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circusstar
140 abonnés
719 critiques
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1,5
Publiée le 8 septembre 2015
Très déçue. Fan de Meryl Streep, en association avec Kevin Kline, ce ne pouvait être qu'une réussite en théorie. En pratique, cela m'a paru pathétique et parfois à la limite du ridicule. Pas drôle ni émouvant. On est a des milliers de kilomètres du niveau de Mamma Mia.
Pas d'un grand intérêt ce film, on y voit la plupart du temps Meryl Streep interprétant des reprises de rock en faisant semblant de savoir jouer de la guitare, avec un bassiste ayant une tête "pochetron" en arrière plan. La partie famille n 'est pas non plus très entraînante. 2 étoiles.
Une étoile pour Jonathan Demme réalisateur du « Silence des agneaux » et de « Philadelphia ». Une étoile pour la prestation de Meryl Streep qui joue de la guitare et qui assure toutes les chansons avec passion, avec une vraie présence scénique. Une étoile pour la musique qui correspond à ma sensibilité artistique. Voilà le compte y est : trois étoiles pour un film assez convenu mais rafraîchissant.
C'est un film bon enfant très facile. Bon il est bien réalisé et les comédiennes et le comédiens jouent très, ils sauvent le film. Après il y a pas mal de musique, le film semble être un film à petit budget, mais non cette meublée passe bien. Meryl Streep chante bien, elle n'est pas désagréable à écouter. Après il ne faut s'attendre à grand chose de ce film, d'où trois étoiles au compteur.
Ricki and the Flash : une vieille chanteur de bar, au fin fond de l'Amérique, son vieux bourgeois d'ex-mari remarié, ses enfants, abandonnés et plein de rancoeur. Sorti de ce petit cercle -le scénario tournant forcément en rond- le film nous joue une espèce de partie de ping-pong familial à base de vieilles histoires de divorces toujours pas digérés, de famille meurtrie et de souvenirs chiqués. Même si le but est, pour une fois, de nous présenter un personnage abject en tout point -pourquoi pas-, rien ne nous permettra de nous attacher ne serait-ce qu'un peu au personnage principal : vieille dame n'arrivant pas à vieillir, mère qui n'a de mère que le nom légal, excentrique hideuse et, pire que tout, nostalgique arriéré des années Bush. Pourtant Demme est toujours aussi habile avec une caméra entre les mains ; pourtant on a tous droit à la rédemption, même si elle intervient beaucoup trop tard... Rien à faire : j'ai détesté ce personnage, et sans un peu, même un minimum de pitié, d'empathie pour elle il est difficile d'aborder sereinement l'histoire ; le film s'est de plus enlisé scénaristiquement alors j'ai jeté l'éponge
Jonathan Demme qui réalise Diablo Cody au scénario Meryl Streep qui chante du rock'n'roll = … ? Et si l'on ajoute le vénérable Rick Rosas, pilier de Crazy Horse (décédé, dans l'indifférence générale peu après…) ? Et aussi Rick Springfield ? Et une chanson admirable de Tom Petty ("American Girl") en ouverture, plus une autre, roborative, de Springsteen en conclusion, pour le moment guimauve / feelgood incontournable ? Et une fille dépressive qui dort dans un T-Shirt de l'un des meilleurs albums punks US, "Los Angeles" de X ? … ? Alors, toujours rien ? Eh bien non : encéphalogramme plat ! Ni vraiment rock'n'roll malgré la place considérable que prennent les chansons, ni cinéma non plus : malgré le talent exceptionnel de Streep et de Kline - qu'on a plaisir à revoir -, le cast a tendance à cabotiner comme dans un soap des années 70, le scénario tient sur un médiator ébréché, les chansons de Ricky sont surtout d'une affreuse banalité… mais tout le monde dansera, à la fin - sauf quelques bourgeois coincés, refroidis par cette drôle de famille où l'une des mères est black et l'autre rockeuse (c'est là le "message politique" du film : c'est mal d'être coincé !). Les conflits laborieusement ébauchés auront disparu à la moitié du film comme les notes d'une chanson dans le vent, au point où l'on se demandera pourquoi avoir même pris la peine de les inventer. Le vide abyssal de "Ricky and The Flash" nous laisse incrédules : avons-nous même assisté à un… film ?
