Je vous souhaite d'être follement aimée : Critique presse
Je vous souhaite d'être follement aimée
Note moyenne
3,0
16 titres de presse
Le Parisien
L'Humanité
Télé 7 Jours
Critikat.com
Franceinfo Culture
La Croix
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Première
Télérama
L'Obs
La Voix du Nord
Libération
Studio Ciné Live
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce film nous touche au plein sens du terme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au-delà du sujet, traité avec émotion et dignité, la justesse du regard sur le quotidien de quelques personnes modestes fait tout le prix de ce film social.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un film vivifiant et "carressant", porté par la lumineuse Céline Salette.
Critikat.com
par Eva Markovits
Le film n’est jamais aussi beau que lorsque la réalisatrice cherche à capter un sentiment, un état d’âme, notamment à travers une série de séquences floues, entre souvenir et sensation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Bouleversant mais inégal, ce film bénéficie de la prestation bluffante d'une Céline Sallette, comme sur un fil, entre assurance et vulnérabilité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La beauté du film d’Ounie Lecomte tient à la subtilité avec laquelle elle présente ses personnages, les dévoile doucement, montre leurs laconiques états d’âme et leurs imperceptibles cheminements.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet douloureux, un film un peu complaisamment sombre, où les relations entre fille et mère sont portées par deux belles comédiennes.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Ce drame, dont la mise en scène à l’élégance discrète laisse à Céline Sallette et Anne Benoît la place d’exprimer leur talent, prend son temps.
Le Monde
par Noémie Luciani
S'il s'éparpille un peu au gré d'un scénario mal équilibré, ce drame intimiste magnifiquement photographié offre à deux grandes actrices l'occasion d'une composition en duo bouleversante.
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Une approche touchante sur l'abandon et la quête d'identité, servie par des acteurs talentueux.
Première
par Isabelle Danel
Mais, de l’écriture appuyée et cousue de fil blanc à la mise en scène empesée, malgré de beaux moments d’intimité des corps où seul le spectateur sait ce qui se noue (et se dénoue), quelque chose freine et résiste. C’est d’autant plus dommage que la réalisatrice met face à face Céline Sallette et Anne Benoît, aussi inventives que bouleversantes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Face à Anne Benoît (vue dans Je suis un soldat), parfaite dès qu'il s'agit d'incarner la gêne des petites gens, Céline Sallette fait penser à Gena Rowlands. C'est beau de la voir errer dans un Dunkerque qui ressemble à Los Angeles la nuit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par La Rédaction
Le spectateur sait ainsi ce que les personnages ignorent, et la situation dure trop pour que le film maintienne une intensité dramatique. Heureusement les actrices sont magnifiques, et les dernières scènes sont assez fortes. Mais on est loin du premier film d’Ounie Lecomte, le très touchant "Une vie toute neuve".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Le naturalisme et la psychologie mènent la danse. Le manque de chair et de substance cinématographique se font cruellement sentir.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Libération
par Didier Péron
Le film ne parvient jamais à véritablement transcender l’étude de cas ou la singularité des destins qu’il invente (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Si la cinéaste évite le pathos, sa mise en scène ne transcende jamais son sujet et certains personnages frôlent la caricature.
Le Parisien
Ce film nous touche au plein sens du terme.
L'Humanité
Au-delà du sujet, traité avec émotion et dignité, la justesse du regard sur le quotidien de quelques personnes modestes fait tout le prix de ce film social.
Télé 7 Jours
Un film vivifiant et "carressant", porté par la lumineuse Céline Salette.
Critikat.com
Le film n’est jamais aussi beau que lorsque la réalisatrice cherche à capter un sentiment, un état d’âme, notamment à travers une série de séquences floues, entre souvenir et sensation.
Franceinfo Culture
Bouleversant mais inégal, ce film bénéficie de la prestation bluffante d'une Céline Sallette, comme sur un fil, entre assurance et vulnérabilité.
La Croix
La beauté du film d’Ounie Lecomte tient à la subtilité avec laquelle elle présente ses personnages, les dévoile doucement, montre leurs laconiques états d’âme et leurs imperceptibles cheminements.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet douloureux, un film un peu complaisamment sombre, où les relations entre fille et mère sont portées par deux belles comédiennes.
Le Journal du Dimanche
Ce drame, dont la mise en scène à l’élégance discrète laisse à Céline Sallette et Anne Benoît la place d’exprimer leur talent, prend son temps.
Le Monde
S'il s'éparpille un peu au gré d'un scénario mal équilibré, ce drame intimiste magnifiquement photographié offre à deux grandes actrices l'occasion d'une composition en duo bouleversante.
Les Fiches du Cinéma
Une approche touchante sur l'abandon et la quête d'identité, servie par des acteurs talentueux.
Première
Mais, de l’écriture appuyée et cousue de fil blanc à la mise en scène empesée, malgré de beaux moments d’intimité des corps où seul le spectateur sait ce qui se noue (et se dénoue), quelque chose freine et résiste. C’est d’autant plus dommage que la réalisatrice met face à face Céline Sallette et Anne Benoît, aussi inventives que bouleversantes.
Télérama
Face à Anne Benoît (vue dans Je suis un soldat), parfaite dès qu'il s'agit d'incarner la gêne des petites gens, Céline Sallette fait penser à Gena Rowlands. C'est beau de la voir errer dans un Dunkerque qui ressemble à Los Angeles la nuit.
L'Obs
Le spectateur sait ainsi ce que les personnages ignorent, et la situation dure trop pour que le film maintienne une intensité dramatique. Heureusement les actrices sont magnifiques, et les dernières scènes sont assez fortes. Mais on est loin du premier film d’Ounie Lecomte, le très touchant "Une vie toute neuve".
La Voix du Nord
Le naturalisme et la psychologie mènent la danse. Le manque de chair et de substance cinématographique se font cruellement sentir.
Libération
Le film ne parvient jamais à véritablement transcender l’étude de cas ou la singularité des destins qu’il invente (...).
Studio Ciné Live
Si la cinéaste évite le pathos, sa mise en scène ne transcende jamais son sujet et certains personnages frôlent la caricature.