre toujours d'un scénario bancal, c'est le cas ici (...).
Voici
La réalisation de Richet et l'interprétation de Gibson, acérée et touchante, sauvent le film de l'effet "bourre-pif movie".
Critikat.com
Comme si le film était voué dès le début à ne rien accrocher dans les mémoires, à ne faire que passer en rappelant le nom de Gibson.
L'Express
Richet était beaucoup plus convaincant dans "Assaut sur le central 13". Là, il n'a pas grand-chose à filmer. Dommage.
aVoir-aLire.com
Retour de Mel Gibson dans un thriller sénile qui aimerait s’inviter à la table des Taken. C’est loupé.
LCI
Drapée dans ces filtres (invariablement) jaunâtres que nous ressortent tous les réalisateurs s'attelant aux cartels, cette série B à l’ancienne déroule, avec une paresse manifeste, son scénario faussement badass et cousu de fil blanc.