Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La douleur d’aimer est au centre de ce beau film, poignant sans être complaisant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Le nouveau film de Philippe Garrel est l’un de ses plus beaux : il va droit dans la chair des sentiments.
Critikat.com
par Morgan Pokée
Guerre du couple, résistance contre ses pulsions. De la chair – à canons – plein l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"L'Ombre des femmes" a la pureté d'un diamant. Diamant noir et diamant blanc, comme les images somptueuses taillées dans la lumière et dans l'ombre par Renato Berta. Un diamant qui éclaire les relations entre les êtres telles que tous les humains les vivent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Isabelle Régnier
Mais, dans les mains de Garrel, la vie si médiocre soit-elle, devient diamant - une matière irradiante, issue d'une expérience intime qu'il a réactivée à l'écriture, puis avec ses acteurs, qu'il a sculptée avec la lumière, taillée encore au montage, faisant jaillir une émotion brute, violente comme une décharge.
Le Parisien
par Alain Grasset
Dans ce bijou en noir et blanc sur le désir féminin-masculin, qui dure tout juste une heure treize, la princesse de Savoie, de Venise et du Piémont - tel est le titre de Clotilde Courau depuis son union avec Emmanuel-Philibert de Savoie - joue Manon, qui vit avec Pierre (Stanislas Merhar).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Julien Gester
Une fable terriblement sensible.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un film dense, étonnamment court et épuré, et qui, sur un canevas de scénario archi-balisé (co-écrit avec sa compagne Caroline Deruas), réussit le pari de se détacher des archétypes universels pour nous en livrer la sève. L'essentiel. Soit une étude du couple étonnamment optimiste dans sa résolution. Féministe même. Et d'une rare lucidité. Un joyau.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Yann Tobin
Voilà un film auquel on ne saurait quoi changer, ajouter, ni retrancher, pour l'améliorer. Ce n'est pas si fréquent !
Télérama
par Jacques Morice
Pas de gras surtout, mais l'essentiel, concentré, organisé autour d'une table de cuisine ou d'un lit – ce radeau, scène de prédilection de l'auteur, où tout se joue, l'étreinte et la solitude, la joie et le chagrin, le désir et le désamour. De grands mots, mais que le cinéaste illustre avec une évidence minérale et cristalline (...). "L'Ombre des femmes" de Philippe Garrel : les elles du désir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La Rédaction
Reprenant son terrain d’exploration favori, à savoir les combinaisons amoureuses, Garrel examine une nouvelle fois les mécaniques du désir dans une mise en scène au noir et blanc épuré.
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Aujourd'hui Garrel semble être le seul cinéaste français à pouvoir dire « les femmes » sans passer pour un réac, le seul à pouvoir filmer « les femmes » depuis un point de vue qui fait d'elles une autre moitié du monde.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Femme Actuelle
par Isabelle Giordano
Quelles que soient les ficelles, "L'ombre des femmes" est une très belle ode à l'amour, qu'il soit passion ou raison.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Ni misérabiliste ni austère, le noir et blanc apporte à cette histoire d'amour perdu et (peut-être) retrouvé une profondeur et une justesse qui n'ont d'égales que celles du jeu des comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Point
par Olivier Pérou
Messieurs, apprenons de Philippe Garrel. Dans son dernier long-métrage, "L'Ombre des femmes", le cinéaste français livre une ode à la gent féminine dont nous devrions tous nous inspirer, dans un film qui donne une vision sèvère - parfois méprisante - de la vision amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Garrel signe ici l’un de ses films les plus féministes, les plus tendres et amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Damien Aubel
Qu'il s'agisse d'un affabulateur qui s'invente un passé de résistant, de la parole et des mots qui se dérobent aux personnages, leur résistent littéralement, ou encore de la constance têtue d'un Garrel, qui persiste à filmer en noir et blanc des couples qui se déchirent, c'est toujours le même motif, brillamment disséqué sous tous ses avatars. Le Garrel 2015 est un bon cru, il résistera au temps.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une chronique amoureuse, (...) qui donne tout son charme aux décors d'une capitale qui sied si bien au style de l'auteur, toujours dans l'épure et soucieux de la beauté du cadre qui confine au bonheur visuel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Gala
par Camille Choteau
Comme dans son dernier film, "La Jalousie", le réalisateur opte pour le noir et blanc et la pellicule – lumière crue au rendez-vous-, et met en scène un Stanislas Merhar inexpressif et une Clotilde Courau éblouissante, en couple dans la tourmente.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Comment aimer, comment les couples naissent-ils et meurentils ? Vaste question, que Philippe Garrel traite à sa manière, fine et contournée, en un noir et blanc très formaliste.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Les questions du désir et de la loyauté, de la perdition et de la réconciliation, sont abordées ici au plus près des visages de trois acteurs inspirés. (...) ce dernier Garrel est celui d’un cinéaste aussi délicat qu’établi, monomaniaque assumé des tourments ordinaires de l’amour.
Première
par Christophe Narbonne
Garrel joue avec les clichés mais ne s’en joue pas. À la fois classique et avant-gardiste, il échappe aux modes et – un peu – à l’analyse. Libre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Clotilde Courau sublime dans une subtile variation sur l'infidélité. (...). Et bien que tournant dans une économie modeste, il signe un film à la beauté plastique renversante.
L'Express
par Christophe Carrière
"L'ombre des femmes" ressemble à un sketch parodique du cinéma français des Inconnus ou plus récemment, du Palmashow. Sauf qu'ici ce n'est pas pour rire. C'est très sérieux. Non mais sans blague!
