Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
L'Express
par Sandra Benedetti
Voir le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) ce film, épatant (...) symbolise cette nouvelle énergie du cinéma français qui bouscule les codes et ne perd jamais de vue l'amour du public. Soyez de cette "Party", vous ne le regretterez pas une seule seconde.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
La projection "Party Girl" est une expérience revigorante tant cette sexagénaire donne un vrai coup de jeune au spectateur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Nicolas Maille
Ludiques dans leur façon d’aborder la direction d’acteur, inventant à leur manière un nouveau courant cinématographique, le trio offre à son héroïne un formidable acte d’amour et nous proposent, au passage, l’un des plus beaux portraits de femme de ces dernières décennies.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Filmé au plus près, "Party Girl" relève d'un cinéma naturaliste, évoquant Ken Loach ou Abdellatif Kechiche. Les trois réalisateurs de "Party Girl" réussisent à ne pas placer le spectateur en situation de voyeurisme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Etrange et beau projet cinématographique, cette plongée des trois jeunes cinéastes dans une classe populaire, délaissée par le septième art, frappe par la vérité des attitudes, souvent maladroites, et la justesse de ce qui est montré. Angélique, héroïne à la Cassavetes, s’inscrit dans l’histoire du cinéma.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Histoire à forte densité sociale, dans un Est profond et populaire filmé sans condescendance en toute empathie. Histoire drôle, porté par un personnage fort de son excentricité et de ses zones d’ombre. Histoire triste aussi de l’inadéquation entre les rêves et la réalité. Qui va faire beaucoup rire, et beaucoup pleurer.
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Quel formidable personnage! Les rides d'Angélique valent tous les liftings de la terre. Une mangeuse de vie comme on en rencontre rarement.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le scénario et la mise en scène font d'elle l'enjeu d'une lutte vieille comme comme la vie en société, entre le compromis et la liberté, la responsabilité et le désir. (...) une de ces vies qu'on ne voit jamais à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On sort un peu étourdi, révigoré, ému par cette rencontre avec la "party girl" matriarche qui règne sur son clan autant qu’elle est gouvernée par lui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
"Party Girl", avec respect, avec franchise, avec juste ce qu'il faut de fiction pour que jamais on ne tombe dans l'impudeur, raconte un cataclysme baroque aux conséquences inattendues. Angélique Litzenburger n'est pas Anna Magnani, ni Gena Rowland. Mais elle est elle-même et c'est beaucoup.
Paris Match
par Alain Spira
Si "Party Girl" s’enveloppe d’une réalisation plutôt banale, c’est pour mieux servir de toile de fond à ce portrait d’une femme-enfant, une Peter Pan des nuits sans fin et sans fond dont l’égocentrisme juvénile ne fait qu’étancher la généreuse soif de vie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Olivier de Bruyn
(...) le film vibre d'une intensité féroce au coeur de chaque scène et traite de «grands» thèmes, sans pour autant s'égarer en chemin. Une réussite majeure du jeune cinéma français, justement récompensée par le prix de la Caméra d'or.
Première
par Eric Vernay
(...) par miracle, de ce matériau autofictionnel au potentiel racoleur, le trio formé à la Fémis parvient à tirer une sève des plus élicates.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
(...) Party Girl est terriblement attachant : il y passe une énergie contagieuse et dingue qui, merci, n'est pas celle du désespoir.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 7 Jours
par L.Djian
Entre fiction et réalité, flirtant avec le documentaire, ce film regorge de tendresse et d'amour.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
A la fois poétique et social, fictif et réel, naturaliste et sensuel, "Party Girl", film d'amour sous toutes ses formes (filial, maternel, etc.), avance sous l'ombre portée de Cassavetes, Kechiche et Pialat, saisit par la seule force de sa mise en scène la matière brute d'un milieu - celui de la nuit -
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Guillemette Odicino
POUR : Dans le paysage souvent tiède des films français, il arrive, heureusement, que débarquent de merveilleux ovnis comme celui-ci, qui redonnent confiance dans la vitalité du cinéma. (...) les trois jeunes cinéastes ont réussi un film libre sur la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Dans un élan de liberté ultime, la "party girl", aussi rock’n’roll que pathétique, étonne jusqu’au bout. Insondable, elle ne laisse pas insensible et devient l’un des personnages de cinéma les plus intrigants vus cette année à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
par Pierre Fornerod
Ca pourrait être racoleur et voyeuriste. C'est simplement authentique et spontané. Un cinéma-vérité qui flirte avec le documentaire.
Ecran Large
par Simon Riaux
Hélas ce que le film gagne en subtilité et en impact émotionnel, il ne le traduit jamais esthétiquement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Soir
par olivier Séguret
Beau portrait d’une sexagénaire en pleine crise existentielle, le film trébuche sur son rapport au réel.
La critique complète est disponible sur le site Le Soir
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
S'il séduit par le portrait sensible de son héroïne, le film interroge quant à son mélange hasardeux de réel et de fiction.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Strip-tease émotionnel... Téléréalité pleurnicharde... Feu d'artifice de clichés misérabilistes... Sauvage certes. Mal élevé OK. Mais surtout benêt et racoleur.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
C’est un énième avatar de ce cinéma du milieu très fabriqué qui ne débouche parfois (…) sur rien d’autre qu’une forme d’obscénité.
Télérama
par Louis Guichard
CONTRE : Le naturalisme de "Party Girl" est si naïf, si épais, qu'il nous ramènerait à la formule prêtée à Rimbaud : "Rien n'est beau que le faux.".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Voir le site de l'Express.
