Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Sur un territoire inattendu allant de "Sexy Dance" à "G.I. Joe" et jusqu’à ce touchant portrait de pop-star orpheline, Jon M. Chu impose une véritable marque d’auteur.
Le Monde
par Noémie Luciani
Artistiquement, le résultat n'est guère inspiré, malgré la belle énergie du casting. Mais, en tant qu'objet symptomatique du star-système contemporain, c'est passionnant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une comédie musicale formatée, et pas vraiment fidèle à l’original.
Télérama
par Nicolas Didier
Résultat : une histoire d'une naïveté sans nom, à base de groupe pop féminin à l'ascension merveilleuse, de réseaux sociaux et de petit robot. Flop (bien mérité) lors de la sortie américaine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Pour le public qui n'écoute ni Bieber, ni Taylor Swift, et qui n'a même jamais été la cible de la série d'animation d'antan, produite par Hasbro, il semble difficile de se sentir concerné par ce cynisme de marketing. L'on semble bien avoir passé l'âge de ressentir de l'émotion dans la mièvrerie et de l'inspiration dans le kitsch.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
Sur un territoire inattendu allant de "Sexy Dance" à "G.I. Joe" et jusqu’à ce touchant portrait de pop-star orpheline, Jon M. Chu impose une véritable marque d’auteur.
Le Monde
Artistiquement, le résultat n'est guère inspiré, malgré la belle énergie du casting. Mais, en tant qu'objet symptomatique du star-système contemporain, c'est passionnant.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie musicale formatée, et pas vraiment fidèle à l’original.
Télérama
Résultat : une histoire d'une naïveté sans nom, à base de groupe pop féminin à l'ascension merveilleuse, de réseaux sociaux et de petit robot. Flop (bien mérité) lors de la sortie américaine.
aVoir-aLire.com
Pour le public qui n'écoute ni Bieber, ni Taylor Swift, et qui n'a même jamais été la cible de la série d'animation d'antan, produite par Hasbro, il semble difficile de se sentir concerné par ce cynisme de marketing. L'on semble bien avoir passé l'âge de ressentir de l'émotion dans la mièvrerie et de l'inspiration dans le kitsch.