Pour être honnête je n'avais pas vraiment d'intérêt pour ce film autrement que pour voir Meryl Streep en rockeuse qui a abandonné sa famille pour vivre son rêve. De ce côté-là je dois dire que je n'ai pas été déçu. Elle est vraiment, comme d'habitude cela dit, incroyable dans ce rôle de sexagénaire qui vit toujours comme si elle avait 20 ans. On ne va pas se cacher qu'au-delà de ce personnage hors norme, l'intrigue, elle, reste assez conventionnelle sur le mode de la famille dysfonctionnelle qui tente à travers cette femme de se reconstruire et ce sur un mode comique. Et là c'est sa fille (à la ville comme à l'écran), Mamie Gummer, qui est la plus drôle en femme quittée et qui, en pleine dépression, est complètement sans filtre. Pour le reste un humour gentillet, un peu d'émotion tiède et des péripéties sympathiques et un peu convenues. En somme, on a un long-métrage sans vraiment d'éclat qui repose surtout sur la prestation de Meryl Sreep et son personnage de Ricki. C'est divertissant, mais sans plus. Pour se distraire et/ou les fans de l'actrice aux trois Oscars.
Ce dernier film du regretté Jonathan Demme n'offre rien de révolutionnaire. Comédie pour ménagère cinquantenaire dépressive, Ricki and the Flash ne vaut le détour que pour Meryl Streep, qui s'ajoute une nouvelle composition à son palmarès. Une irrévérence salvatrice gâchée par une happy end interminable et mièvre au possible.
Certes ce petit film ne fera pas date et le réalisateur est loin de ses films cultes comme "Philadelphia" ou "le silence des agneaux", mais la seule présence charismatique de l'immense Meryl Streep, son énergie à toute épreuve donnent au film un capital sympathie le rendant agréable, même s'il est bourré de poncifs et de fils blancs, de guimauve et de facilités. Kevin Kline s'en sort bien en donnant la réplique et la propre fille de l'actrice joue sa fille, pour l'anecdote. Pas un grand film, c'est certain, mais rafraichissant un après-midi de pluie et d'ennui...
« Ricki and the flash » est une sympathique comédie américaine, réalisée sans temps mort et qui se révèle d'emblée fort divertissante. On y suit une chanteuse amateure qui a tout « plaqué », y compris sa famille, pour tenter une carrière musicale. Bien des années plus tard, elle est contactée par son ex-mari qui lui demande de revenir pour aider leur fille à se reconstruire après son divorce... Le moins qu'on puisse dire c'est que les retrouvailles sont acides et qu'elles réservent leur lot de scènes dramatiquement drôles. Cerise sur le gâteau, Meryl Streep démontre qu'elle a de réels talents de musicienne en tenant la scène avec l'assurance d'une vieille « baroudeuse ». Ainsi, les nombreux passages musicaux sont bourrés d'énergie et raviront à coup sûr les amateurs de rock américain. Le résultat, bien que parfois prévisible, est plutôt agréable à suivre et vous fera passer un très bon moment de cinéma signé du grand Jonathan Demme (« Philadelphia », « Le silence des agneaux »).
Pas mal, Meryl Streep me surprends toujours tant la facilité qu'elle a, a nous interprété différent rôle. Elle rentre dans son personnage, l'expérience, et les années permettent de dire qu'elle est une grand actrice selon moi. Cette comédie nous montre l'aspect d'une mère face à son passé, à ses enfants. spoiler: La scène qu'elle a choisit au détriment de sa vie de famille. Son rêve.
Cette comédie dramatique est très conventionnelle, classique et banale. Elle laisse une large place à la musique qu'il faut apprécier pour apprécier le film. Ce film n'a pas la prétention de fouiller la personnalité des protagonistes et les discussions ne cherchent pas à résoudre une situation familiale inextricable. L'atmosphère est plus triste que comique. Même à la fin du film, on a du mal à comprendre pourquoi la chanteuse jouée par Meryl Streep a persisté dans une voie qui ne la rend pas heureuse.