Le Parisien
(...) ce film, épatant (...) symbolise cette nouvelle énergie du cinéma français qui bouscule les codes et ne perd jamais de vue l'amour du public. Soyez de cette "Party", vous ne le regretterez pas une seule seconde.
20 Minutes
La projection "Party Girl" est une expérience revigorante tant cette sexagénaire donne un vrai coup de jeune au spectateur.
Critikat.com
Ludiques dans leur façon d’aborder la direction d’acteur, inventant à leur manière un nouveau courant cinématographique, le trio offre à son héroïne un formidable acte d’amour et nous proposent, au passage, l’un des plus beaux portraits de femme de ces dernières décennies.
Franceinfo Culture
Filmé au plus près, "Party Girl" relève d'un cinéma naturaliste, évoquant Ken Loach ou Abdellatif Kechiche. Les trois réalisateurs de "Party Girl" réussisent à ne pas placer le spectateur en situation de voyeurisme.
La Croix
Etrange et beau projet cinématographique, cette plongée des trois jeunes cinéastes dans une classe populaire, délaissée par le septième art, frappe par la vérité des attitudes, souvent maladroites, et la justesse de ce qui est montré. Angélique, héroïne à la Cassavetes, s’inscrit dans l’histoire du cinéma.
Le Dauphiné Libéré
Histoire à forte densité sociale, dans un Est profond et populaire filmé sans condescendance en toute empathie. Histoire drôle, porté par un personnage fort de son excentricité et de ses zones d’ombre. Histoire triste aussi de l’inadéquation entre les rêves et la réalité. Qui va faire beaucoup rire, et beaucoup pleurer.
Le Journal du Dimanche
Quel formidable personnage! Les rides d'Angélique valent tous les liftings de la terre. Une mangeuse de vie comme on en rencontre rarement.
Le Monde
Le scénario et la mise en scène font d'elle l'enjeu d'une lutte vieille comme comme la vie en société, entre le compromis et la liberté, la responsabilité et le désir. (...) une de ces vies qu'on ne voit jamais à l'écran.
Les Inrockuptibles
On sort un peu étourdi, révigoré, ému par cette rencontre avec la "party girl" matriarche qui règne sur son clan autant qu’elle est gouvernée par lui.
Marianne
"Party Girl", avec respect, avec franchise, avec juste ce qu'il faut de fiction pour que jamais on ne tombe dans l'impudeur, raconte un cataclysme baroque aux conséquences inattendues. Angélique Litzenburger n'est pas Anna Magnani, ni Gena Rowland. Mais elle est elle-même et c'est beaucoup.
Paris Match
Si "Party Girl" s’enveloppe d’une réalisation plutôt banale, c’est pour mieux servir de toile de fond à ce portrait d’une femme-enfant, une Peter Pan des nuits sans fin et sans fond dont l’égocentrisme juvénile ne fait qu’étancher la généreuse soif de vie.
Positif
(...) le film vibre d'une intensité féroce au coeur de chaque scène et traite de «grands» thèmes, sans pour autant s'égarer en chemin. Une réussite majeure du jeune cinéma français, justement récompensée par le prix de la Caméra d'or.
Première
(...) par miracle, de ce matériau autofictionnel au potentiel racoleur, le trio formé à la Fémis parvient à tirer une sève des plus élicates.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
(...) Party Girl est terriblement attachant : il y passe une énergie contagieuse et dingue qui, merci, n'est pas celle du désespoir.
Télé 7 Jours
Entre fiction et réalité, flirtant avec le documentaire, ce film regorge de tendresse et d'amour.
TéléCinéObs
A la fois poétique et social, fictif et réel, naturaliste et sensuel, "Party Girl", film d'amour sous toutes ses formes (filial, maternel, etc.), avance sous l'ombre portée de Cassavetes, Kechiche et Pialat, saisit par la seule force de sa mise en scène la matière brute d'un milieu - celui de la nuit -
Télérama
POUR : Dans le paysage souvent tiède des films français, il arrive, heureusement, que débarquent de merveilleux ovnis comme celui-ci, qui redonnent confiance dans la vitalité du cinéma. (...) les trois jeunes cinéastes ont réussi un film libre sur la liberté.
aVoir-aLire.com
Dans un élan de liberté ultime, la "party girl", aussi rock’n’roll que pathétique, étonne jusqu’au bout. Insondable, elle ne laisse pas insensible et devient l’un des personnages de cinéma les plus intrigants vus cette année à l’écran.
Ouest France
Ca pourrait être racoleur et voyeuriste. C'est simplement authentique et spontané. Un cinéma-vérité qui flirte avec le documentaire.
Ecran Large
Hélas ce que le film gagne en subtilité et en impact émotionnel, il ne le traduit jamais esthétiquement.
Le Soir
Beau portrait d’une sexagénaire en pleine crise existentielle, le film trébuche sur son rapport au réel.
Les Fiches du Cinéma
S'il séduit par le portrait sensible de son héroïne, le film interroge quant à son mélange hasardeux de réel et de fiction.
La Voix du Nord
Strip-tease émotionnel... Téléréalité pleurnicharde... Feu d'artifice de clichés misérabilistes... Sauvage certes. Mal élevé OK. Mais surtout benêt et racoleur.
Cahiers du Cinéma
C’est un énième avatar de ce cinéma du milieu très fabriqué qui ne débouche parfois (…) sur rien d’autre qu’une forme d’obscénité.
Télérama
CONTRE : Le naturalisme de "Party Girl" est si naïf, si épais, qu'il nous ramènerait à la formule prêtée à Rimbaud : "Rien n'est beau que le faux.".