Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Marianne
par Hervé Nathan
Les premières minutes du film sont une époustouflante reconstitution des derniers jours d'Auschwitz.
Femme Actuelle
par Isabelle Giordano
On est émus par leur complicité et leur amitié indéfectible. On s'amuse de leurs fous rires et de leurs désaccords. Et on profite de trois actrices de grande envergure: Suzanne Clément, Johanna ter Steege et Julie Depardieu qui livrent une performance rare, à fleur de peau.
Paris Match
par Alain Spira
Prenant le temps d'installer son film, Jean-Jacques Zilbermann réussit à générer toute la gamme des émotions, note après note. On en sort émus, et bien résolus, nous aussi, à trinquer "A la vie".
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce film bouleversant sur les retrouvailles, dans les années 1960, de trois femmes qui s’étaient rencontrées à Auschwitz s’inspire de l’expérience de la mère du réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le film peine, hélas, à s'élever à la hauteur des événements dont il s'inspire, trop pudique à l'écriture, le caractère illustratif de la mise en scène n'en paraît que plus plaqué. Pourtant, le cinéaste parvient à émouvoir sans tomber dans le pathos (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Damien Leblanc
(...) L'interprétation compassée des actrices et la modestie des choix narratifs créent paradoxalement une distance émotionnelle qui rend cette chronique intimiste parfois atone.
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Un film sensible sur la mémoire et la résilience des survivants de la Shoah, porté avec tact par un joli trio d'actrices.
Télérama
par Samuel Douhaire
C'est l'histoire de sa propre mère que raconte Jean-Jacques Zilbermann dans sa chronique touchante, mais maladroite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Si impliquées soient les interprètes (...) déplorons que l'auteur ne sache pas faire la différence entre joli et beau, sensibilité et sensiblerie, pudeur et impudeur, audace et faute de goût.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un sujet grave – comment survivre après Auschwitz ? – transformé en une chronique sympathique, mais trop lisse, des années 60.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
La complicité des trois femmes, leur parenthèse réenchantée, leurs chamailleries éphémères, l'état de leur vie amoureuse ne débouchent que sur un chapelet d'émotions effleurées qui provoquent un ennui flottant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
S'inspirant de la vie de sa propre mère, Jean-Jacques Zilbermann, sans doute paralysé par l'enjeu (historique autant que familial), livre un chromo atone.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pierre Fornerod
Louables intentions mais une chronique bancale et maladroite.
Positif
par Olivier de Bruyn
Malgré la force indiscutable du propos, l'académisme de la mise en scène et l'aspect artificiel de nombreuses séquences plombent ce film émouvant, mais maladroit.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) Si on ne doute pas de la sincérité avec laquelle le projet a été conduit, Zilbermann ne trouve jamais le bon équilibre entre la valeur affective du témoignage et l’académisme pesant de la reconstitution.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
(...) une reconstitution historique empesée et à la mise en scène sans inventivité de Zilbermann, trop esclave de la linéarité de son scénario.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marianne
Les premières minutes du film sont une époustouflante reconstitution des derniers jours d'Auschwitz.
Femme Actuelle
On est émus par leur complicité et leur amitié indéfectible. On s'amuse de leurs fous rires et de leurs désaccords. Et on profite de trois actrices de grande envergure: Suzanne Clément, Johanna ter Steege et Julie Depardieu qui livrent une performance rare, à fleur de peau.
Paris Match
Prenant le temps d'installer son film, Jean-Jacques Zilbermann réussit à générer toute la gamme des émotions, note après note. On en sort émus, et bien résolus, nous aussi, à trinquer "A la vie".
La Croix
Ce film bouleversant sur les retrouvailles, dans les années 1960, de trois femmes qui s’étaient rencontrées à Auschwitz s’inspire de l’expérience de la mère du réalisateur.
Le Journal du Dimanche
Le film peine, hélas, à s'élever à la hauteur des événements dont il s'inspire, trop pudique à l'écriture, le caractère illustratif de la mise en scène n'en paraît que plus plaqué. Pourtant, le cinéaste parvient à émouvoir sans tomber dans le pathos (...).
Première
(...) L'interprétation compassée des actrices et la modestie des choix narratifs créent paradoxalement une distance émotionnelle qui rend cette chronique intimiste parfois atone.
Télé 2 semaines
Un film sensible sur la mémoire et la résilience des survivants de la Shoah, porté avec tact par un joli trio d'actrices.
Télérama
C'est l'histoire de sa propre mère que raconte Jean-Jacques Zilbermann dans sa chronique touchante, mais maladroite.
La Voix du Nord
Si impliquées soient les interprètes (...) déplorons que l'auteur ne sache pas faire la différence entre joli et beau, sensibilité et sensiblerie, pudeur et impudeur, audace et faute de goût.
Le Dauphiné Libéré
Un sujet grave – comment survivre après Auschwitz ? – transformé en une chronique sympathique, mais trop lisse, des années 60.
Le Parisien
La complicité des trois femmes, leur parenthèse réenchantée, leurs chamailleries éphémères, l'état de leur vie amoureuse ne débouchent que sur un chapelet d'émotions effleurées qui provoquent un ennui flottant.
Les Fiches du Cinéma
S'inspirant de la vie de sa propre mère, Jean-Jacques Zilbermann, sans doute paralysé par l'enjeu (historique autant que familial), livre un chromo atone.
Ouest France
Louables intentions mais une chronique bancale et maladroite.
Positif
Malgré la force indiscutable du propos, l'académisme de la mise en scène et l'aspect artificiel de nombreuses séquences plombent ce film émouvant, mais maladroit.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
(...) Si on ne doute pas de la sincérité avec laquelle le projet a été conduit, Zilbermann ne trouve jamais le bon équilibre entre la valeur affective du témoignage et l’académisme pesant de la reconstitution.
Le Monde
(...) une reconstitution historique empesée et à la mise en scène sans inventivité de Zilbermann, trop esclave de la linéarité de son scénario.