20 Minutes
La douleur d’aimer est au centre de ce beau film, poignant sans être complaisant.
Cahiers du Cinéma
Le nouveau film de Philippe Garrel est l’un de ses plus beaux : il va droit dans la chair des sentiments.
Critikat.com
Guerre du couple, résistance contre ses pulsions. De la chair – à canons – plein l’écran.
L'Obs
"L'Ombre des femmes" a la pureté d'un diamant. Diamant noir et diamant blanc, comme les images somptueuses taillées dans la lumière et dans l'ombre par Renato Berta. Un diamant qui éclaire les relations entre les êtres telles que tous les humains les vivent.
Le Monde
Mais, dans les mains de Garrel, la vie si médiocre soit-elle, devient diamant - une matière irradiante, issue d'une expérience intime qu'il a réactivée à l'écriture, puis avec ses acteurs, qu'il a sculptée avec la lumière, taillée encore au montage, faisant jaillir une émotion brute, violente comme une décharge.
Le Parisien
Dans ce bijou en noir et blanc sur le désir féminin-masculin, qui dure tout juste une heure treize, la princesse de Savoie, de Venise et du Piémont - tel est le titre de Clotilde Courau depuis son union avec Emmanuel-Philibert de Savoie - joue Manon, qui vit avec Pierre (Stanislas Merhar).
Libération
Une fable terriblement sensible.
Paris Match
Un film dense, étonnamment court et épuré, et qui, sur un canevas de scénario archi-balisé (co-écrit avec sa compagne Caroline Deruas), réussit le pari de se détacher des archétypes universels pour nous en livrer la sève. L'essentiel. Soit une étude du couple étonnamment optimiste dans sa résolution. Féministe même. Et d'une rare lucidité. Un joyau.
Positif
Voilà un film auquel on ne saurait quoi changer, ajouter, ni retrancher, pour l'améliorer. Ce n'est pas si fréquent !
Télérama
Pas de gras surtout, mais l'essentiel, concentré, organisé autour d'une table de cuisine ou d'un lit – ce radeau, scène de prédilection de l'auteur, où tout se joue, l'étreinte et la solitude, la joie et le chagrin, le désir et le désamour. De grands mots, mais que le cinéaste illustre avec une évidence minérale et cristalline (...). "L'Ombre des femmes" de Philippe Garrel : les elles du désir.
CNews
Reprenant son terrain d’exploration favori, à savoir les combinaisons amoureuses, Garrel examine une nouvelle fois les mécaniques du désir dans une mise en scène au noir et blanc épuré.
Chronic'art.com
Aujourd'hui Garrel semble être le seul cinéaste français à pouvoir dire « les femmes » sans passer pour un réac, le seul à pouvoir filmer « les femmes » depuis un point de vue qui fait d'elles une autre moitié du monde.
Femme Actuelle
Quelles que soient les ficelles, "L'ombre des femmes" est une très belle ode à l'amour, qu'il soit passion ou raison.
Franceinfo Culture
Ni misérabiliste ni austère, le noir et blanc apporte à cette histoire d'amour perdu et (peut-être) retrouvé une profondeur et une justesse qui n'ont d'égales que celles du jeu des comédiens.
Le Point
Messieurs, apprenons de Philippe Garrel. Dans son dernier long-métrage, "L'Ombre des femmes", le cinéaste français livre une ode à la gent féminine dont nous devrions tous nous inspirer, dans un film qui donne une vision sèvère - parfois méprisante - de la vision amoureuse.
Les Inrockuptibles
Garrel signe ici l’un de ses films les plus féministes, les plus tendres et amoureux.
Transfuge
Qu'il s'agisse d'un affabulateur qui s'invente un passé de résistant, de la parole et des mots qui se dérobent aux personnages, leur résistent littéralement, ou encore de la constance têtue d'un Garrel, qui persiste à filmer en noir et blanc des couples qui se déchirent, c'est toujours le même motif, brillamment disséqué sous tous ses avatars. Le Garrel 2015 est un bon cru, il résistera au temps.
aVoir-aLire.com
Une chronique amoureuse, (...) qui donne tout son charme aux décors d'une capitale qui sied si bien au style de l'auteur, toujours dans l'épure et soucieux de la beauté du cadre qui confine au bonheur visuel.
Gala
Comme dans son dernier film, "La Jalousie", le réalisateur opte pour le noir et blanc et la pellicule – lumière crue au rendez-vous-, et met en scène un Stanislas Merhar inexpressif et une Clotilde Courau éblouissante, en couple dans la tourmente.
Le Dauphiné Libéré
Comment aimer, comment les couples naissent-ils et meurentils ? Vaste question, que Philippe Garrel traite à sa manière, fine et contournée, en un noir et blanc très formaliste.
Le Journal du Dimanche
Les questions du désir et de la loyauté, de la perdition et de la réconciliation, sont abordées ici au plus près des visages de trois acteurs inspirés. (...) ce dernier Garrel est celui d’un cinéaste aussi délicat qu’établi, monomaniaque assumé des tourments ordinaires de l’amour.
Première
Garrel joue avec les clichés mais ne s’en joue pas. À la fois classique et avant-gardiste, il échappe aux modes et – un peu – à l’analyse. Libre.
Studio Ciné Live
Clotilde Courau sublime dans une subtile variation sur l'infidélité. (...). Et bien que tournant dans une économie modeste, il signe un film à la beauté plastique renversante.
L'Express
"L'ombre des femmes" ressemble à un sketch parodique du cinéma français des Inconnus ou plus récemment, du Palmashow. Sauf qu'ici ce n'est pas pour rire. C'est très sérieux. Non mais sans blague!